Auteur : dimitri

Télécommande Freebox : la zapette virtuelle désormais compatible avec deux nouvelles box

L’application “Télécommande Freebox” se met à jour dans sa déclinaison Android pour se rendre disponible à davantage d’utilisateurs. La liste de players compatibles s’allonge.

Disponible sous Android et iOS via le Play Store et l’App Store, l’application Télécommande Freebox permet de bénéficier d’une télécommande virtuelle. La déclinaison Android vient d’ailleurs de passer en version 1.2.0 afin d’élargir son public. Le développeur annonce une seule nouveauté, et pas des moindres : la prise en charge pour de deux nouveaux players Freebox. À ceux pris en charge s’ajoutent en effet ceux des Freebox Pop et Freebox mini 4K. Jusqu’à présent, la liste incluait déjà les players Freebox V5, Crystal, Révolution, One et Delta.

 

L’application “Télécommande Freebox” nécessite pour rappel que l’appareil soit connecté au réseau Wi-Fi de la Freebox. Côté fonctionnalités, on a des boutons pour afficher le clavier virtuel, la commande vocale, la manette virtuelle et le guide des chaînes. On a également le retour haptique. Elle peut se montrer pratique lorsque l’on ne trouve plus sa télécommande ou lorsque l’on se retrouve à court de piles en plein week-end.

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Test du Oppo A53s disponible chez Free Mobile : un smartphone intéressant pour les petits budgets

Positionné sous la barre des 200 euros, l’Oppo A53s met en avant quelques atouts comme son écran 90 Hz pour plus de fluidité ou sa grosse batterie 5 000 mAh pour une solide autonomie. Voici nos impressions après une semaine en sa compagnie.

Avant de passer au test, rappelons les principales caractéristiques de l’exemplaire qui nous a été prêté par Oppo et que l’on trouve en ce moment à 199 euros dans la boutique Free Mobile :

 


Fiche technique du Oppo A53s : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz (chipset Snapdragon 460)
–   Mémoire vive : 4 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,5 pouces
avec une définition HD+ (1 600 x 720 pixels) et un taux de rafraîchissement jusqu’à 90 Hz
–   Audio : son stéréo
–   Stockage : 128 Go en UFS 2.1 extensible par carte MicroSD (jusqu’à 256 Go)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes 1/2/3/4/5/7/8/12/17/18/19/20/26/28
–   Compatibilité 5G : non


–   Triple capteur photo au dos (organisation en ligne) : 13 + 2 + 2 Mégapixels
(principal + macro + portrait)
–   Capteur photo à l’avant : 8 Mégapixels dans un poinçon en haut à gauche


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : version 5 (802.11ac)
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 18 Watts (bloc 9V/2A inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface ColorOS 7.2


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
ou lecteur d’empreintes digitales au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : février 2021


 

Un smartphone beau, mais salissant

Visuellement, l’Oppo A53 est plutôt réussi, notamment dans la finition “Bleu des tropiques” de notre modèle de prêt. Au moins, jusqu’à ce que la coque soit couverte de traces de doigt ou de poils d’animaux. Autant prévenir les maniaques : elle accroche tout.

La préhension est plutôt bonne avec le poids pas excessif (malgré la bonne batterie à bord), l’épaisseur contenue et les tranches arrondies. Les maladroits devront toutefois faire attention avec la coque un peu glissante. Pour eux, une coque de protection ne sera pas un luxe.

Enfin, le smartphone n’est pas trop bancal sur le dos, avec un bloc photo arrière large et peu épais. Non loin de lui se trouve d’ailleurs le lecteur d’empreintes digitales.

Écran 90 Hz et son stéréo sous les 200 euros

L’écran de l’Oppo A53s a un argument intéressant sur son segment tarifaire, à savoir le taux de rafraîchissement 90 Hz apportant de la fluidité. Il évite également l’encoche goutte d’eau, en ayant recours à un poinçon excentré pour échapper autant que possible à l’oeil durant la vidéo ou le jeu. Pas de Full HD+ par contre, puisqu’il faut se contenter d’une définition HD+. Pas d’OLED non, mais de l’IPS. Depuis les paramètres, on peut ajuster la chaleur d’affichage ou le taux de rafraîchissement.

Côté son, l’Oppo A53s a également des arguments au regard de son prix : un son stéréo avec de la puissance et du relief, une connectique mini-jack et des écouteurs fournis qui sont d’assez bonne facture.

