Auteur : dimitri

 

Alors que l’accord pour la distribution des chaînes BFM Business, BFMTV, RMC Découverte et RMC Story via le bouquet Freebox TV arrive à son terme, Altice entend en profiter pour faire payer Iliad. Voici les solutions dans le cas où aucun accord ne serait trouvé entre les deux groupes.

Si vous avez suivi l’actualité la semaine dernière, vous avez probablement entendu parler du torchon qui brûle entre Altice et Iliad. Alors que l’accord de diffusion pour les chaînes BFM Business, BFMTV, RMC Découverte et RMC Story sur les Freebox arrive à son terme le 20 mars, le premier entendrait faire payer 5 à 6 millions par le second. Pas question pour le groupe de Xavier Niel, qui parle d’absence de négociations et dénonce la partialité de BFM TV auprès du CSA quant à la communication sur le sujet. D’autant plus que les chaînes sont disponibles via la TNT. Aux dernières nouvelles, Altice se donne quelques supplémentaires pour parvenir à un accord.

Pour les abonnés Freebox qui se retrouvent pris en otages, voici quelques alternatives si la coupure devenait effective, faute d’accord entre Altice et Iliad :

Depuis le téléviseur :

– Le raccordement à la TNT, grâce au tuner intégré dans le Player, y compris celui de la Freebox Delta

– Les applications M3U disponibles sur la Freestore, pour les abonnés Freebox Révolution et Freebox Delta

– L’application Molotov disponible sur le Play Store, pour les abonnés Freebox Mini 4K,

– Vous pouvez également installer l’application myCanal directement sur la Freebox Mini 4K

Depuis le smartphone ou la tablette :

– L’abonnement myCanal inclus dans les offres Freebox Révolution et Freebox Delta, utilisable sur PC, smartphone et tablette

– Les applications officielles BFM (Android et iOS) et RMC (Android et iOS) pour smartphone et tablette tactile disponibles sur les plates-formes Play Store et App Store

Depuis l’ordinateur :

– Le site Web de BFM et celui de RMC Découverte accessibles sur ordinateur

– Le logiciel ADSL TV sur ordinateur

Les forfaits mobiles de Free, en particulier le petit à 2 euros, subissent la forte concurrence et la multiplication des promotions. Pour autant, Iliad ne compte pas se lancer dans quelque chose d’insensé. Pas question de sortir un forfait 5 euros à vie, comme ceux proposés par la concurrence.

Comme attendu, Iliad vient de publier ses résultats financiers annuels. Ceux-ci ont notamment montré une érosion du nombre d’abonnés mobiles. Se chiffrant à 254 000 sur un an, elle a pour principale origine le recul du nombre d’abonnés au petit forfait à 2 euros (ou 0 euro pour les abonnés Freebox). L’offre a en effet perdu près d’un million d’abonnés sur un an. Si certains ont migré vers le forfait avec 4G illimitée à 19,99 euros (ou 15,99 euros pour les abonnés Freebox) et font partie des 722 000 recrutements enregistrés par le forfait avec 4G illimitée et la Série Spéciale, d’autres ont été attirés par les nombreuses promos dans le secteur de la téléphonie mobile, comme le souligne Iliad en parlant d’un « contexte concurrentiel exacerbé en 2018 ». 

Il y a notamment les offres à 5 euros de Red by SFR ou 4,99 euros de Bouygues Télécom, qui proposent des appels et SMS illimités et une enveloppe data mensuelle de plusieurs dizaines de Go. Le tout sans engagement et à vie. Inutile de dire que ces promotions s’avéraient très intéressantes face au petit forfait avec ses 2 heures d’appels ses 50 Mo de data. Pour autant, pas question pour Free de s’orienter vers ce type d’offres : « On ne lance pas des offres à vie à 5 euros, ça n’a pas de sens économique ». Iliad est conscient qu’elles pourraient attirer du monde, mais laisse entendre le fait qu’elles ne lui permettraient pas d’être rentables.

Source : Business Insider

L’opérateur Free recrute un(e) ingénieur(e) R&D Électronique pour son équipe Smart Home.

Plusieurs mois après le lancement de la Freebox Delta, l’équipe de Free travaillant sur la partie "maison connectée", soit la domotique, continue de s’agrandir. L’opérateur recherche en effet un(e) ingénieur(e) R&D Électronique pour rejoindre son équipe Smart Home. Devant avoir une expérience significative en tant qu’ingénieur électronique, il sera « en charge de concevoir les schémas électroniques et de réaliser le routage des cartes des objets connectés ».

Les missions du poste :
– Concevoir des circuits électroniques d’objets connectés et réaliser des cartes
– Générer des dossiers de production
– Tester et valider des prototypes
– Collaborer avec les laboratoires de certification

Les connaissances demandées
– Routage de circuits radio et d’antennes
– Tests et mesures RF
– Électronique de puissance
– Bonne maîtrise de l’anglais

Le poste est basé au sein du siège d’Iliad, dans le 8e arrondissement de Paris. Retrouvez toutes les infos sur le site WelcomeToTheJungle.

Rappelons qu’une autre annonce avait été publiée fin février pour des recrutements. Elle concernait des postes de développeur et un poste d’ingénieur Hardware.

