Auteur : dimitri

Interview Univers Freebox : le patron de l’ANFR fait le point sur son fonctionnement durant le confinement et sur ses chantiers, dont la 5G

À l’occasion d’une interview accordée à Univers Freebox, Gilles Brégant, directeur général de l’ANFR, le gendarme des ondes en France, revient sur la crise sanitaire, l’arrivée de la 5G en France, l’itinérance chez Free et l’évolution du DAS.

Quels sont les gros chantiers sur lesquels travaille en ce moment l’ANFR ?

Nous venons de terminer un grand chantier national, le réaménagement des fréquences de la TNT sur tout le territoire (2016-2019), qui a permis de passer toutes les chaînes en HD tout en ouvrant une bande supplémentaire pour le haut débit mobile (la bande 700 MHz). Nous venons d’achever, fin 2019, un cycle de quatre ans de négociations internationales pour harmoniser les futurs services sans fil entre tous les pays du monde.

En ce moment, nos principaux chantiers sont donc la transposition de ces résultats dans notre « plan d’occupation des fréquences » national, mais aussi la préparation du déploiement de la 5G : mesures d’exposition (relais, mais aussi terminaux), déplacement des services qui occupent les bandes 5G vers d’autres fréquences, coordination aux frontières.

Quelles sont d’ailleurs les répercussions du confinement concernant ces chantiers ?

Pour les nouveaux services, les travaux se poursuivent sans vraiment ralentir : qu’ils soient à l’étranger ou en France, nos correspondants sont déjà à distance de nos experts en temps normal, et nous travaillions déjà depuis longtemps avec eux par visio ou téléconférence. Simplement, désormais, plus personne ne voyage. Pour la 5G, les mesures dans les zones d’expérimentation sont plus difficiles à organiser, bien sûr. Mais le calendrier d’attribution de la bande 3,5 GHz vient d’être modifié. Donc, nous rééchelonnons nos actions en coordination avec l’Arcep, pour tenir compte de la nécessité de respecter la distanciation sociale sur le terrain.

Régulièrement dans nos colonnes, nous évoquons des mairies et des riverains s’opposant avec plus ou moins de virulence à l’installation d’une antenne-relais de téléphonie mobile. Pouvez-vous intervenir, à l’initiative de l’une des deux parties, dans ce genre d’affaires ?

L’ANFR est souvent sollicitée lors de réunions de concertation au sujet des antennes-relais. Comme nous avons plusieurs implantations en province, nous y participons chaque fois que nous le pouvons. Notre contribution est avant tout de présenter les mesures que nous réalisons et d’apporter des informations neutres et objectives. Dans ces débats, qui souvent se nouent autour des antennes, on oublie souvent l’exposition due au téléphone. Mais en limite de réception, le téléphone expose plus. Densifier le réseau par l’ajout d’antennes, c’est aussi réduire l’exposition créée par son téléphone : il faut tenir compte de tous les paramètres.

En parlant d’antennes, comment vérifiez-vous que les antennes sont bien activées ?

Les opérateurs mobiles doivent nous déclarer les dates de mises en service de leurs sites. L’ANFR dispose de services régionaux dont le travail des agents consiste notamment à faire des mesures de terrain et résoudre toutes sortes de brouillages. Ils sont les gardiens du spectre et assurent l’utilisation conforme des fréquences pour l’ensemble des utilisateurs. Régulièrement, des inspections de sites et contrôles inopinés sont réalisés pour vérifier les informations issues de nos bases. 

Nous pouvons aussi, depuis peu, guider nos inspections en exploitant des informations de crowdsourcing captés par notre application mobileOpenbarres. Il faut encourager la diffusion de cette application qui permet à chacun, sur une base volontaire et parfaitement conforme au RGPD, de contribuer individuellement au bon fonctionnement du spectre. 

Au 1er avril 2020, Free disposait de 15 586 sites 4G en service. Jugez-vous le rythme suffisant alors que l’itinérance avec Orange doit prendre fin 2022 ?

L’Autorité en charge de la définition et du contrôle des obligations des opérateurs en termes notamment de couverture est l’Arcep. L’ANFR contribue simplement, via son observatoire mensuel, à visualiser le déploiement des opérateurs à partir des sites qu’elle autorise chaque semaine.

Pour juger de l’effet de la fin de l’itinérance sur le réseau de Free Mobile, il faudra comparer non pas le nombre de sites, mais la couverture de Free Mobile par rapport à celle d’Orange en 2G et 3G. Mais, comme l’Arcep a été récemment saisie d’une demande de prolongation de cette itinérance jusqu’au 31 décembre 2022, c’est seulement lorsque l’Autorité aura donné sa position que l’on saura quelle échéance prendre en compte.