Rien de foufou en photo

La partie photo fait l’impasse sur quelques fonctions pratiques comme l’ultra grand-angle ou le mode nuit. Elle ne propose rien non plus de foufou dans de bonnes conditions de luminosité (manque de détails et mauvaise gestion de la lumière notamment). C’est, à nos yeux, le point faible de l’Oppo A53s.

Ci-dessous, une photo de jour en extérieur, puis ses versions zoomées 2x et 5x :

Deux autres photos en extérieur, par beau soleil :

Une photo en intérieur :

Une photo avec le mode macro :

Deux photos de nuit :

Un selfie donnant l’impression d’une forte luminosité, puis la luminosité perçue par le capteur dorsal (il commençait en fait à faire nuit…) :

4G 700 MHz et dual-SIM

L’Oppo A53s se limite à la 4G pour la partie réseau. Pas de 5G pour lui. Ce smartphone propose une gestion dual-SIM avec deux logements Nano-SIM au niveau de la tranche gauche. D’ailleurs, pas de logement hybride obligeant à choisir entre dual-SIM et extension mémoire. Enfin, il supporte la 4G 700 MHz chère aux abonnés Free Mobile.

Ci-dessous, des débits en intérieur :

Puis des débits en extérieur :

Le jeu ? Ça dépend…

Avec son chipset Snapdragon 460 associé à 4 Go de mémoire vive, l’Oppo A53s n’est pas le parfait compagnon du gamer. Il permet de jouer, mais pas confortablement à tous les titres du Play Store. Call of Duty Mobile tournait tranquillement avec les graphismes moyens, sans saccades. Asphalt 9 se lançait également, mais avec l’impression d’un manque de fluidité en réglage par défaut. Nous avons dû réduire les options graphiques au minimum pour avoir une fluidité correcte. Concernant la chauffe, rien à signaler.

De son côté, l’outil Disk Speed nous indiquait 335 Mo/s en lecture et 242 Mo/s en écriture.

Une autonomie confortable, une charge pas trop longue

Avec une batterie de 5 000 mAh à bord, l’Oppo A53s permet de tenir deux jours loin du secteur sans se restreindre, voire trois jours dans le cas d’un usage assez modéré. Un gage de sérénité au quotidien.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h24 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 9h04 avec 14 % :

– 20 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 1 heure et 45 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 15 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– Consultation et alertes Twitter / Gmail
– Surf sur Internet
– 3 appels courts
– SMS
– Photos
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– 18 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application
– 1 mise à jour système
– Tests de débit

La charge 18 Watts, qui s’effectue d’ailleurs via une connectique USB-C, rend le temps de charge acceptable en gardant à l’esprit la taille de la batterie.

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 9h15 : 0
– 9h20 : 4 %
– 9h25 : 10 %
– 9h30 : 16 %
– 9h35 : 23 %
– 9h45 : 36 %
– 10h02 : 53 %
– 10h29 : 79 %
– 10h35 : 83 %
– 10h39 : 86 %
– 10h49 : 92 %
– 11h17 : 99 %
– 11h24 : 100 %

Pas de charge sans-fil, par contre.

Une interface basée sur Android 10

Avec son A53s, Oppo fournit une interface ColorOS 7.2 basée sur Android 10

Elle propose quelques fonctions pratiques, comme :
– Le choix d’avoir ou non un tiroir d’applications
– L’écran scindé pour afficher deux applications en même temps
– La gestion avancée des gestes
– La barre latérale de raccourcis
– Le mode nuit
– L’espace de jeu pour gérer ses jeux installés (améliorer l’autonomie ou favoriser les performances, bloquer les notifications et appels ou verrouiller la luminosité)

En sortie de boîte, l’Oppo A53s n’est pas blindé de logiciels partenaires plus ou moins exotiques. On a Facebook et WPS Office que vous pourrez désinstaller.

Concernant la partie sécurité, les deux solutions de déverrouillage avancé, à savoir la reconnaissance faciale et le lecteur d’empreintes dorsal, fonctionnaient à merveille. Une mise à jour système nous a permis d’installer les patchs du mois de février 2021.

