À l’occasion de la journée internationale des geeks, le fondateur de Free prend la pose.
Aujourd’hui, c’est la journée mondiale des geeks. Pour l’occasion, Xavier Niel assume pleinement son côté geek, et même rétrogamer, à en croire la photo postée sur le compte Twitter de Free.
On voit en effet le fondateur de Free à côté de reproductions en Lego de la saga Star Wars, dont l’AT-AT, et en train de jouer à Bubble Bobble de Taito sur une borne d’arcade estampillée Iliad. Une borne d’arcade d’ailleurs déjà aperçue dans les photos d’un étudiant nommé Lucas qui avait gagné une journée avec Xavier Niel et Thomas Reynaud au siège de Free.
Geek un jour, geek toujours ! 🕹ï¸
Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 150 euros ?
Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles chez Free. Ces derniers temps, la boutique de l’opérateur s’est enrichie de plusieurs modèles à moins de 150 euros, proposant ainsi plus de choix aux personnes au budget serré. Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone.
Alcatel 3L 2020 : le paquet sur la photo sur un smartphone à 139 euros
Avec son triple capteur 48 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière (principal + ultra grand-angle + macro), le constructeur entend proposer une certaine polyvalence en photo sur un smartphone à petit prix. À côté de cela, il s’équipe d’un écran IPS 6,22 pouces HD+ où s’affiche une interface Android 10, d’un stockage 64 Go et d’une batterie 4 000 mAh annonciatrice d’une autonomie confortable. Bienvenue aussi : la présence du mini-jack
Nous vous proposerons prochainement un test complet de ce smartphone. Il vient en effet d’arriver à la rédaction.
Nokia 2.3 : le smartphone Android One à 129 euros
Avec le Nokia 2.3, on profite de la dernière version d’Android, d’une certification Android One assurant un bon suivi dans les mises à jour, de performances suffisantes pour jouer à des titres tels qu’Asphalt 9 ou Call of Duty Mobile (avec des graphismes au minimum, évidemment) et d’une autonomie atteignant facilement les 2 jours. Sans trop de surprise, la partie photo se révèle très moyenne. Il faudra aussi composer avec une charge assez lente (à faire la nuit, donc) et une reconnaissance faciale pas des plus rapides non plus.
Le test complet du Nokia 2.3
Alcatel 1S 2020 : le smartphone à 99 euros
L’Alcatel 1S 2020 est le smartphone le moins cher parmi ceux actuellement disponibles dans la boutique de Free Mobile.
Sous Android 10, il propose un processeur octa-core 1,8 GHz avec 3 Go de RAM, un écran IPS 6,22 pouces HD+, un stockage 32 Go extensible par MicroSD, un triple capteur photo 13 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière, un capteur 5 Mégapixels pour les selfies et une batterie 4 000 mAh. On a donc la dernière version de l’OS mobile de Google avec la promesse d’une bonne autonomie. Il faudra évidemment faire des concessions en termes de performances et de photo.
Lui aussi est récemment arrivé entre les mains de la rédaction d’Univers Freebox, qui vous en proposera bientôt un test complet.
Réouverture réussie pour les boutiques Free Centers
Free a rouvert la quasi-totalité de ses boutiques physiques avec les mesures sanitaires appropriées pour protéger ses collaborateurs et abonnés. Une opération d’ailleurs réussie, selon l’opérateur.
Parmi les trois objectifs à court terme une fois le processus de déconfinement engagé, Free avait annoncé la relance de ses activités commerciales, avec notamment la réouverture de ses 86 Free Centers.
Une dizaine (Antibes, Bayonne, Caen, Le Havre, Lorient, Lyon Part-dieu, Nice Jean Médecin, Nîmes, Tours et Saint-Étienne) a ainsi recommencé à accueillir le public dès le 11 mai. Hormis celui rue de la Ville-l’Évêque à Paris et celui du centre commercial Belle Épine à Thiais, pour lesquels le site de l’opérateur indique une fermeture “jusqu’à nouvel ordre”, le reste des boutiques a rouvert ses portes le 18 mai.
