Mois : septembre 2019

Mobile et box : comparatif des gains d’abonnés chez Orange, Free, SFR et Bouygues au 2ème trimestre

Ne manquait plus que les résultats de l’opérateur de Xavier Niel. Aujourd’hui, avec la publication des recrutements d’Orange, SFR, Bouygues et Free, il est à présent possible de dresser un comparatif des quatre grands opérateurs sur le 2ème trimestre 2019.

Nous prenons ici en compte le parc forfait hors MtoM pour le mobile et le gain d’abonnés haut débit et très haut débit sur le fixe, sans oublier la fibre/THD. A retenir, l’hémorragie d’abonnés persistante chez Free malgré un carton plein sur la fibre, la stabilité de Bouygues ou encore la perte de terrain de SFR sur le FTTH.

 

Bouygues une nouvelle fois leader sur le mobile, Free est toujours très grippé

Après avoir mis fin à l’hégémonie de SFR lors du trimestre précédent, Bouygues Telecom conforte son leadership en matière de recrutement sur le mobile et ce de belle manière. Entre stabilité et performance, l’opérateur a engrangé 132 000 abonnés, légèrement moins que précédemment. SFR suit à un rythme soutenu alors qu’Orange, distancé, retrouve des couleurs avec 61 000 nouveaux abonnés contre 19 000 enregistrés lors des trois premiers mois de l’année. Enfin, l’hémorragie continue chez Free sur ce segment. L’opérateur de Xavier Niel perd cette fois-ci 77 000 abonnés contre 50 000 lors de l’exercice précédent, la faute encore une fois au forfait à deux euros et aux sorties de ventes privées bien que la fin de sa dépendance aux offres à prix cassés touche à sa fin. Tous les opérateurs ont moins recruté sauf Orange, le classement est inchangé.
 
 
1- Bouygues : +132 000
2- SFR : +105 000
3- Orange : +61 000
4- Free :  -77 000
 
 

Free perd encore des abonnés Freebox mais détrône Orange sur la fibre

 
Durant ce 2 trimestre 2019, SFR perd son leadership sur le fixe en recrutant 31 000 abonnés contre 88 000 au T1. Si l’opérateur au carré rouge fait jeu égal avec Bouygues Telecom, Orange lui vole la vedette et s’empare de la première place avec 41 000 nouveaux abonnés, en ligne avec son recrutement lors des trois premiers mois de l’année. Mauvais élève, Free perd toujours des abonnés Freebox, l’opérateur de Xavier a vu s’envoler 15 000 abonnés au deuxième trimestre, soit 31 000 sur le semestre. Bizarrement, Free explique cette contre-performance notamment "par la communication massive et critiquable des chaines NextRadioTV (BFM TV)". Mais aussi par ses forfaits fixes sous promotion agressive. Autrement dit des ventes privées.
 
 
1- Orange : +41 000
2- SFR et Bouygues, ex aequo : +31 000
4- Free :  -15 000
 
 
Enfin, au niveau du recrutement sur la fibre, la hiérarchie diffère également et c’est une première, Orange perd son fauteuil de leader au profit de Free, premier recruteur sur la fibre au deuxième trimestre avec 172 000 nouveaux abonnés contre 160 000 pour Orange. Pour sa part, Bouygues reste stable malgré un léger recul. Enfin, SFR  a engrangé 64 000 nouveaux abonnés, soit 1000 de plus qu’au T1. Mais force est de constater que l’opérateur au carré rouge est totalement distancé par Orange et Free sur ce segment et ce trimestre après trimestre. Il va devoir réagir sans quoi sa part de marché pourrait être à l’avenir largement impactée.
 
1- Free : +172 000
2- Orange : +160 000
3- Bouygues : + 82 000
4- SFR : + 64 000 (FTTH et FTTB) 
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Où en est Free vis-à-vis de ses objectifs pour 2024 concernant le mobile ?

Le trimestre dernier, Iliad, maison-mère de Free a présenté son plan Odyssée 2024, levant le voile sur les objectifs à moyen terme du groupe sur différents points. Après la publication de ses résultats trimestriels, qu’en est il aujourd’hui pour le mobile?

Le plan de transformation fixait des objectifs bien précis pour les cinq prochaines années. Ainsi, Free Mobile souhaite atteindre 80% de sa base d’abonnés sur son forfait 4G, nettoyant celle-ci des abonnés Vente-privée ou du forfait à 2€. Au niveau du réseau, l’opérateur ambitionne d’atteindre 25 000 sites 4G/5G en 2024. Un autre objectif du plan Odyssée 2024 concerne le marché du subventionnement auquel Free veut s’adresser de manière ambitieuse. Où en est l’opérateur, trois mois après l’annonce de ce plan de transformation ? 