 


VERDICT

Pour un smartphone sous la barre des 200 euros, l’Oppo A53s a quelques arguments intéressants comme son écran fluide, son rendu audio stéréo bienvenu en multimédia, son stockage plutôt confortable, sa très bonne autonomie et sa charge filaire assez rapide. Sur ce segment tarifaire, il faut toutefois faire des compromis. La partie photo se révèle très moyenne, tandis que les performances permettront du jeu, mais pas dans les meilleures conditions. Sans surprise, il fait l’impasse sur la 5G récemment lancée en France. Bref, l’Oppo A53s se présente comme une option intéressante dans le cas d’un budget limité.

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Un incendie criminel a impacté les abonnés Internet d’une trentaine de communes, dont certains chez Free

Un incendie criminel a provoqué des perturbations sur les réseaux de plusieurs opérateurs, dont Orange, Free et SFR. L’opérateur historique a déposé plainte et une enquête a été ouverte.

Un regard technique d’Orange dans la rue du Pont Noir, à Pierrelatte, commune du département de la Drôme, a été victime d’un incendie d’origine criminelle. Les faits se sont déroulés le week-end dernier, dans la nuit du samedi à dimanche, vers 4h30. Après avoir soulevé la trappe donnant accès au réseau et permettant habituellement la maintenance par les techniciens, le ou les malfaiteurs ont mis le feu.

Pierrelatte n’a pas été la seule commune touchée. Une trentaine de communes dans les départements de la Drôme et du Vaucluse ont en effet rencontré des perturbations sur le réseau. Les dysfonctionnements ont été notés sur le réseau d’Orange, mais aussi sur celui de Free. Orange a indiqué ainsi des connexions problématiques sur le réseau fixe sur les communes de Pierrelatte et Valence pour environ 1 500 clients grand public et entreprises. Son réseau mobile a aussi été touché, à Pierrelatte.


Une photo des dégâts occasionnés (crédit Radio France)

Une plainte a été déposée par l’opérateur historique. L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Pierrelatte. Celle de Grenoble y participe également.

Un retour à la normale

“Pour 1500 clients Orange, la ligne fixe est toujours coupée ou perturbée, à Pierrelatte et à Valence. Pour ce qui est de la fibre internet, le réseau a été rétabli cette nuit”, a annoncé Orange, d’après France Bleu. Idem pour le réseau mobile de l’opérateur. Quelques jours seront en revanche nécessaires pour un rétablissement total des lignes fixes. Lui aussi concerné, SFR a indiqué que tout était rentré dans l’ordre depuis 3h45.

Source : France Bleu

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Iliad/Free : la politique d’égalité salariale femmes-hommes continue de produire des résultats

Iliad affiche les résultats en progression de sa politique d’égalité femmes-hommes, tout en promettant un plan d’action pour les entités où cela se révèle nécessaire.

“Une nouvelle progression au niveau groupe”, se félicite Iliad. La maison-mère de Free et Free Mobile peut en effet se targuer d’avoir de nouveau amélioré sa note obtenue à l’index égalité femmes-hommes instauré par le Ministère du Travail en 2019.

Après avoir obtenu un 83/100 en 2019, le groupe parvient à une note de 90/100 en 2020. “Ces  résultats viennent démontrer de façon  quantitative ce qui  constitue le cœur de notre politique RH depuis nos débuts : valoriser les talents sans aucune distinction, notamment de sexe”, explique Iliad dont le conseil d’administration compte aujourd’hui 44 % de femmes et le Comité exécutif 33 % de femmes.

De bons scores

UES Iliad, UES MCRA, Free Distribution et Proteco obtiennent ainsi des notes respectives de 95/100, 94/100 et 89/100 et 80/100. L’entité UES Iliad, qui regroupe six filiales (Iliad, Free SAS, Free Mobile, Free Infrastructure, Free Réseau et Assunet), a progressé de 18 points en un an, “alors même que les effectifs ont significativement augmenté”, souligne Iliad. UES MCRA a aussi progressé, de 5 points.

Baisse de 8 points en revanche pour Free Distribution, en raison d’une perte de 10 points sur l’écart d’augmentation, en faveur des femmes cette année. Recul aussi pour Proteco, de 14 points, avec la promesse d’une amélioration concernant la part des femmes dans les 10 plus fortes rémunérations.