Des ouvertures avec bien évidemment la mise en place des mesures sanitaires incluant le marquage au sol pour faciliter la distanciation en cas d’attente, la limitation à 2, 3 ou 4 visiteurs simultanés selon la taille du Free Center, le nettoyage des mains avec du gel dès l’entrée pour chaque visiteur, le port du masque recommandé pour les visiteurs et systématique pour les collaborateurs ou encore le nettoyage régulier de la boutique.
Interrogée par Univers Freebox, Sara, chargée de Qualité de Vie au Travail, estime cette réouverture des boutiques “réussie”. “Très soucieux du bien-être de nos équipes, nous n’avons jamais cessé de nous réinventer (adaptation de notre activité au télétravail, création des Free Center Virtuels, etc.) Aujourd’hui, pour accompagner la réouverture réussie des Free Centers, nous ajustons nos procédures en fonction des retours grâce à un dialogue constant avec toute l’équipe, parce qu’ensemble on va vraiment plus loin”, indique-t-elle.
De son côté, Mardèle, chargée de Mission HSE (Hygiène Sécurité Environnement), souligne que la santé des collaborateurs et des abonnés reste une priorité, ce qui s’est rapidement traduit par des réflexions en interne autour des mesures préventives. “Le maintien de la santé de nos collaborateurs et de nos abonnés a toujours été au cœur de nos préoccupations. C’est pourquoi, dès les prémices de l’épidémie, nous avons initié une veille sur la situation sanitaire. Très vite avec la direction, l’équipe Qualité de Vie au Travail, les représentants du personnel, les opérationnels, ainsi que toutes les entités du groupe, nous nous sommes retroussé les manches et avons agi de concert. Les mesures de prévention ont été co-construites et pensées de manière durable”, a-t-elle souligné.
Application Freebox : une nouvelle version est disponible
Free déploie une nouvelle version bêta de l’application officielle Freebox pour iOS.
En début de mois, Free a déployé une bêta publique de l’application Freebox pour iOS à travers le canal Test Flight. Celle-ci annonçait une compatibilité “Homebridge” pour permettre de gérer le pack Sécurité de la Freebox Delta depuis l’application “Maison” d’Apple. Dans la foulée, une évolution mineure estampillée 4.2 (102) annonçait l’ajout d’une pop-up pour signifier que les réglages Homebridge ne sont disponibles qu’en local et des corrections de bugs mineurs.
Fraîchement publiée sur Test Flight, une autre mouture bêta, numérotée 4.2 (108) cette fois-ci, annonce l’ajout d’un lien vers l’assistance lors de l’installation de Homebridge. Les développeurs indiquent également des améliorations et corrections diverses.
Le WTF des Freenautes : un manque d’observation avec une belle boulette à la clé
La vie d’un Freenaute n’est pas forcément une longue ligne droite. Elle peut démarrer de façon plus ou moins cocasse et se poursuivre avec des anecdotes parfois insolites.
Notre chronique “Le WTF des Freenautes” vous narre les histoires insolites et drôles vécues par des abonnées Freebox et Free Mobile. Les faits – bien réels – ont fait l’objet de retours au lieu d’accueil où nous recevons pour rappel les abonnés afin de les aider, ou encore de témoignages par e-mail ou par Twitter.
C’est l’histoire d’un Freenaute en devenir. L’homme se présente au lieu d’accueil d’Univers Freebox. Il a souscrit un forfait Orange avec engagement d’un an trois mois plus tôt et souhaite finalement s’abonner au forfait Free. Sachant que l’homme va devoir solder son engagement chez son opérateur, la personne à l’accueil juge important d’aborder ce point. “Ça va vous couter un bras, voire deux”, lance-t-elle.