Quel impact a concrètement la situation actuelle sur l’activation des antennes des opérateurs ?

Il est encore trop tôt pour prédire l’impact du confinement sur l’activation des antennes des opérateurs mobiles. À court terme, cet impact sera très limité : les opérateurs maintiennent en effet des équipes opérationnelles sur le terrain et une grande partie des stations qui seront des mises en service dans un proche avenir ont d’ores et déjà reçu un accord de l’ANFR et ont été construites et équipées. En outre, après un mois de confinement, le rythme des demandes d’accords reçus a retrouvé son niveau d’avant l’état d’urgence sanitaire.

À plus long terme, tout dépendra de la capacité des opérateurs à mobiliser leurs sous-traitants pour faire construire de nouveaux pylônes, mais aussi à acquérir des équipements électroniques en quantité suffisante, car n’oublions pas que les usines qui les fabriquent peuvent aussi avoir été perturbées par la pandémie.

Toujours à propos des ondes, certaines associations comme PhoneGateAlert évoquent les risques liés aux smartphones que nous avons souvent dans nos poches et scotchés à l’oreille. Là encore, faut-il avoir des craintes ou sont-elles au contraire exagérées ?

L’ANFR est sans doute l’agence la plus en pointe en Europe sur le contrôle du DAS, et nous sommes très attentifs à l’exposition produite par les mobiles. Aujourd’hui, il n’existe pas de preuve scientifique démontrant que l’exposition aux champs électromagnétiques résultant de l’usage des téléphones mobiles présente un risque pour la santé. Mais respecter les niveaux d’exposition est une « exigence essentielle » pour les constructeurs accédant au marché européen, et nous veillons à son respect en testant près d’une centaine de téléphones chaque année.

À titre de précaution, il est par ailleurs recommandé d’adopter quelques gestes simples pour réduire son exposition liée aux téléphones mobiles, notamment l’usage du kit mains libres ou le mode haut-parleur lorsque vous téléphonez.

Quels sont les conseils que vous pourriez donner aux utilisateurs intensifs de smartphones pour éviter tout risque potentiel ?

Je leur rappellerais les gestes simples évoqués tout à l’heure, ainsi que d’éviter des conversations téléphoniques trop longues. Nous étudions également, pour notre application OpenBarres, de nouvelles fonctionnalités qui, comme les applications « temps d’écran » sur les smartphones, pourront donner une meilleure perception de l’exposition produite par ses usages au quotidien.

À l’heure où la 5G doit arriver en France, certains craignent une exposition aux ondes plus importante, avec des risques sanitaires potentiellement plus élevés. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?

C’est un sujet sur lequel nous travaillons beaucoup actuellement à l’ANFR. Nous venons de publier un rapport sur nos mesures d’exposition dans le cadre des déploiements pilotes 5G. L’analyse de ces premiers résultats montre que le niveau d’exposition est particulièrement faible lorsque des sites 5G sont allumés et fonctionnent sans trafic. Pour voir comment ces niveaux évoluent avec du trafic, comme pour l’instant il n’y a pas encore d’abonnés au réseau 5G, nous avons réalisé des mesures avec du trafic artificiel. Les niveaux mesurés ont montré une variation importante en fonction de l’intensité des usages. Nous avons donc proposé un nouvel indicateur qui donne des valeurs représentatives du supplément d’exposition que l’on pourra attendre de la 5G. Cet indicateur sera affiné avec des données de trafic réel, lorsque les offres 5G seront commercialisées.

Pour la 5G, on s’attend à avoir un apport d’exposition supplémentaire comparable à celui qu’avait créé la 4G. Mais, statistiquement, plus de bâtiments seront interceptés par les faisceaux en 5G. Quoi qu’il en soit, le dispositif national de mesure et de surveillance des ondes, qui a assuré près de 3 400 mesures l’an passé, permettra toujours à une personne, inquiète du niveau auquel elle est exposée, de faire une demande gratuite de mesure chez elle  pour connaître son exposition.

D’ailleurs, est-il possible pour les opérateurs de couvrir 100 % du territoire en 5G ?

Couvrir 100 % du territoire n’est aujourd’hui possible dans aucun pays de taille comparable à celle de la France. Les opérateurs se rapprochent de forts taux de couverture, mais en population, en couvrant les endroits où résident, travaillent ou circulent les gens. Pour la 5G, c’est à l’Arcep de traduire les demandes de couverture formulées par le gouvernement dans les futures licences des opérateurs.
Du point de vue des fréquences, il faut simplement garder à l’esprit que toutes les fréquences utilisées pour la 2G, 3G ou 4G pourront recevoir du trafic 5G. Donc, partout où l’on capte le réseau de son opérateur aujourd’hui, rien ne s’oppose à ce qu’un jour, lorsque le relais aura été mis à niveau, le logo « 5G » s’allume aussi.