Concernant le déploiement du réseau mobile, Free a également un autre objectif à plus court terme: celui d’avoir déployé 10 000 sites en 700 MHz d’ici la fin de l’année. Et si l’on s’en tient aux derniers résultats de l’ANFR, le processus est en marche. En effet, Free Mobile a réalisé un record sur cette fréquence en activant 1126 sites durant le mois de juillet et en obtenant plus de 800 autorisations pour un total de 7471 sites. Une tendance qui, si elle se confirme devrait permettre à Free d’atteindre ses objectifs pour cette année. Un autre facteur jouera également sur le déploiement de la 4G/5G par Free Mobile: la finalisation de son partenariat avec Cellnex, prévue pour la fin de l’année ou début 2020 qui devrait permettre d’accélérer la tendance. Au 1er août 2019, Free disposait de 16 359 sites 4G autorisés en métropole et si le rythme des autorisations obtenues par l’opérateur se maintient, l’objectif des 25 000 sites devrait être atteignable.

Quant au "nettoyage" de sa base d’abonnée, Free Mobile estime être sur le bon chemin pour sa montée en gamme. Si 58% des abonnés l’étaient sur le forfait 100Go de Free lors de la présentation du plan Odyssée, en un trimestre le pourcentage est passé à 60% avec 145 000 nouveaux abonnés. Un meilleur brassage des abonnés qui, couplés avec la volonté de ne plus être dépendant des ventes privées à prix cassée de Free, convient aux attentes du groupe. Il reste cependant encore du chemin à parcourir pour atteindre les 80%, mais Iliad est plutôt confiant à ce sujet. Concernant la réponse  de Free Mobile au marché du subventionnement, aucune information sur l’avancée du projet pour l’instant, si ce n’est peut être la "révolution mobile" évoquée par Xavier Niel l’année dernière qui reste nimbée de mystère.

En somme, Free Mobile garde le cap et la tendance semble aller dans son sens pour l’instant, bien qu’il reste encore du chemin à parcourir. Le dernier point sur lequel Free n’a pas encore le contrôle et ne doit pas se louper: c’est la 5G. En effet, si l’opérateur s’estime prêt pour le déploiement de la 5G, notamment avec son accord récent avec Nokia, les conditions d’attributions de fréquences inquiètent Xavier Niel et avec la fin des consultations publiques aujourd’hui sur le sujet, le déploiement de la 5G reste une zone d’ombre dans le plan de transformation. 

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Free annonce une présence de ses offres fibre dans tous les départements hexagonaux

Ne manquait plus visiblement que la Manche. Lors de la présentation de ses résultats semestriels, Free a annoncé hier la présence de ses offres fibre dans tous les départements métropolitains.

La fibre de Free se démocratise. Après avoir mis un vrai coup d’accélérateur sur les RIP depuis le début de l’année avec notamment pas moins de 7 ouvertures commerciales en un peu plus de 3 mois, l’opérateur de Xavier Niel peut aujourd’hui se targuer d’avoir catapulté ses offres fibre dans tous les départements métropolitains et ce par endroit puisque les déploiements sont encore en cours. D’après nos constatations, restait à cocher pour le FAI, la Manche où sa fibre a débarqué le 27 août dernier, accessible à plus 20 000 logements pour le moment en attendant une seconde vague. Présent dans les zones très denses mais aussi dans les zones AMII d’Orange puis plus récemment d’SFR, Free met le paquet actuellement sur les réseaux d’initiative publique pour une présence à terme sur chacun d’entre-eux, même ceux à faible part de marché. Mieux encore, son partenariat annoncé hier avec Infravia va lui permettre d’accélérer le déploiement de sa fibre dans les zones de moyennes et basses densité, soit environ 26 millions de prises.

Au 30 juin dernier, Free comptabilisait 11,5 millions de prises raccordables, soit 2 millions de plus qu’à fin 2018. Le parc d’abonnés fibre progresse quant à lui de près d’un tiers sur le semestre, pour une base totale d’1,3 million d’abonnés FTTH. Le FAI est d’ailleurs pour la première fois devenu 1er recruteur sur ce segment au deuxième trimestre, devant Orange, avec 172 000 nouveaux abonnés.