Mais de bonnes marges de progression

Jaguar et Online affichent des résultats à 61/100 et 64/100. L’entité Jaguar n’est pas la meilleure élève, mais affiche une belle amélioration en l’espace d’un an. Son score a augmenté de 20 points. 28 points de baisse en revanche pour Online. “La perte de points se situe sur plusieurs axes : les écarts de rémunération et d’augmentation qui sont en faveur des hommes”, explique Iliad.

“Nos filiales B2B et Cloud, Jaguar Network et Online, enregistrent néanmoins des notes qui restent inférieures à 75. Nous avons donc mis en place un plan d’action pour 2021”, promet le groupe. “En dessous de 75, la note est considérée comme insuffisante et le Législateur exige que l’entreprise améliore sa situation dans un délai de 3 ans”, rappelle-t-il.

Un indicateur basé sur cinq critères

Depuis son entrée en vigueur le 1er mars 2019, la loi du 5 septembre 2018 oblige les entreprises de plus de 1 000 salariés à publier un index d’égalité femmes-hommes. Cet index repose sur cinq indicateurs que sont l’écart de rémunération femmes-hommes, l’écart dans les augmentations annuelles, l’écart dans les promotions, les augmentations au retour de congé maternité et la présence de femmes parmi les plus gros salaires de l’entreprise.

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Free Mobile : entre pragmatisme et inquiétudes face une future antenne-relais

Le projet d’implantation d’une antenne-relais Free Mobile n’a pas encore abouti. La commune affiche sa confiance pour la suite, mais elle doit encore rassurer les riverains inquiets.

Free voudrait une antenne-relais dans la rue de la Ruellette, à Marquise, commune du Pas-de-Calais, afin d’y améliorer sa couverture dans la zone. L’opérateur de Xavier Niel n’a toutefois pas encore obtenu l’accord de la mairie. Et pour cause, puisque le projet ne fait pas l’unanimité.

“Rien n’est encore décidé. Nous voulons être certains qu’aucun danger ne pourrait mettre en péril la santé des habitants”, explique le maire Bernard Évrard. “Le document qui a été présenté répond aux conditions d’urbanisme en vigueur”, ajoute-t-il.  La mission consiste pour l’instant à rassurer une partie des habitants, certains ayant fait part de leurs inquiétudes vis-à-vis de l’antenne. “J’ai reçu un couple riverain qui trouve que cette antenne comporte des risques”, explique en effet l’élu. 

D’autres font preuve de pragmatisme. “Il faut vivre avec son temps. Je suis moi-même utilisateur Free et je me rends compte que le réseau sature par moments. Je pense que ce projet sera accepté”, indique Daniel Andreilleu, conseiller municipal et proche voisin du lieu d’implantation envisagé pour accueillir l’équipement du telco. 

Source : La Voix du Nord

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Free Mobile : malgré la mutualisation pour éviter la multiplication des équipements, un pylône ne fait pas l’unanimité

Une solution a été trouvée par Free, ses rivaux et une commune pour améliorer la couverture réseau d’une zone, tout en limitant le nombre de pylônes dans le paysage. Mais ça ne suffit pas.

Un nouveau pylône de 35 mètres a été installé la semaine dernière par Free sur le parking de la plage du Petit Travers, commune de Carnon, dans le département de  l’Hérault. Le permis de construire avait été délivré le 27 septembre 2017 et la convention d’occupation du domaine public été approuvée le 9 avril 2018.

Un pylône mutualisé pour limiter les équipements

Mutualisé, l’équipement a aussi été prévu pour accueillir les antennes d’Orange, Bouygues Telecom et SFR. “Ce pylône est donc mutualisé par les opérateurs, ce qui évite la multiplication des mâts. Par ailleurs, il accueillera et regroupera également des équipements, par exemple des liaisons radio et informatique, pour les besoins des services publics communaux”, explique la commune. Et d’ajouter que “son installation permettra également de supprimer les antennes sur le château d’eau de l’avenue Grassion-Cibrand qui pourra être réhabilité”.

Mais qui ne fait pas l’unanimité

Malgré cela, le nouvel équipement ne fait pas l’unanimité auprès des riverains. “J’appelais ce coin mon petit jardin. Aujourd’hui, c’est fini avec ce pylône qui entraîne de véritables nuisances visuelles. Il n’a pas sa place en bord de mer. C’est affreux”, déplore l’un des voisins du nouveau pylône.