Le protocole de mesure du DAS (Débit d’Absorption Spécifique) indiqué pour les smartphones est-il amené à évoluer avec l’usage des fréquences plus hautes de la 5G ?

Actuellement, la métrique du DAS s’applique pour les bandes de 700 MHz à 3 600 MHz. Elle inclut donc la 5G en bande 3,5 GHz. Mais la 5G a également vocation à être déployée sur des fréquences plus élevées, comme la bande des 26 GHz. Dans ces fréquences, que l’on appelle millimétriques, les ondes ne pénètrent quasiment plus dans le corps humain et restent localisées à proximité de la peau. Le DAS sera évalué non plus en volume, mais en surface. Le protocole sera donc adapté.

Dernièrement, l’une de vos enquêtes a révélé des perturbations causées par la box Internet d’un particulier sur le GPS. Ce genre de problème est-il exceptionnel ou avez-vous eu d’autres cas ?

Les signaux des systèmes de géolocalisation (GPS, Galileo, ..) reçus des satellites présentent des niveaux très faibles, ce qui les rend vulnérables aux brouillages. Ils peuvent provenir de parasites électromagnétiques émis par des appareils électriques de toutes sortes, allant du moteur électrique à des émetteurs radio. Dans le cas de la box internet défectueuse, sa carte électronique parasitait la bande réservée au GPS et à Galileo. Ce type de brouillage du GPS par des parasites électromagnétiques est plutôt rare, mais cela arrive parfois.

La grande majorité des problèmes de GPS traités par l’ANFR sont dus à de petits brouilleurs utilisés illégalement pour contourner la géolocalisation : soit par des professionnels qui veulent échapper à la vigilance de leur employeur, soit par des malfaiteurs pour brouiller des alarmes ou des « trackers ». Ces brouilleurs compromettent l’utilisation du GPS dans un rayon  de plusieurs centaines de mètres, avec potentiellement des conséquences sur des activités critiques comme le trafic aérien. L’ANFR mène  une lutte acharnée contre la prolifération de ces engins dont la possession ou l’utilisation, par ailleurs très facile à repérer pour nos agents, sont passibles de peines pénales. Plusieurs cas ont d’ailleurs été présentés à la justice.

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Idée confinement : revivez des concerts d’anthologie grâce à une application gratuite sur Freebox mini 4K

À l’heure du confinement et du temps parfois un peu long pour certains, Univers Freebox vous propose de découvrir l’application Concerts Arena, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien, et permettant de voir ou revoir des concerts.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, l’application Concerts Arena permet de revoir  des concerts d’anthologie. Pop, rock, métal, hip-hop, musique électronique, reggae ou encore blues, logiquement, chacun devrait pouvoir y trouver son bonheur.


PS : confinement oblige, nous avons pris les captures avec les moyens du bord

L’interface d’accueil : très claire

Au lancement de l’application, on retrouve une interface d’accueil assez standard avec une partie gauche listant les catégories (Pop, Rock/Metal,R&B/Soul/Hip-hop, Jazz/Blues, Reggae, etc.) et proposant un moteur de recherche. Le reste de l’écran met les contenus en valeur sous la forme d’une grille de vignettes de prévisualisation. Simple, mais efficace.

On peut ainsi choisir de naviguer dans les listes de contenus ou bien rechercher un contenu en particulier avec le nom de l’artiste. Pas de recherche vocale pour simplifier la saisie. Dommage.

La page du concert : les principales informations

La page du concert indique le nom de l’artiste, la date du concert et les morceaux interprétés. Un gros bouton “Play Concert” tout en bas permet de lancer la lecture du contenu.

Au lancement, on découvre d’ailleurs que l’application s’appuie sur la plate-forme YouTube pour ce qui est des contenus.

Lors de la lecture du contenu, on peut utiliser la réglette et le bouton à l’écran ou bien les boutons de la télécommande Freebox pour avancer, reculer ou mettre en lecture/pause.

Des boutons à gauche du bouton lecture/pause permettent également d’accéder à la chaîne YouTube proposant la vidéo, ou encore de régler la qualité d’affichage. On pourra par ailleurs laisser un commentaire pour indiquer une dysfonctionnement (problème de lancement, d’écran noir, de son, de navigation dans le contenu, etc.).

