Des forfaits mobiles plus accessibles et de nouveaux services pour accompagner le pays dans sa transformation digitale, tel est l’objectif de Free Sénégal, l’un des trois opérateurs mobiles virtuels au Sénégal.
“En moins d’un an, avec l’arrivée de Free, les Sénégalais ont pu bénéficier de baisses conséquentes sur leurs tarifs de communications mobiles et Internet : moins 34 % sur le prix de la minute de communication et moins 75 % sur le prix de l’Internet mobile”, selon Mamadou Mbengue. Lors d’une interview accordée au CIO Mag, le directeur général de Free Sénégal, fruit du rachat de Tigo et d’un renommage, a rappelé que l’opérateur mobile virtuel a permis de rendre les forfaits mobiles bien plus accessibles.
Participer à la transformation digitale du pays
Pour autant, Mamadou Mbengue explique qu’il ne s’agit pas se positionner en tant qu’opérateur low cost. “Nous nous percevons plutôt comme un opérateur qui allie juste prix, qualité de réseau et expérience client inédite”, indique-t-il. Selon lui, il s’agit en filigrane de participer à la transformation digitale du pays, en donnant accès à tous les services numériques associés. Celui-ci rappelle d’ailleurs que le taux de pénétration en Afrique était de 34 % en 2019 et pourrait atteindre en 2025. Il y a donc encore du pays sur la planche, mais aussi des parts de marché à prendre.
D’où le lancement, fin 2019, de Free Money, une plate-forme de transfert d’argent et de paiement. Mamadou Mbengue explique d’ailleurs qu’il y a un lien entre les forfaits attractifs qu’il propose et son service monétaire. Le second a tout simplement besoin des premiers.
Pas l’ambition d’être une banque
Pas question pour autant de devenir une banque à part entière. “Sur cette question, nous voulons être très clairs. Nous sommes partenaires du secteur bancaire. Par conséquent, nous n’ambitionnons pas d’être une banque”, a affirmé Mamadou Mbengue.
Il rappelle d’ailleurs que ses outils sont mis à disposition des partenaires, pour faciliter l’utilisation de Free Money sur de nombreuses plates-formes et “favoriser l’éclosion d’un écosystème de FinTech”. Et d’ajouter : “Les acteurs de la finance digitale au Sénégal et en Afrique ont une chance inouïe de se développer à travers le projet d’interopérabilité initié par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et dont le lancement officiel est prévu pour 2021. Cette initiative permettra de fusionner l’ensemble des plates-formes de la finance digitale et profitera au client final”.
Le directeur général de Free Sénégal pense par ailleurs que la digitalisation des paiements a pris du sens avec la crise sanitaire. “À l’heure de la digitalisation des transactions, et dans un contexte de pandémie, le sans-contact est devenu une norme. Free Money est une des réponses mises à disposition des Sénégalais”, a-t-il déclaré.
Source : CIO Mag N°66 Septembre/Octobre 2020
Digital veut dire qui se rapporte au(x) doigt(s). Le terme à utiliser est numérique.
http://www.academie-francaise.fr/digital
Ben oui il faut taper ton code
Ou voir ton visage : alors... optique ?
ou empreinte et la de nouveau digital
Bon, OK pour l’empreinte digitale, tu m’as tué.
Mais l’empreinte numérique, on en parle ?
Oui dans la vie aujourd'hui on laisse autant d'empreinte "numérique" que "digitale"