Celui-ci ne compte d’ailleurs pas en rester là. “Je ne comprends pas que personne n’ait réagi. J’ai donc pris contact avec une association de défense de l’environnement et un avocat pour envisager des suites à donner. J’envisage également de créer un collectif”, indique-t-il. Le riverains mécontent a d’ailleurs une idée en tête : “Je sais que ce sera difficile de la faire démolir, mais…”.

Source : Midi Libre

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Tech chez Free : focus sur les bornes interactives de l’opérateur et leurs possibilités

L’opérateur de Xavier Niel propose des bornes interactives. Mais à quoi servent-elles exactement ? Où les trouver ?

Elles sont plus de 1 000 à être déployées sur le territoire. On peut les trouver dans les magasins de presse, les galeries commerciales, les magasins Fnac, les magasins The Kase ou même dans le lieu d’accueil d’Univers Freebox. Annoncées en 2014, il s’agit des bornes interactives de Free. Celles-ci ont été développées par l’équipe de Recherche & Développement de l’opérateur qui était alors le 1er en France à proposer ce service.

Plusieurs possibilités pour les abonnés Freebox et Free Mobile

Munies d’un écran tactile et d’un terminal de paiement par carte bancaire, elles offrent différentes possibilités aux abonnés ou futurs abonnés Free.

Dans le cas du mobile, pour lesquelles ces bornes étaient initialement prévues, il est possible de découvrir les offres et leurs tarifs, mais également d’y souscrire. Parmi les offres Free Mobile disponibles, il y a le petit forfait à 2 euros, le gros forfait 19,99 euros et la Série Free. Chose à noter : les forfaits 2 euros et 19,99 euros sont également disponibles pour une période d’un mois, ce qui peut être pratique pour des touristes. La durée de validité peut être rallongée par tranche d’un mois ou deux mois ou être annulée pour passer à un abonnement classique. Lors de la souscription, le paiement se fait par carte bancaire (on pourra passer à un paiement par RIB depuis l’Espace Abonné) et l’abonné repart avec sa carte SIM active et disponible en quelques minutes. Le nouvel abonné aura également accès la portabilité pour conserver le numéro de son opérateur précédent. Par la suite, il sera possible de régler une facture ou de commander une nouvelle carte SIM (10 euros) dans un nouveau format (en cas de changement de mobile). Il sera également possible de récupérer une carte SIM perdue ou volée.

Concernant les forfaits Internet, on peut découvrir les offres, tarifs et conditions générales de vente, mais également vérifier son éligibilité à la fibre optique grâce son adresse postale. L’abonné a le choix entre les Freebox mini 4K, Freebox Révolution, Freebox Pop, Freebox Delta (player Delta ou Pop) et Freebox Delta S. L’abonné recevra un e-mail de confirmation dans les 48 heures après son inscription depuis la borne et le matériel lui sera livré à l’adresse fournie.

Une alternative

Il s’agit donc d’une alternative intéressante aux boutiques Free Center, au service commercial par téléphone ou au site Internet de l’opérateur. Un moteur de recherche par ville ou code postal et une carte interactive, accessibles à cette page, permettent de les localiser. À noter enfin que les tarifs sur les bornes sont les mêmes que ceux affichés sur le site.

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Optimisations, décisions et fidèles : les clés de Xavier Niel pour gérer son vaste empire

Xavier Niel est à la tête d’un immense empire allant bien au-delà de Free et des télécoms. Le milliardaire de 53 ans a d’ailleurs sa façon bien à lui de le gérer. Elle repose notamment sur la fidélité de ses collaborateurs et partenaires.

L’empire de Xavier Niel, le papa de Free, est vaste et continue de s’étendre tout en se diversifiant au-delà des télécoms, avec comme récents exemples en date des investissements dans les secteurs de l’agriculture, de la restauration, de la presse hippique ou de la viande végétale. Malgré la complexité, la machine est d’ailleurs bien huilée, comme le montrent nos confrères de Capital.

Optimiser

Dans une vie aussi remplie, pas question de perdre du temps. Exemple parlant, lors d’une rencontre d’affaires au restaurant, Xavier Niel ne tergiverse pas devant le menu et se contente de prendre la même chose que son invité. Dans un autre registre, il se simplifie l’existence en alternant entre deux uniformes : jean et t-shirt ou costume et chemise. On le sait également, le papa de Free gère lui-même ses 2 000 e-mails quotidiens. Un serveur avec des filtres adaptés (perso, Free, presse, etc.) lui assure d’ailleurs une gestion plus efficace.