En dessous, on retrouve également les recommandations liées au contenu en cours de lecture.

Les contenus : il y a de quoi faire

En termes de contenus, on se rend vite compte qu’il n’y a pas tout. Impossible ainsi de trouver du David Guetta, du Johnny Halliday ou du DJ Tiesto, pourtant connus pour leurs gros concerts. On a tout de même de la variété et pas mal d’heures de concerts pour s’occuper.

En musique rock/métal, on a par exemple AC/DC, The Police ou Slipknot. En musique électronique, on trouve The Chemical Brothers et Moby. Bob Marley est également là pour la partie reggae, tandis que Shakira se retrouve dans la partie Latino. Au programme aussi : Jamiroquai, Cher, Elton John ou encore The Blue Brothers.


VERDICT :

L’application Concerts Arena est plutôt bien faite. Elle est simple à prendre en main, claire en termes de navigation et fluide à l’usage. Seule la recherche vocale fait défaut. Côté contenus, elle n’offre pas tout, mais couvre quand même plusieurs styles musicaux et donne accès à quelques concerts d’anthologie. Bref, une application qui mérite d’être essayée. D’autant plus qu’elle est, rappelons-le, disponibilité gratuitement.


 

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Clin d’oeil : un abonné remercie Free, grâce auquel il peut mieux vivre le confinement

Grâce à la facilité pour passer d’un forfait mobile à un autre et à la 4G illimitée dans le gros forfait mobile, un abonné Free traverse de manière plus agréable le confinement imposé par le gouvernement sur fond de crise sanitaire. Il a en effet pu s’exiler à la campagne après avoir vérifié la disponibilité du réseau de l’opérateur.

Antoine B fait partie de ceux ayant fui la ville pour aller vivre temporairement à la campagne, afin de mieux traverser la période de confinement. “Quelques jours avant le confinement, nous avons pris la décision de partir habiter quelques semaines dans une maison de famille très très isolée”, raconte celui qui vit habituellement en région parisienne. Et d’ajouter que la décision a été facilitée par le fait qu’il soit abonné chez Free.

En effet, “il n’y a ni ADSL ni fibre” dans la maison qui se situe en Bourgogne. Or, Antoine B a besoin d’un accès à Internet pour son travail de graphiste. L’homme a donc vérifié la présence d’antennes Free aux alentours et en a justement repéré une. “Étant déjà client chez Free et sachant qu’une antenne est installée dans un rayon de 5 kilomètres, j’ai changé mon forfait 0 euro par le forfait Free à 15,99 euros par mois en 4G illimité”. Au-delà du tarif pour un accès 4G en illimité, l’abonné note la simplicité pour changer le forfait, puisque tout peut se faire directement depuis le site de l’opérateur. Il compte d’ailleurs revenir au petit forfait une fois le confinement terminé.

Quand c’est possible, il faut privilégier le Wi-Fi

Rappelons que durant la période de confinement les opérateurs invitent les abonnés à un usage raisonnable des loisirs numériques, pour donner la priorité au télétravail et à l’enseignement en ligne, et à privilégier la connexion Wi-Fi, afin de soulager les réseaux mobiles. Comme l’expliquait Arthur Dreyfuss, président de la FFT, la capacité des réseaux fixes est bien plus importante que celles des réseaux mobiles. Free et Orange ont d’ailleurs publié des vidéos expliquant comment améliorer le Wi-Fi à la maison. Univers Freebox vous a également proposé le sien.

Source : ZDNet

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Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 200 euros ?

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique de Free. D’ailleurs, que peut-on trouver dans la boutique en ce moment pour 200 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 

 

Redmi Note 8T à 179 euros : le meilleur compromis pour les petits budgets

Beau design, grand écran Full HD+, quadruple capteur photo, performances suffisantes pour jouer dans de bonnes conditions, grosse batterie et charge rapide, le Redmi Note 8T ne manque pas d’arguments pour séduire. Il est, à nos yeux, la nouvelle valeur étalon sur son segment tarifaire. Bons points enfin si vous êtes abonnés Free Mobile : le Redmi Note 8T s’annonce compatible B28, gérant donc la 4G 700 MHz chère à l’opérateur, mais profite également de la technologie 256QAM récemment activée et boostant les débits. À 199 euros, il se présentait déjà comme le meilleur compromis pour les petits budgets. Affiché à 179 euros en ce moment, ce smartphone gagne encore en intérêt.