L’expression est bien connue, mais se révèle toutefois un peu mal placée ce jour-là. En effet, si la chose ne se voyait pas avec le comptoir, il se trouve que l’homme n’a plus ses bras. Même pas de prothèses. La personne à l’accueil a pu s’en rendre compte lorsque l’homme a reculé, laissant ainsi apparaître ses manches enroulées autour de ce qu’il lui restait de bras. Petit moment de malaise…
Cela n’a en tout cas pas empêché l’homme de changer de crèmerie pour passer chez Free, laissant du coup le soin de prendre la carte bancaire dans sa poche.
Cyclone 2000 : un shooter à faire tourner la tête disponible gratuitement sur Freebox mini 4K
Univers Freebox vous propose de découvrir un jeu de tir futuriste disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien.
Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K dans une version gratuite avec des publicités et une version payante à 2,19 euros qui débarrasse de la publicité, Cyclone 2000 est un jeu de type shooter. Votre mission se résume à nettoyer l’écran des ennemis, tout en restant en vie.
Le jeu nécessite un contrôleur tel que la manette Freebox. Les déplacements vers la gauche ou la droite avec le stick ou la croix multidirectionnelle permettent de positionner le vaisseau à différents endroits sur un axe de déplacement prédéfini. Le bouton d’action (le 3 dans le cas de la manette Freebox) permet quant à lui de tirer.
Notez d’ailleurs qu’on peut choisir le tir automatique. Même si cela ne changera rien à votre cadence de tir par rapport à un bouton restant enfoncé ou appuyé rapidement à la suite, cela enlève tout de même un petit quelque chose au niveau de la prise en main. Comme l’impression de ne pas faire grand-chose. Bref, nous vous le déconseillons.
Un jeu qui fait tourner la tête
Présenté comme ça, le jeu Cyclone 2000 paraît ultra simple. Sauf que les terrains de jeu sont des formes géométriques et que votre vaisseau a parfois la tête en bas. Aussi, lorsque vous avez la tête en bas, la gauche à l’écran n’est plus la gauche sur votre manette. Tout comme la droite n’est plus vraiment la droite. Il y a aussi le fait que les structures se retrouvent secouées par vos propres déplacements.
Tout cela complexifie la tâche, surtout lorsque ça va vite et grouille d’ennemis agressifs. Il y aura donc un petit temps d’adaptation pour gérer ces aspects du gameplay.
Ci-dessous, les deux premiers niveaux :
Ci-dessous le niveau 3, qui a fait figure d’exception durant nos parties avec son simple plan horizontal et qui faisait figure de Club Med à côté des autres :
De plus, si vous loupez un ennemi, celui-ci se retrouve sur votre axe de déplacement à essayer de vous attraper. Avec les tirs ennemis, c’est en effet votre deuxième façon de mourir. Il va ainsi falloir continuer à dégommer les autres vaisseaux qui continuent de se rapprocher et de tirer, tout en tenant compte de la nouvelle proximité de cet intrus.
Autre difficulté aperçue durant nos parties : les ennemis se démultipliant lorsque vous pensez les anéantir. Quand ça arrive une fois avec une bonne distance, c’est gérable. Un peu moins quand la distance est réduite et lorsqu’il y a déjà du monde à gérer.
Des pouvoirs pour vous aider et la possibilité de commencer au niveau de son choix
Fort heureusement, face à tant de difficulté, des power-ups distillés tout au long des niveaux viennent vous sauver la mise. Il y a par exemple l’éclair qui détruit tous les vaisseaux à l’écran ou le tir avec une cadence plus soutenue. Le premier est notamment le bienvenu pour anéantir un vaisseau présent sur votre axe de déplacement.
On peut par ailleurs commencer une nouvelle partie à partir du meilleur avancement dans les niveaux. Bien évidemment, on repart de zéro en ce qui concerne le score. Au moins, cela évite de tout recommencer à chaque partie et permet de découvrir plus rapidement d’autres niveaux. Le développeur en indique 99.