Cette progression importante s’explique par trois facteurs principaux, indique Free. Tout d’abord,  la réorganisation des procédures internes de raccordement des abonnés fibre, présentée lors du Capital Markets Day, porte ses fruits. Par ailleurs, l’opérateur note une appétence grandissante des français pour la fibre, laquelle est désormais la technologie de référence pour les nouvelles connexions Internet. Dernier facteur, "une part de conquête croissante" chez le FAI, parallèlement à l’ouverture progressive des zones moins denses. Tant est si bien que sur le semestre, 50% des recrutements FTTH de Free sont de nouveaux abonnés. De bonne augure.

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Free et OCS vous offrent les 3 premiers épisodes de la série « Missions», directement sur la Freebox

OCS et Free vous proposent de découvrir gratuitement les 3 premier épisode de la saison 1 de l’ambitieuse et rare série française de science-fiction, « Missions ».

Estampillée OCS signature et réalisée par Julien Lacombe, cette série vous fait embarquer au sein de la première mission d’exploration habitée vers Mars en compagnie de la quintessence des astronautes et scientifiques européens. Sans oublier, la présence d’une psychiatre responsable de leur santé mentale. Mais après 10 mois de voyage et au moment d’atterrir sur la planète rouge, quelque chose tourne mal. Un rescapé un peu particulier les attend.

Pour profiter de ces 3 épisodes offerts, il suffit de vous rendre dans la rubrique "Aktu Free" de votre Freebox puis de sélectionner "Missions : épisodes offerts" et enfin de cliquer sur "regarder la vidéo". Les 3 épisodes s’enchaîneront directement

A noter que la saison 2 de Missions sera diffusée en exclusivité sur la chaîne OCS City (canal 53) à partir du 5 septembre. Tous les épisodes seront également disponibles dès cette date sur OCS Go, via le menu Freebox Replay. Pour vous abonner au bouquet OCS (11,99€/mois sans engagement), rendez-vous sur les canaux 52 à 55 de Freebox TV.

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BFM diffusée sur la Freebox depuis ce soir… mais uniquement dans sa version lyonnaise

 
C’est ce soir qu’a été lancée la petite soeur de BFM TV, BFM Lyon, qui remplace l’ancienne chaîne TLM. Et miracle, elle est disponible sur Freebox TV
 
Alors que la guerre fait rage entre Free et Altice quant à la reprise de BFM TV sur la Freebox, on ne pensait pas voir sa déclinaison lyonnaise disponible dans l’offre TV de Free alors qu’elle a été lancée ce mardi soir sur la TNT. D’ailleurs, lors du lancement de BFM Paris sur la TNT, le flux avait immédiatement été coupé par Free, la chaîne locale de Patrick Drahi demandant également à être rémunérée pour sa reprise. Si tel devait être le cas de BFM Lyon, il est plus que probable que Free coupera également la diffusion.
 
 
En tous cas, pour ceux qui souhaitent découvrir BFM Lyon, elle est disponible sur le canal 915 de Freebox TV (ou le canal 30 sur la TNT locale) en lieu et place de TLM, la chaîne rachetée par le groupe Altice. 
 
Au programme de BFM Lyon, des journaux, l’actualité lyonnaise, l’information concernant les clubs de sport locaux ( Olympique Lyonnais, LOU Rugby et ASVEL ), les prévisions météo détaillées de Lyon et sa région ou encore le trafic lyonnais en direct. BFM Lyon s’inspire dans son fonctionnement des chaînes américaines ultra-locales, avec des journalistes en scooters qui se déplaceront dans les rues de la métropole lyonnaise avec un iPhone pour pouvoir filmer rapidement et facilement.
 
Merci à Europe 12

 

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Univers Freebox a testé le Moto G7 Play disponible chez Free Mobile, un smartphone compact qui permet de jouer (un peu)

Univers Freebox vous propose aujourd’hui le test du smartphone Moto G7 Play récemment arrivé dans la boutique en ligne de Free Mobile et affiché à 169 euros. L’offre n’est pas totalement inintéressante, au regard du prix attractif. Surtout si vous cherchez un modèle compact.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Moto G7 Play qui coûte 169 euros chez Free Mobile.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 632)
–    Mémoire vive : 2 Go
–    Écran : dalle IPS 5,7 pouces offrant une définition HD+ (1 512 x 720 pixels)
–    Audio : son produit par le haut-parleur d’appel
–    Stockage : 32 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–    Capteur photo dorsal : 13 Mégapixels
–    Capteur photo frontal : 8 Mégapixels
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 4.2
–    Support NFC : non
–    Batterie : 3 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 5 Watts fourni
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie
–    Protection : lecteur d’empreintes au dos ou reconnaissance faciale

Un smartphone compact 

Ce qui ressort en premier lors de la prise en main du Moto G7 Play, c’est le format compact et le poids léger. On est loin de l’effet parpaing de certains modèles. 