Le test complet du Redmi Note 8T


 

Redmi Note 7 Edition 700 à 159 euros : l’ancienne référence des smartphones à petit prix

Il fût l’un de nos coups de coeur lorsque l’avions testé à la rédaction. Toujours présent au catalogue de Free Mobile, le Redmi Note 7 s’affiche en ce moment à seulement 159 euros (au lieu de 179 euros). Un prix qui reste intéressant au regard de son écran, de ses performances en multimédia et photo et de son autonomie. Il profite en plus de la technologie 256QAM qui a été activée par Free Mobile et qui booste les débits. Maintenant, si vous n’êtes pas à l’euro près, nous vous conseillons le Redmi Note 8T évoqué juste au-dessus.

Le test complet du Redmi Note 7 Edition 700


 

Wiko View 3 Lite à 109 euros : pour les budgets très serrés

Récemment passé 129 à 109 euros, le Wiko View 3 Lite est devenu encore plus intéressant si vous avez un budget très limité. Il est actuellement le smartphone le moins cher sur la boutique de Free Mobile. Il offre un grand écran 6,1 pouces, supporte la 4G 700 MHz (B28) et propose une autonomie intéressante grâce à sa batterie 4 000 mAh, mais il faudra faire quelques concessions au niveau des performances, de la photo et de la vitesse de charge.

Le test complet du Wiko View 3 Lite


 

Apple iPhone 6S à 199 euros : si vous préférez l’écosystème de la pomme

Si vous avez une préférence pour iOS, il y a l’iPhone 6S en ce moment disponible à 199 euros. Vous aurez un smartphone 4,7 pouces, des photos en 12 Mégapixels et l’accès à la dernière version du système d’exploitation d’Apple. Notez qu’on parle d’un modèle reconditionné, en partenariat avec Recommerce. D’occasion, donc.


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Tuto Freebox Delta : supprimer les historiques de requêtes vocales Alexa et OK Freebox

Voilà un tutoriel susceptible d’intéresser les abonnés Freebox Delta à cheval sur la vie privée. Il va en effet vous montrer comment supprimer les historiques Alexa et OK Freebox, les deux assistants vocaux embarqués dans le player.

Pour rappel, le player la Freebox Delta embarque deux assistants vocaux : OK Free, celui développé par Free et servant principalement aux fonctionnalités de la Freebox comme la télévision ou la gestion de l’alarme, et Alexa, celui d’Amazon qui permet d’étendre les possibilités grâce à des skills. Ces assistants peuvent répondre à de nombreuses requêtes, des requêtes que l’on peut souhaiter supprimer. Voici d’ailleurs comment faire.

Supprimer l’historique d’OK Freebox

Pour supprimer l’historique d’OK Freebox, allez dans la section “Réglages” de l’interface du player et sélectionnez “Assistants vocaux”.

De là, allez dans le paramètre “Configuration de l’assistant Ok Freebox”.

Il ne reste alors qu’à appuyer sur le bouton “Effacer toutes les données relatives à vos requêtes Ok Freebox”.

Supprimer l’historique d’Alexa

Dans le cas d’Alexa, deux possibilités.

Lancez l’application Alexa, disponible sur les smartphones Android et iOS. Ouvrez le menu principal, puis choisissez “Paramètres” et “Alexa et vos informations personnelles”.

Dans la nouvelle fenêtre, tapotez sur “Voir l’historique vocal”.

Il ne reste alors qu’à sélectionner la période (aujourd’hui, hier, cette semaine, ce mois, tout l’historique ou personnalisé) et à demander la suppression.

Mais ce n’est pas tout. Comme dit plus haut, il y a une seconde possibilité. Vous pouvez en effet activer la suppression vocale, grâce au curseur dans la partie supérieure.

Concrètement, il ne restera alors qu’à prononcer les commandes “Alexa, supprime ce que je viens de dire” ou “Alexa, supprime tout ce que j’ai dit aujourd’hui” devant le player. Alexa confirmera alors la suppression via le son du player, mais également avec une fenêtre affichée sur le téléviseur.

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Connaître de manière plus précise la couverture mobile d’Orange, Free, Bouygues et SFR sur toutes les lignes TGV, c’est désormais possible

Grâce à l’intégration de nouvelles données obtenues grâce au kit fourni par l’Arcep, le site Mon Réseau Mobile offre davantage de précision concernant la couverture mobile des différents opérateurs sur les lignes de TGV, mais également sur les lignes Intercités/TER.

Parmi les engagements pris par Orange, Free, Bouygues et SFR pour améliorer la couverture mobile du territoire dans le cadre du New Deal annoncé en 2018, il y avait notamment celui d’“apporter le très haut débit mobile d’ici fin 2020 sur les axes routiers prioritaires, et à terme sur les principaux axes ferroviaires”.