Oui, il y a de la musique
Enfin, certains pourront s’étonner de l’absence de musique durant leur première partie. Il faut en effet se rendre dans les paramètres du jeu (la roue dentée en bas à droite de la page d’accueil) et demander leur téléchargement. Nous vous le conseillons, car cette musique type dance participe grandement à l’immersion dans le jeu.
VERDICT
Après avoir intégré tous les aspects des déplacements et atteint les premiers gros scores, le Cyclone 2000 peut devenir rapidement addictif. Si vous êtes un amateur de shooter à l’ancienne, vous avez de grandes chances de l’apprécier. Ce jeu est jouable gratuitement. Autant ne pas se priver.
Test du Nokia 2.3 : quelle expérience propose ce smartphone à petit prix disponible dans la boutique de Free ?
Après le test du smartphone Nokia 6.2, Univers Freebox vous propose celui du Nokia 2.3 aussi arrivé il y a peu de temps dans la boutique de Free Mobile.
Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du Nokia 2.3 qui nous a été prêté par la marque et qui s’affiche à 129 euros chez Free Mobile avec 32 Go de stockage :
Fiche technique du Nokia 2.3 : les caractéristiques
– Processeur : quad-core 2,0 GHz (chipset Helio A22)
– Mémoire vive : 2 Go
– Écran : dalle IPS 6,2 pouces avec une définition HD+ (1 520 x 720 pixels)
– Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
– Stockage : 32 Go en eMMC 5.1 extensible par carte MicroSD (emplacement dédié)
– Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
– Compatibilité 4G : support des bandes B1, B3, B5, B7, B8, B20, B28, B38, B40, B41
– Compatibilité 5G : non
– Double capteur photo au dos : 13 + 2 Mégapixels (alignement vertical au centre)
– Capteur photo à l’avant : 5 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau)
– Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
– Connectique de charge : Micro-USB (dans la tranche inférieure)
– Support Wi-Fi : 802.11 b/g/n
– Connectivité Bluetooth : version 5.0
– Support NFC : non
– Batterie : 4 000 mAh non amovible
– Recharge filaire : bloc 5 Watts (5V/1A) fourni
– Recharge sans-fil : non
– Système d’exploitation : Android 10 (mise à jour installée en début de test)
– Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
– Patchs de sécurité installés durant notre test : mars 2020
Un design simple et efficace
À l’avant, le choix d’une encoche goutte d’eau et la présence bonne bordure au niveau du menton nous rappellent la présence d’un smartphone d’entrée de gamme. Le Nokia 2.3 ne sortira pas du lot avec son design.
Ou alors peut-être avec son dos qui n’est pas inondé de capteurs photo. Il en compte d’ailleurs deux, bien intégrés et ne dépassant pas. On peut ainsi poser le smartphone sur le dos et l’utiliser, sans qu’il soit bancal.
En main, la coque en plastique nous rappelle elle aussi le positionnement entrée de gamme du smartphone. Les tranches plates, le dos légèrement texturé et le poids bien réparti assurent en tout cas une bonne prise en main.
Comme indiqué plus haut, le bloc photo arrière ne dépasse pas et ne dérange pas lors de la tenue en mode paysage pour la vidéo ou le jeu. Là encore, c’est un plus en termes de prise en main.
Un écran et un son moyens
Nous n’avions pas de grosses attentes du côté de l’écran. Il fait le job. On pourra toutefois lui reprocher un manque de luminosité qui peut poser problème en extérieur pour temps très ensoleillé.
Le son s’écoute, mais n’est évidemment pas stéréo. Lors d’une vidéo ou d’un jeu, le son sort seulement du haut-parleur de la tranche inférieure. Il manque aussi de relief.