Le bloc photo centré et large participe de son côté à la stabilité, si vous êtes de ceux qui utilisent leur smartphone posé sur la table.

Un écran correct, mais un son passable

L’écran du Moto G7 Play n’offre pas la meilleure définition. Sa large encoche, qui sert à accueillir le capteur photo, le flash et le haut-parleur d’appel, se révèle encombrante en jeu et en lecture vidéo. L’écran se montre en revanche assez lumineux pour un usage en extérieur avec un bon ensoleillement. Rien à signaler non plus concernant la glisse sur la vitre. Aucune accroche désagréable.

Parlons maintenant du son, produit ici par le haut-parleur d’appel au-dessus de l’écran. Si le haut-parleur propose un son assez puissant, on n’apprécie pas vraiment de le pousser à fond. Les basses sont absentes et les aigus agressent les oreilles. Pas mieux du côté des écouteurs fournis, que l’on remplacera sans regret.

Des photos d’appoint, rien de plus

Si les clichés produits par les capteurs 8 et 13 Mégapixels (des définitions qui dépendent d’ailleurs du ratio choisi) ne sont pas exceptionnels, ils pourront servir pour de l’appoint ou pour les réseaux sociaux. 

  

On peut noter quelques aspects intéressants comme la présence d’un flash LED à l’avant et à l’arrière, ou encore les deux pivots du poignet qui servent à lancer l’application photo (smartphone déverrouillé ou avec l’écran éteint) et à passer entre les capteurs avant ou arrière.

Ci-dessous, des photos dans leurs versions normales, puis zoomées :

 

D’autres photos de jour :

 

Une photo en intérieur :

 

Deux exemples de selfie :

 

Une photo de nuit :

 

Une 4G sans prétention

Nos tests de débits en 4G nous ont permis d’osciller entre 70 et 120 Mbit/s en extérieur, dans les zones plutôt bien couvertes.

  

Ci-dessous, le résultat obtenu depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox, loin d’être excellent :

 

Notez enfin que le Moto G7 Play supporte la 4G 700 MHz.

Des performances suffisantes pour jouer (un peu)

Si le Moto G7 Play n’est pas une bête de course, comme le confirment des passages dans AnTuTu ou Disk Speed, il permet toutefois de jouer occasionnellement. 

  

Nous avons ainsi pu faire tourner Asphalt 9 et PUBG Mobile de manière fluide, mais avec des niveaux de graphismes bas et avec quelques rares saccades. Un bon point remarqué durant nos sessions de jeux : pas de chauffe désagréable.

Une autonomie correcte

La batterie n’est pas monstrueuse, mais la configuration est plutôt modeste. Il en ressort de ce fait une autonomie pas exceptionnelle, mais convenable dans l’ensemble. Partis de 100 % à 8h54, nous sommes arrivés à 34 % à 17h42. Entre temps, une mise à jour du système, 2 heures 45 minutes de streaming audio avec une enceinte Bluetooth, 1 heure 10 minutes de GPS, quelques photos et de la consultation sur Twitter. Une autre fois, nous avons commencé avec 100 % à 13h50, pour arriver à 40 % le lendemain vers 13h00. Entre temps, un gros téléchargement (PUBG Mobile), 1 heure de jeu, 35 minutes de vidéo YouTube avec les écouteurs en Bluetooth, 2 heures de streaming audio avec le casque, des photos, des tests de débits, du Twitter et du surf Internet.

Le rechargement de cette batterie prend un peu de temps, comme le montre ce suivi. Pas étonnant avec un chargeur 5 Watts dans la boîte.

– 13h02 : 40 %
– 13h38 : 72 %
– 13h59 : 88 %
– 14h30 : 100 %

 

Une interface Android Pie avec quelques fonctions intéressantes

La ROM fournie avec le Moto G7 Play repose sur Android Pie. Elle n’est pas blindée d’applications partenaires.