L’Arcep vient justement d’annoncer que le site Mon Réseau Mobile intègre à présent les mesures de qualité de service produites par la SNCF qui viennent compléter celles issues des mesures conduites annuellement par le gendarme des télécoms. Des données obtenues grâce au Kit du régulateur. Cela permet ainsi d’avoir une idée plus précise de la couverture mobile offerte par Orange, Free, Bouygues et SFR sur les lignes de TGV, ainsi que sur les lignes Intercités/TER. Sur le site Mon Réseau Mobile, un menu déroulant visible en bas à gauche, lors de l’affichage des cartes de couverture des lignes ferroviaires, permet de basculer entre les données de l’Arcep et celles apportées par la SNCF. De quoi se faire une idée concernant la plus-value de l’intégration de ces nouvelles données.

Ci-dessous, la carte de couverture des lignes de TGV obtenue par Free pour les services voix et SMS. Le vert foncé indique que 70 % des tests effectués (appels maintenus pendant 2 minutes et SMS reçus en moins de 10 secondes) ont abouti, le vert clair que 30 à 70 % des tests ont réussi et le rouge que moins de 30 % des tests ont été concluants. Si la couverture apparaît clairsemée sur certains axes ferroviaires, la vert domine.

Et celle obtenue pour l’Internet mobile. Le vert foncé indique 70 % des tests effectués (chargement d’une page Web en moins de 10 secondes) ont abouti, le vert clair que 30 à 70 % des tests ont réussi et le rouge que moins de 30 % des tests ont été concluants. Pas mal de rouge pour le moment..

Pour ce qui est des chiffres, Orange obtient les meilleurs résultats avec 81 et 83 % de résultats concluants pour les appels et les SMS. Bouygues et SFR intervertissent leurs places et arrivent deuxième ou troisième, selon le type de services. De son côté, Free arrive 4e pour les appels avec 69 % et pour les SMS avec 68 %.

Orange est également premier pour l’Internet mobile avec 77 % de tests ayant réussi, tandis que Bouygues et SFR arrivent 2e et 3e avec 71 et 68 %. Free est loin derrière avec seulement 40 % de tests concluants.

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Focus sur le déploiement des réseaux mobiles en France et l’avancée du New Deal

L’Arcep, le gendarme des télécoms en France, a mis à jour ses données et publié son rapport concernant le déploiement des réseaux mobiles sur le territoire en 2019.

“Le New Deal mobile a déjà apporté des améliorations concrètes aux citoyens : dans les zones rurales, la 4G se généralise et le débit internet a doublé en moyenne depuis un an”, tel est le bilan de l’Arcep.

Selon les dernières données fournies par le site monreseaumobile.fr, Orange Bouygues et SFR couvraient 99 % de la population en 4G au 31 décembre 2019. Free, lui, atteignait les 96 %. En couverture du territoire, les opérateurs se situent entre 80 % pour Free, entre 84 et 88 % pour Orange, Bouygues et SFR. L’opérateur de Xavier Niel apparaît ainsi dernier, mais continue de rattraper son retard et n’est plus qu’à quelques points seulement de ses concurrents. Rappelons qu’au troisième trimestre 2019, sa couverture du territoire atteignait les 77 %.

Concernant la 3G, Orange Bouygues et SFR ont une couverture supérieure à 99 % de la population, tandis que Free atteint les 98 %. En couverture du territoire, Orange Bouygues et SFR  ne sont pas très éloignés, avec un taux qui oscille entre 93 et 97 %. Free est dernière avec 83 %. Pour sa 3G, Free a d’ailleurs prolongé le contrat d’itinérance avec Orange et fait évoluer cette itinérance grâce au réseau 208.16.

Dans le cadre du New Deal annoncé en 2018, les opérateurs s’étaient engagés à migrer leurs sites en 4G, afin de proposer le très haut débit mobile sur la quasi-totalité des sites mobiles existants d’ici fin 2020. Chez Bouygues Telecom et Free, 87 % des sites déployés étaient équipés en 4G au 31 décembre 2019. Orange et SFR n’étaient pas très loin derrière, avec 86 et 85 %. Dans le cadre du New Deal, il s’agissait également de répondre aux besoins de couverture identifiés par les collectivités. Près de 1 300 zones ont été identifiées à fin 2019. L’objectif est d’avoir couvert 485 d’entre elles en services voix, SMS et 4G d’ici le 27 juin 2020. “De nombreux sites sont actuellement en construction (une étape précédée par la recherche du terrain, l’obtention des autorisations, les études techniques) et le nombre de mises en service devrait augmenter dans les prochains mois”, souligne le rapport de l’Arcep. Selon le régulateur, il faudra donc attendre pour ressentir concrètement l’effet du dispositif de couverture ciblée.