Quant aux écouteurs, même topo qu’avec le Nokia 6.2. Ce sont effectivement les mêmes ici. Ils ne procurent aucun plaisir d’écoute et retourneront rapidement dans la boîte. Ce constat reste pardonnable avec un smartphone à 129 euros.
Ces écouteurs se branchent d’ailleurs dans une prise audio 3,5 millimètres située au niveau de la tranche supérieure. Oui, le mini-jack est de la partie.
Le minimum syndical en photo
Côté photo, le Nokia 2.3 ne multiplie ni les capteurs ni les mégapixels. Vous aurez ainsi de quoi faire quelques photos à consulter sur le smartphone et à partager sur les réseaux sociaux, mais guère plus. Les clichés manquent en effet des détails, se révèlent ternes et sont souvent baveux.
Une photo en extérieur, puis sa version zoomée 3x :
D’autres photos en extérieur :
Des photos en intérieur :
Des selfies en extérieur :
Des photos de nuit, dans une zone résidentielle assez éclairée :
Un smartphone compatible avec la 4G 700 MHz
Le Nokia 2.3 supporte la B28, soit la 4G 700 MHz sur laquelle a beaucoup misé l’opérateur de Xavier Niel pour son réseau mobile. Durant notre test, il n’a jamais atteint les 100 Mbit/s en réception, même dans des endroits où d’autres smartphones approchaient les 150 Mbit/s.
Ci-dessous, quelques résultats obtenus en extérieur :
Et un résultat obtenu en intérieur :
Un smartphone joueur
Avec son petit processeur quad-core et sa mémoire vive 2 Go, le Nokia 2.3 permet-il de jouer ? Si ce n’est pas avec les temps de chargement les plus courts ni avec des graphismes sublimés, ce smartphone effectivement de jouer.
Il ne nous a pas empêchés de faire des Tops 1 dans Call of Duty Mobile ni de terminer 1er dans nos courses sur Asphalt 9. Poussé dans des retranchements, le smartphone chauffe rapidement au niveau du dos, mais pas de manière désagréable.
Pour ceux qui aiment les benchmarks, l’outil Disk Speed nous indiquait 26 Mo/s en écriture et 207 Mo/s en lecture pour la mémoire interne. Cela explique les installations assez lentes de nos jeux.
AnTuTu n’a tout simplement pas fonctionné. Nous avons essayé trois fois et terminé avec trois plantages en cours de route. Un peu têtus (ou optimismes, c’est selon), nous avons retenté une fois quelques jours plus tard. Même résultat.
Une autonomie vraiment bonne, mais une charge interminable
Avec une batterie 4 000 mAh pour alimenter une configuration aussi modeste, nous nous attendions à une bonne autonomie. Effectivement, le Nokia 2.3 passe tranquillement la première journée et se dirige vers la seconde sans problème. Par trois fois, il n’a jamais fini sur les rotules malgré de la vidéo et du jeu et nous avons tenu les deux jours sans nous priver.
Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :
(1er cas) : Départ à 9h19 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 9h30 avec 12 %
– 1 heure et 30 minutes de streaming musical avec les écouteurs Bluetooth
– 1 heure et 5 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 15 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 50 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– SMS
– 2 minutes d’appel voix
– Photos
– 10 téléchargements, dont 3 gros
– 5 mises à jour d’applications
– Tests de débit
– Benchmarks
– Manipulations + captures
(2e cas) : Départ à 13h13 avec 100 % et arrivée le surlendemain 12h06 avec 14 %
– 1 heure et 25 minutes de streaming musical avec les écouteurs Bluetooth
– 1 heure et 20 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure de YouTube avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 25 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 20 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
Consultations et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– SMS
– Photos
– 4 téléchargements d’applications
– 3 mises à jour d’applications
– Tests de débit
– Benchmark (ou plutôt tentative)
Maintenant, il y a ce chargeur 5 Watts, qui plus est en Micro-USB. La charge est interminable.
