Bien décidé à éloigner un pylône Free Mobile des habitations, un collectif multiplie les propositions. S’il se dit à l’écoute pour trouver la meilleure solution, l’édile rappelle toutefois que la couverture à la clé doit être efficace et que l’opérateur a des délais à respecter.
“Décision a été prise d’étudier plus en détail ces propositions”, assure Lionel Aigron. Le maire de Saint-Généroux fait référence aux “cinq nouveaux emplacements” proposés par un collectif de riverains pour l’implantation d’un pylône Free Mobile qu’ils voudraient garder éloigné des habitations. Parmi eux : “trois terrains communaux et deux terrains parcelles privées que les propriétaires sont prêts à céder pour un euro symbolique”, détaille Frédéric Le Moal, l’un des membres du collectif.
Lionel Aigron explique en effet avoir présenté les solutions lors d’une rencontre ce mardi avec un représentant de la préfecture et de l’opérateur. “Je peux déjà dire qu’il y a deux des terrains proposés qui ne s’y prêtent pas”, indique d’emblée l’édile. Son explication est claire : “Oui, la commune est grande, mais l’antenne doit être placée à un endroit qui offrira une couverture efficace dans la zone blanche qu’elle est censée combler. Trouver le bon endroit n’est pas si simple”.
Lionel Aigron souligne un autre aspect à prendre en compte : le temps. “Free est contraint par un arrêté dans les délais de réalisation, avec une date de mise en service prévue. Trouver un autre emplacement risque de vouloir dire repartir à zéro, et cela peut prendre du temps”, explique-t-il.
Source : La Nouvelle République
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