 

Le New Deal prévoit par ailleurs une amélioration des débits Internet mobiles. En 2019, le débit descendant moyen en France Métropolitaine atteignait les 45 Mbit/s. Dans le détail, l’Arcep note une progression de + 44 % en zone dense, + 44 % en zone intermédiaire et + 100 % en zone rurale. En zone rurale, le débit moyen a donc doublé.

Et pour 2020 ?

Selon Michel Combot, Directeur Général de la FFT (Fédération Française des Telecoms), cité dans le rapport, il faut s’attendre à une année 2020 dans la continuité de l’année 2019, avec des opérateurs qui continueront à déployer la 4G dans les zones peu ou mal couvertes et à mutualiser leurs efforts dans les zones blanches. “Les opérateurs s’inscriront dans le processus défini au démarrage du New Deal avec la définition de 800 sites à construire pour l’année, en contribuant aux rouages de ce processus avec la production d’études radio sur les points d’intérêts à couvrir définis par les équipes-projets locales, indique-t-il.

D’après lui, l’année 2020 permettra par ailleurs de voir si les opérateurs ont tenu leurs engagements, à savoir “la généralisation de la 4G sur l’ensemble de leurs sites existants et sur 75 % des sites en zone blanche fin 2020, la mise en service des 600 sites du DCC (NDLR : Dispositif de Couverture Ciblée) 2 ans après les 2 arrêtés de juillet et décembre 2018, ainsi que la couverture en 4G des axes routiers prioritaires également fin 2020”.

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Free Mobile : un nouveau réseau mystère a été repéré, mais que cache-t-il ?

Free utilise différents réseaux mobiles. Un nouveau a été repéré.

Le créateur de l’application FMobile, qui est disponible sur iOS et permet pour rappel d’échapper à l’itinérance Orange, signale l’existence d’un réseau mobile inconnu au bataillon et appartenant à Free : le réseau 208.35.

Or, on sait que chaque réseau mobile a son utilité. Le 208.14 était un réseau de test, le 208.15 celui utilisé depuis le lancement commercial de Free Mobile et le 208.16 dont nous parlions dernièrement celui permettant d’améliorer l’expérience pour les abonnés devant composer avec l’itinérance Orange.

À quoi sert donc ce réseau 208.35 apparu il y a un peu plus d’un mois ? Le créateur de l’application FMobile a remarqué que l’accroche 3G et 4G était impossible. Il soupçonne ainsi un réseau utilisé à des fins expérimentales autour de la 5G.

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Idée confinement : initiez les enfants aux sons des animaux grâce à une application gratuite disponible sur Freebox mini 4K

À l’heure du confinement, il faut trouver des occupations, y compris et surtout pour les enfants si vous télétravaillez. Univers Freebox vous propose ainsi de découvrir une application éducative disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, “Les sons de la faune” est une application qui permet de faire découvrir aux enfants les sons de la faune, les sons de 80 représentants de la faune mondiale.


PS : confinement oblige, nous avons pris les captures avec les moyens du bord

Les enfants entendront ainsi des bruits qui leur sont ou leur deviendront peut-être vite familiers comme le chat, le chien, le pigeon, la vache ou le canard, et d’autres au contraire dont ils se passeront bien comme le moustique.

 

La page d’accueil : vraiment sommaire

L’interface est sommaire. Vous avez le bouton pour accéder à l’ensemble de la collection de sons, le bouton pour accéder à la liste de sons mis en favoris et un bouton pour quitter l’application.

En haut, vous noterez le mode aléatoire à cocher ou non. Il permet de faire défiler les fiches avec les sons dans l’ordre prédéfini ou de manière aléatoire.

La navigation dans l’interface se fait avec les flèches de la télécommande et le bouton OK. On peut également utiliser la manette Freebox avec une navigation passant par la croix multidirectionnelle ou le stick de gauche et une validation à l’aide du bouton 1 ou du bouton 3.

 

Des fiches qui auraient pu avoir quelques infos en plus

Les fiches comportent une photo de l’animal avec son nom juste au-dessus. Le son est lu automatiquement et peut-être réécouté avec le bouton en dédié, en position centrale.

Des boutons précédent et suivant permettent quant à eux de naviguer dans les différentes fiches. En haut à gauche, il y a enfin le bouton pour ajouter la fiche à la liste des sons favoris dont nous parlions plus haut.