Passer 12 à 100 % nous a demandé près de 4 heures de patience. Oubliez les recharges express. Vous rechargerez votre smartphone la nuit.
Un suivi de charge :
– 9h31 : 12 %
– 9h47 : 19 %
– 10h05 : 28 %
– 10h41 : 45 %
– 11h09 : 59 %
– 11h33 : 71 %
– 12h04 : 85 %
– 12h21 : 92 %
– 12h56 : 98 %
– 13h13 : 100 %
Un smartphone sous Android 10
Nous avons reçu le smartphone neuf et au moment où la mise à jour Android 10 arriverait. Nous avions ainsi la dernière version en date de l’OS de Google. La mise à jour s’accompagnait d’ailleurs des patchs de sécurité du mois de mars 2020.
Faisant partie du programme Android One, le Nokia 2.3 propose l’interface Android de Google. Pas de surcouche ou d’applications issues de partenariats commerciaux, donc.
En choses pratiques, il y a le bouton dédié pour lancer Google Assistant sur la tranche gauche du smartphone, le mode sombre, la possibilité de rejeter un appel en retournant le smartphone (Système/Gestes) et le choix de naviguer à la gestuelle ou avec deux boutons virtuels.
Terminons sur les solutions de déverrouillage. Pas de lecture d’empreintes. Il faudra se contenter de la reconnaissance que l’on a d’ailleurs trouvée lente (au moins 5 secondes entre l’appui sur le bouton et l’arrivée sur le bureau) et capricieuse (beaucoup de ratés, malgré les réenregistrements des données du visage). Au finalement, nous préférions saisir le code. Selon nous, au-delà du positionnement tarifaire qui impose évidemment des choix, ne rien proposer aurait finalement été plus judicieux que de proposer une expérience vite frustrante.
VERDICT
Avec un smartphone à 129 euros, il y a évidemment des concessions à faire à tous les niveaux. Pour autant, ce Nokia 2.3 permet d’avoir accès à la dernière version d’Android, d’avoir une certification Android One assurant un bon suivi dans les mises à jour, de jouer à des titres récents dans des conditions correctes, de partager quelques photos sur les réseaux sociaux et de tenir tranquillement 2 jours sans passer par la case secteur. Les seuls vraiment défauts qui peuvent selon nous nuire à l’expérience utilisateur sont la charge vraiment interminable et la reconnaissance faciale lente et capricieuse.
Xavier Niel explique en quoi la première box triple play de Free fût compliquée à lancer
Lors de son Grand Entretien sur LCP, Xavier Niel est revenu sur son cheminement depuis son premier ordinateur offert par son père à l’âge de 15 ans. Il a abordé différentes innovations durant son parcours, dont la première box triple play lancée par Free qui fût révolutionnaire, mais aussi à compliquée à faire fabriquer.
L’entretien d’une trentaine de minutes avec Guy Lagache a en effet été l’occasion de revenir sur le lancement de la première box triple play (Internet + téléphonie + télévision) par Free en 2002.
D’où vient l’idée ? Xavier Niel explique tout d’abord que l’on disposait à l’époque d’un tuyau que l’on pensait aux débuts réservé aux chercheurs et d’un haut débit dont on ne savait pas quoi faire. C’était comme avoir l’électricité, du gaz ou de l’eau, mais de ne pas avoir de machine à la maison pour l’utiliser. D’où l’idée de rendre ce tuyau nécessaire au foyer et de créer l’équipement qui permettrait d’amener plusieurs services sans changer les équipements de la maison. Une idée qui permettra de diviser par trois le nombre de tuyaux utilisés, ce qui se répercutera sur les coûts et donc sur le prix payé par l’abonné.
Quid du boîtier et de sa conception ? Xavier Niel indique être allé voir l’équipementier Alcatel, qui a vu le sujet trop en avance sur son temps, et même avoir tenté de trouver des solutions en Californie. Ne parvenant pas faire à fabriquer la box par un autre, Free a fini par concevoir le matériel et le logiciel.