  

Elle propose quelques fonctionnalités intéressantes regroupées dans une section "Moto" dans les paramètres, comme l’écran attentif. L’écran reste allumé lorsque vous le regardez. Il y a également les gestes pour le capture d’écran à trois doigts, le lancement rapide de l’appareil photo avec deux pivotements de poignet, l’allumage de la lampe-torche avec deux gestes tranchants de la main ou la réduction de la taille d’écran d’un glissement de doigt.

  

Concernant la sécurité, nous avions les patchs du mois de mars 2019, avant de passer à ceux de juin 2019 grâce à une mise à jour. Toujours en parlant de la sécurité, les deux solutions proposées (lecteur d’empreintes ou reconnaissance faciale) fonctionnent relativement bien. Nous avons toutefois une préférence pour le lecteur d’empreintes, caché dans le logo Motorola au dos, qui se montre très rapide, en plus d’être efficace.

  

VERDICT : après une petite semaine de test, notre bilan est plutôt positif. Alors oui, le Moto G7 Play n’est pas parfait avec son écran faiblement défini présentant une encoche assez imposante, son rendu audio moyen, ses photos passables et une charge assez lente. Maintenant, on peut aimer le format compact, la possibilité de jouer de manière occasionnelle, la batterie qui permet de tenir la journée sans passer par la case secteur et son système d’exploitation non surchargé d’applications partenaires. Surtout en sachant qu’on parle d’un smartphone à moins de 200 euros.

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Xavier Niel fustige les conditions d’attribution des fréquences 5G : “une tentative de mise à mort” de Free

A l’occasion de la présentation des résultats d’Iliad, Xavier Niel s’est insurgé contre les conditions d’attribution des fréquences 5G

Selon le fondateur de Free, le projet de modalités et conditions d’attribution d’autorisations de fréquences 5G mis en consultation par L’ARCEP « est une tentative de mise à mort (..) elle est mise en œuvre pour nous détruire (..) le marché des télécoms pourrait passer de quatre à deux » rapporte 01Net. Une réaction très virulente, que justifie Xavier Niel par le fait qu’il redoute une « nouvelle asymétrie » entre Orange et SFR d’un côté, et Bouygues Telecom et Free Mobile de l’autre.

L’ARCEP a en effet proposé un système d’attribution en 2 étapes. Tout d’abord, Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free auront la possibilité d’acquérir une bloc de fréquence de 40 à 60MHz, dont le prix sera défini par le gouvernement. Pour le reste des fréquences (310 MHz seront attribuées en tout) c’est un système d’enchère qui permettra aux opérateurs d’obtenir des blocs de 10 MHz. Toutefois, une limite serait imposée puisqu’un un opérateur ne pourra acquérir plus de 100 MHz

Selon Xavier Niel, Orange et SFR, qui disposent de davantage de moyens que Bouygues Telecom et Free, pourraient se retrouver avec un portefeuille de fréquences 5G deux fois plus importants que leurs concurrents. Si tel était le cas, Orange et SFR pourraient proposer une qualité de service et des débits beaucoup plus performants que ceux de Bouygues Télécom et Free. Pour Thomas Reynaud, le directeur général d’Iliad Thomas Reynaud il existe même un risque de « réserve foncière », c’est à dire que  "Orange et SFR pouvant être tentés, selon lui, d’acquérir plus de fréquences qu’ils n’en ont en besoin, sans les exploiter par la suite" rapporte 01Net

La solution pour les dirigeants de Free, afin de préserver un certain équilibre dans la répartition des fréquences, serait de proposer des blocs à tarif fixe de 60 MHz, couplés à un plafond maximum de 90 MHz par opérateur. L"opérateur rejoint ainsi la position de Bouygues Télécom sur le sujet.

Pour le moment cependant, rien n’est fixé puisque l’ARCEP attend les contributions à la consultation publique jusqu’à demain, 4 septembre,afin d’arrêter ces conditions d’attribution, et de transmettre une proposition au Gouvernement au cours des semaines suivantes.

 

 

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Free : découvrez la ville où l’opérateur ouvrira prochainement un nouveau Free Center

Free continue d’appliquer sa stratégie d’intensification du déploiement de son réseau de boutiques pour un meilleur quadrillage du territoire. Après l’annonce d’ouvertures de Free Center prochainement à Saint-Quentin (Aisne), Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) et Thiais ( Val-de-Marne), l’opérateur de Xavier Niel va s’implanter à Charleville-Charleville-Mézières.