Cette volonté d’optimisation se retrouve également dans les déplacements. Xavier Niel peut aussi bien opter pour un taxi que pour la trottinette, en fonction du choix apparaissant le plus pratique à ce moment-là. Elle s’illustre également dans une présentation en public comme celle pour le lancement de la Freebox Pop en juillet 2020, “réécrit 40 fois et répété quotidiennement pendant une semaine”, explique la directrice marketing de Free Camille Perrin.

Allez au front et prendre des décisions

Xavier Niel n’hésite par ailleurs pas à mouiller le maillot, que ce soit pour le lancement de la 5G avec la vidéo où il se prend un seau d’eau sur la tête, mais également pour aller à la rencontre des développeurs au cinquième étage afin de signaler un bug technique.

Cet aspect s’est également retrouvé dans sa colère face à Éric Fottorio, ex-directeur du directeur du Monde, traité de “parasite” avant d’être poussé vers la sortie, ou dans sa fronde menée contre le gestionnaire de baux commerciaux Unibail avec l’enchaînement des appels aux investisseurs et des interviews assassines. Alain Mine, conseiller sur le dossier Unibail, souligne d’ailleurs ce apparait comme un “premier raid” au cours duquel il “semble s’être beaucoup amusé”.

Pour être réactif, Xavier Niel se laisse de la place. “Xavier s’oblige à laisser une grande part de son agenda ouvert, ça lui permet de s’adapter et de rester disponible. Il se déplace partout, il a besoin de sentir les choses, de discuter”, explique Matthieu Pigasse, l’un de ses associés de longue date dans les affaires.

Une armée de fidèles collaborateurs et partenaires

Pour l’aider dans son quotidien, Xavier Niel peut compter sur une armée de fidèles, comme Thomas Renaud, l’actuel directeur général, présent dans le groupe depuis 14 ans. L’exemple le plus parlant reste sa secrétaire Agnès Quinchon, à ses côtés depuis l’époque des services minitel rose il y a plus de 30 ans. L’homme fort de Free sait également faire revenir une personne dans sa sphère après un désaccord. Exemple : le directeur général démissionnaire Michaël Boukobza Golan parti en Israël, rapidement revenu lorsqu’il a été sollicité. Il peut enfin compter sur ses partenaires récurrents lorsqu’il s’agit d’investir. On peut citer Mathieu Pigasse, dans le domaine des médias et contenus, ou la famille Pariente, dans le domaine de l’immobilier.

Xavier Niel pense en outre à renouveler sa sphère de collaborateurs et partenaires. Il a ainsi demandé à un chasseur de têtes de chercher les profils pour la gestion de sa société HoldCo qu’il détient à 100 % et représente la moitié du capital d’Iliad. Mi-2020, son choix s’est ainsi porté sur Aude Durand, assez compétente du fait de son par parcours (Standord), mais pas trop formatée non plus (28 ans).

En termes de management, Xavier Niel donne de la liberté, mais attend des résultats et n’hésite pas à le rappeler. “L’obligation de résultat et un investissement total sont les contreparties logiques de l’indépendance qu’il nous laisse”, explique Louis Dreyfus

Un modèle

Le milliardaire de 53 ans fait figure d’exemple aux yeux de certains. “Tout le monde lui reconnaît un rôle de modèle”, rappelle Xicolas Dufourcq, à la tête de Bpifrance.

Source : Capital (version papier)

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Free veut quadriller la France avec une armada de mini centres d’appels

Au plus proche des abonnés, telle est la volonté affichée par Free. Celle-ci s’illustre d’ailleurs avec un nouveau déploiement ayant démarré l’année dernière sur le territoire.

Après s’être lancé dans la multiplication des boutiques physiques Free Center pour mieux quadriller le territoire et se rapprocher de sa communauté d’abonnés ou prospects, Free a désormais pour ambition de développer un réseau de mini centres d’appels à travers la France qui lui permettra aussi de maintenir une certaine proximité.