Premier ordinateur, piratage, minitel rose, école 42, Station F, etc.
L’entretien aborde par ailleurs les activités dans les services minitel (voyance, rencontres, jeux concours, etc.). Xavier Niel révèle les méthodes qui lui ont permis de gagner beaucoup plus d’argent que les autres. Sont par ailleurs évoqués le premier ordinateur à l’âge de 15 ans, le piratage des décodeurs de Canal+, la collaboration avec les services secrets français, le lancement compliqué sur le marché du mobile, la phrase du juge Renaud Van Ruymbeke concernant la ligne jaune à ne pas franchir, l’ouverture de l’école de codage 42 pour donner aux chances aux jeunes sur un marché en carence de personnel, l’ouverture de Station F qui offre un cadre aux startups qui veulent s’attaquer aux monopoles et l’investissement dans Le Monde qui pour en faire un média qui ne vit pas de subventions et qui garde ainsi son indépendance éditoriale.
Sur la fin de l’entretien, Xavier Niel déclare que la transgression est nécessaire dans la société actuelle pour casser les monopoles. Il cite les exemples d’Uber et Airbnb qui jouent avec la loi et modifient notre manière de vivre.
À peine les Français déconfinés, Free reprend la publicité sur le mobilier urbain
Depuis cette semaine, les sorties sont moins contraignantes et les Français ont de ce fait plus de chances de mettre le nez dehors. Free habille ainsi le mobilier urbain avec une nouvelle campagne de publicité.
Le confinement de la population sur fond de crise sanitaire ayant montré l’importance d’avoir une connexion Internet performante, Free lance une nouvelle campagne de publicité sur le mobilier urbain mettant en avant sa fibre.
L’opérateur de Xavier Niel rappelle en effet qu’il propose la fibre optique à partir de 14,99 euros par mois (34,99 euros après la première année) grâce à son offre Freebox mini 4K.
Avec sa campagne “On a tous besoin de la fibre n°1”, il rappelle également que sa fibre optique était numéro 1 sur les débits en 2019, d’après le baromètre nPerf, avec un débit descendant moyen de 460,16 Mbit/s et un débit montant moyen de 289,31 Mbit/s.
D’après les derniers chiffres communiqués, lors de la publication des résultats financiers, Free compte d’ailleurs près de 2 millions d’abonnés fibre, soit désormais 30 % de sa base totale
Le WTF des Freenautes : une histoire de HDMI qui fait péter un câble
La vie d’un Freenaute n’est pas forcément une longue ligne droite. Elle peut démarrer de façon plus ou moins cocasse et se poursuivre avec des anecdotes parfois insolites.
Notre chronique “Le WTF des Freenautes” vous narre les histoires insolites et drôles vécues par des abonnées Freebox et Free Mobile. Les faits – bien réels – ont fait l’objet de retours au lieu d’accueil où nous recevons pour rappel les abonnés afin de les aider, ou encore de témoignages par e-mail ou par Twitter.
Pas très à l’aise avec les technologies et n’arrivant pas à raccorder sa Freebox Révolution, une abonnée a fait venir un technicien à son domicile. Rapidement, l’ensemble des services étaient opérationnels.
Sauf que deux heures après le passage du technicien, le service de télévision ne fonctionnait plus selon l’abonnée, qui débarque alors angoissée et furieuse – mais vraiment – au lieu d’accueil d’Univers Freebox et avec laquelle la communication est tout bonnement impossible.
Nous apprendrons plus tard qu’un échange téléphonique avec le service client de Free a permis de résoudre le problème. Peu de temps après le passage du technicien, l’abonnée avait en effet passé l’aspirateur et débranché par la même occasion le câble HDMI. De quoi se faire des cheveux blancs, pour pas grand-chose au final.