C’est devenu une habitude, pour chaque nouvelle ville accueillant un Free Center, l’opérateur propose une petite énigme aux abonnés. Ainsi, Free a posté avant-hier sur Twitter une photo d’un logo agrémenté du message "bientôt". Aussitôt posté, aussitôt trouvé. Plusieurs internautes ont rapidement indiqué qu’il s’agit du logo de la Ville de Charleville-Mézières dans les Ardennes. L’opérateur de Xavier Niel va donc y ouvrir une boutique prochainement, soit en toute logique son 71ème Free Center.

 

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Fibre optique: où en est Free vis-à-vis de ses objectifs pour 2024 ?

Le trimestre dernier, Iliad, maison-mère de Free a présenté son plan Odyssée 2024, levant le voile sur les objectifs à moyen terme du groupe sur différents points. Après la publication de ses résultats trimestriels, qu’en est il aujourd’hui pour la fibre ?

L’opérateur avait annoncé avoir revu ses ambitions à la hausse pour le déploiement de la fibre en France, prévoyant ainsi 22 millions de prises raccordables en 2022 et 30 millions de prises en 2024. Un autre objectif concernait également le nombre d’abonnés fibre chez Free, qui devait passer d’1.1 millions à 4.5 millions d’ici la fin du plan Odyssée 2024. Où en est l’opérateur de Xavier Niel, trois mois après l’annonce de ce plan ? 

Concernant les abonnés fibre, Free est plutôt en ligne avec son objectif, ayant atteint aujourd’hui 1.4 millions d’abonnés fibre estimés, contre 1.1 million au trimestre dernier. Sachant que l’opérateur a prévu de dépasser la barre des 2 millions en 2020 et qu’il a été récemment classé comme le n°1 en terme de recrutement sur la fibre, l’objectif semble tenable.

Concernant le déploiement de la fibre, une des grosse nouvelle de cette journée concerne le partenariat de l’opérateur avec le fond d’infrastructure Infravia, qui devrait accélérer le mouvement. Si l’opérateur disposait de 10.5 millions de prises raccordables en mai, il en a rajouté 1 millions depuis, montant le nombre de prises à 11.5 millions. Le coup d’accélérateur de Free dans les RIP a joué un rôle important dans cette augmentation et devrait continuer à influer sur le nombre de prises raccordables, puisque l’activation des offres fibres sur les RIP se fait en plusieurs vagues. Cette hausse couplée à l’accord avec Infravia devrait permettre à Free de tenir ses objectifs en terme de déploiement puisque les zones de moyennes et basses densité concernées par cet accord représentent environ 26 millions de prises.

En somme, ça avance plutôt bien pour Free au niveau de la fibre, tant sur son recrutement d’abonnés que sur son déploiement. Si Free maintient le rythme sur ces deux points, les objectifs du plan Odyssée 2024 devraient être tenus en temps et en heure. 

 

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Free : Xavier Niel confirme le lancement d’une nouvelle Freebox possiblement en 2019

En marge de la présentation des résultats semestriels d’Iliad, Xavier Niel a lâché le morceau, Free prévoit bel et bien de commercialiser une nouvelle génération de Freebox dite intermédiaire. Son lancement pourrait intervenir dès cette année.

Après avoir lancé en décembre 2018 sa Freebox Delta et One, Free va remettre le couvert, plus rapidement que prévu. En décembre dernier, Xavier Niel nous a  révélé songer à développer une Freebox intermédiaire comme ce fut le cas en 2015 avec la Mini 4K : ” on a toujours une grosse et une petite génération, il faut que l’on prépare cette fois une génération différente de Freebox pour d’ici 1,2 ou 3 ans” . Mais depuis, la “Freebox Delta” résolument haut de gamme et “One” passée inaperçue, n’ont pas réussi à relancer la machine sur le fixe  puisque le FAI continue de perdre des clients sur ce segment. Free se doit de regagner des abonnés en masse et compte mettre en application et ce sans perdre de temps, sa stratégie d’alterner entre box haut de gamme et entrée de gamme. Dans cette optique, Xavier Niel a confirmé ce matin devant la presse, l’arrivée d’une nouvelle Freebox qui il espère sera lancée en 2019. Le fondateur de Free est en revanche resté muet sur ce que contient cette nouvelle Freebox. En juillet, dernier le compte Android TV Rumors a pour sa part déjà révélé l’arrivée cette année d’une nouvelle box de Free . Celle-ci serait moins chère et tournerait sous Android TV. Il faudra encore patienter pour en avoir le coeur net.

Source : 01NET

 

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