Concernant les fiches, dommage qu’elles ne comportent pas quelques petites infos supplémentaires comme le milieu de vie, l’espérance de vie, le régime alimentaire, le poids ou le gabarit. Même si ça n’est pas le but initial, cela aurait été un plus pour une application à vocation éducative.

 

De la publicité en plein écran au programme

L’application est gratuite en contrepartie de la publicité. Sur les 15 premières minutes d’utilisation, nous avons eu deux fois un écran de publicité vidéo en plein écran. Deux vidéos de quelques secondes au moment où nous quittions la navigation dans les fiches. Même si la durée était courte, en termes d’expérience utilisateur, il y a mieux comme format…

 


VERDICT


L’application “Les sons de la faune” se montre simple dans son interface comme dans sa prise en main, ce qui rendra son utilisation aisée pour les enfants. Elle est assez riche en termes de sons.

L’application aurait en revanche pu ajouter quelques informations complémentaires sur chaque animal, pour gagner en consistance. Quant à la publicité, elle aurait pu être mieux intégrée, afin d’éviter l’affichage plein écran, aussi furtif soit-il.

Quoi qu’il en soit, cette application gratuite permettra d’occuper un peu les enfants tout en enrichissant leur culture générale. Bref, à essayer.


 

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Free Mobile : l’itinérance Orange prolongée, mais améliorée par rapport à ses débuts

Free ne cesse de muscler son réseau mobile grâce au déploiement des antennes 4G émettant sur la bande des 700 MHz. Mais ce n’est pas le seul paramètre qui permet à ses abonnés de se retrouver moins souvent en itinérance sur le réseau 3G Orange avec ses débits bridés. Il y a en effet le réseau dit “208.16”.

L’Arcep a récemment indiqué avoir reçu un avenant pour la prolongation du contrat d’itinérance passé entre Free et Orange, le second apportant pour rappel son réseau 3G là où le premier n’a pas de réseau. Encore 2 ans à composer avec l’itinérance n’ont pas tardé à pester certains. Sauf que l’itinérance a évolué par rapport aux débuts de l’opérateur.

Le réseau 208-16 pour revenir plus rapidement sur le réseau Free

Avec le déploiement des antennes en 700 MHz, une bande de fréquences dite en or, car permettant d’améliorer sensiblement la couverture réseau mobile, les abonnés Free Mobile ont de plus en plus de chances de capter le réseau de leur opérateur et moins de chances de se retrouver sur celui d’Orange avec ses débits désormais bridés à 384 kbit/s. Selon les dernières données de l’ANFR, au 1er avril 2020, Free comptait 15 586 sites 4G en service, dont 14 150 antennes 4G 700 MHz en service.

Et il y a un second paramètre qui peut améliorer grandement l’expérience des abonnés Free Mobile devant encore composer avec l’itinérance Orange : le réseau 208.16 dont nous vous parlions début 2019. Celui-ci vient en effet compléter le réseau 208.15 utilisé depuis le début par Free Mobile. Précisons d’ailleurs que l’infrastructure et le réseau ne changent pas. Seule l’identification du réseau évolue, avec l’usage d’un nouvel alias. Comme une voiture qui changerait de plaque d’immatriculation. Elle reste la même, mais change d’immatriculation.

Comme cela a été constaté, le réseau 208.16 améliore grandement l’expérience en itinérance, avec un fonctionnement différent. Avant, il fallait parfois jusqu’à 30 minutes pour basculer sur une antenne Free après avoir été connecté à une antenne Orange, ce qui pouvait être grandement pénalisant lors de l’utilisation d’un ascenseur ou du passage dans un parking. Avec le réseau 208.16, le laps de temps avant le retour sur le réseau Free se compte en secondes dès la détection d’une antenne de l’opérateur. La donne n’est plus du tout la même. D’autant plus que ce mécanisme concerne tous les sites.

L’itinérance en dernier recours

Mais pourquoi garder l’itinérance, du coup ? Eh bien, elle peut avoir son utilité dans les zones très mal couvertes, voire pas du tout. Surtout face aux oppositions de riverains que nous rapportons régulièrement dans nos colonnes. Des opposants qui oublient parfois qu’ils ont du réseau grâce à l’itinérance Orange et qu’ils n’en auraient plus si l’itinérance prenait fin.

Or, en cas d’opposition, le problème ne vient pas des moyens financiers et techniques, mais de l’allongement des procédures avec des négociations à l’amiable et la recherche d’un nouvel emplacement. Sans oublier la voie judiciaire qui peut repousser d’un an ou plus l’installation d’une antenne.

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