Ceux-ci prendront la forme d’appartements loués et permettront de traiter les soucis rencontrés par les abonnés Free dans une zone, que ce soit par téléphone ou en se déplaçant. Par rapport aux 5 centres d’appels installés à quelques centaines de kilomètres dans l’hexagone ou encore les deux structures du groupe situées au Maroc, la relation Abonnés s’annonce plus efficiente, en particulier la résolution des problèmes des clients.

12 mini centres d’appels en 2021

L’opérateur de Xavier Niel a ainsi, en toute discrétion, loué une dizaine d’appartements répartis dans Paris et situés au milieu des habitations, dans le courant de l’année 2020. 11 salariés y travaillent déjà pour assurer l’assistance de 30 000 abonnés Free dans la zone. En 2021, le réseau de mini centres d’appels de Free doit être étendu à 12 villes françaises, révèlent nos confrères de Capital. Parmi elles : Bordeaux, Lille, Lyon et Marseille, où l’on comptera entre 1 et 3 centres. En Île-de-France, le nombre doit atteindre les 19. Mais selon Capital, ce projet déjà activé, inquiète les syndicats lesquels craignent un impact possible sur l’emploi.

Source : Capital n°354 (version papier)

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Choc des smartphones chez Free Mobile : 3 modèles Android à 199 euros, lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement trois smartphones Android à 199 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous opposons les Xiaomi Redmi Note 9, Oppo A53s et Nokia 5.3, tous les trois proposés à 199 euros. Notez qu’ils peuvent être acquis en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi et Oppo

Au chapitre de l’écran, Xiaomi et Oppo ont chacun un argument à faire valoir. Le Redmi Note 9 offre une définition FHD+, tandis que l’A53s profite d’un rafraîchissement en 90 Hz pour apporter plus de fluidité. Dans les deux cas, on a une dalle IPS poinçonnée.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, FHD+, IPS et poinçon)
  2. Oppo A53s (6,5 pouces, HD+, IPS, poinçon et 90 Hz)
  3. Nokia 5.3 (6,55 pouces, HD+, IPS et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : Xiaomi ou Nokia

Les Xiaomi Redmi Note 9 et Nokia 5.3 embarquent tous les deux un processeur octa-core 2,0 GHz avec 3 Go de RAM, avec la promesse d’une solution pensée pour le jeu mobile (d’où le G) pour le modèle Xiaomi. 

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Helio G85 et mémoire vive 3 Go)
  2. Nokia 5.3 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Snapdragon 665 et mémoire vive 3 Go)
  3. Oppo A53 (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Snapdragon 460 et mémoire vive 4 Go)

La photo : Xiaomi

Le Xiaomi Redmi  Note 9 est le seul à embarquer un capteur principal 48 Mégapixels et propose un peu plus de définition pour les selfies.

Les prestations sont globalement les mêmes pour les Nokia 5.3 et Oppo A53s. Le premier ajoute cependant le module ultra grand-angle, toujours pratique pour certaines scènes. Après, il ne faudra pas attendre des étincelles non plus.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 13 Mégapixels à l’avant)
  2. Nokia 5.3 (13/5/2/2 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)
  3. Oppo A53s (13/2/2 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi et Oppo

Grâce à leur grosse batterie, les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A53s laissent envisager les 2 voire 3 jours d’autonomie avec une puissance de charge 18 Watts permettant d’éviter les temps de charge interminables. Le Nokia 5.3 n’est pas si mal loti, mais moins intéressant sur les deux aspects.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (batterie 5 020 mAh ; charge 18 Watts en USB-C)
  2. Oppo A53s (batterie 5 000 mAh ; charge 18 Watts en USB-C) 
  3. Nokia 5.3 (batterie 4 000 mAh ; charge 10 Watts en USB-C)

Le choix d’Univers Freebox :  Xiaomi

Le Xiaomi Redmi Note 9 apparaît comme la solution la plus équilibrée des trois, en offrant l’écran bien défini, la puissance nécessaire pour du multimédia dans de bonnes conditions et la polyvalence en photo. Il offre également une autonomie solide avec une charge assez rapide.

On peut toutefois souligner quelques atouts intéressants pour les deux rivaux. L’Oppo A53s offre l’écran 90 Hz pour la fluidité, le son stéréo bienvenu en multimédia et le stockage deux fois plus important (128 Go contre 64 Go pour les deux autres). Faisant partie du programme Android One, le Nokia 5.3 a pour lui l’expérience Android sans surcouche, telle que voulue par Google.

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