L’application Freebox officielle se met à jour sous Android. Il s’agit de corriger les bugs.

L’application Freebox, ex-Freebox Compagnon, se met à jour sous Android. Les notes de version sont succinctes, évoquant simplement la correction d’un « crash dans la section "Machines en réseau » et des « correction diverses »

Rappelons que l’application, disponible sur smartphone et tablette, permet de consulter l’état de votre Freebox, de consulter le journal des appels téléphoniques, de suivre et gérer les téléchargements, de copier les photos et vidéos sur le disque dur de votre Freebox Server, de gérer le contrôle parental, de gérer les enregistrements sur votre Freebox ou encore de gérer le système d’alarme. L’accès aux fonctionnalités se fait en Wi-Fi ou à distance en 3G.

Toujours concernant l’application Freebox, la version bêta proposée sur iOS via TestFlight a récemment été mise à jour. Les améliorations et corrections concernaient les parties Freebox et Télévision.

 

La Freebox Delta permet d’enregistrer vos programmes TV. Voici la marche à suivre pour récupérer les enregistrements, afin de les lire sur un ordinateur ou un autre support.

Comme la Freebox Révolution et comme vous le montrait un tutoriel consacré à la Freebox Delta, cette dernière permet d’enregistrer les programmes TV sur disque dur. Pratique pour l’épisode d’une série diffusé la journée alors qu’on est au travail ou pour pouvoir revoir une émission ultérieurement.

Les programmes peuvent ensuite être retrouvés dans l’interface TV de la Freebox, en allant dans "Télévision/Rec/Voir mes enregistrements".

 

Pour un téléchargement et une consultation depuis l’ordinateur (ou un autre support), il va falloir passer par Freebox OS, le système d’exploitation de la Freebox utilisable depuis un navigateur Web en saisissant l’adresse http://mafreebox.freebox.fr/.

Une fois connecté à Freebox OS, il ne reste qu’à ouvrir l’explorateur de fichiers et se rendre dans le dossier "Enregistrements". Le téléchargement du fichier passe par un clic droit sur celui-ci.

Les enregistrements téléchargés peuvent alors être lus avec plusieurs lecteurs multimédia, dont celui intégré à Windows.

Comme vous pouvez le voir, la manipulation est très simple. Dans notre exemple, elle a en tout cas fonctionné du premier coup.

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du Chromecast.

Avec sa Freebox Mini 4K sous Android TV, Free propose la technologie Chromecast. À quoi sert-elle ?

La technologie Chromecast permet d’établir une connexion entre un appareil mobile sous système Android (smartphone ou tablette tactile) ou un ordinateur équipé du navigateur Web Chrome et un dispositif audio-vidéo (téléviseur, chaîne-hifi, enceinte connectée, etc.), afin de transmettre de l’image ou du son en sans-fil. La condition est qu’ils soient connectés au même réseau Wi-Fi.

Dans le cas de la Freebox Mini 4K ou de l’enceinte connectée Google Home Mini, le module Chromecast est directement intégré à l’appareil. Mais la technologie Chromecast peut aussi profiter à des appareils en étant dépourvus grâce un module externe Chromecast à connecter en HDMI ou en mini-jack. Google a d’ailleurs récemment mis fin à la production des versions audio. 

Citons maintenant quelques exemples concrets d’utilisation de Chromecast. Avec la Freebox Mini 4K ou un module Chromecast branché en HDMI sur le téléviseur, on peut déporter l’affichage et le son de son smartphone sur le téléviseur, pour par exemple afficher une vidéo YouTube sur un téléviseur non connecté à Internet. L’envoi du flux se déclenche depuis un raccourci dans l’application. Dans le cas du Google Home Mini, on peut streamer la musique Spotitfy depuis son smartphone vers l’enceinte connectée. Là aussi, la diffusion du flux se lance depuis un raccourci dédié.  

Avec un PC équipé du navigateur Web Chrome, enfin, il suffit d’aller dans le menu principal, de cliquer sur « Caster » et d’envoyer le flux vers le module Chromecast ou l’appareil compatible Chromecast.

Ce mercredi était l’occasion pour les opérateurs télécoms de faire le point sur la mise en œuvre du New Deal Numérique devant la Commission des Affaires Économiques. Maxime Lombardini, président du Conseil d’Administration d’Iliad, en a profité pour évoquer « l’accélérateur » dont disposent les communes pour accélérer le déploiement de la couverture mobile et qu’elles n’utilisent pourtant pas.

Maxime Lombardini a plaidé la cause de son groupe. Il a en effet rappelé les efforts et lourds investissements d’Iliad pour rattraper son retard du à une arrivée plus tardive dans le mobile. Il cite notamment les 15 000 sites qui permettent d’arriver à une couverture de 96 % en 3G (propre) et 92 % en 4G.

Lors de l’une de ses interventions, Maxime Lombardini a ensuite abordé l’un des freins du déploiement des antennes-relais dans le cadre du New Deal. Il a commencé par indiquer  : « Nous ne choisissons pas, nous opérateurs, les zones où ces sites doivent être construits ». Il a ensuite donné l’explication : « Sur les premières vagues, Free doit construire 220 sites. Et sur ces 220 sites, seuls 25 (…) se sont vus accompagnés d’une proposition de la commune d’un site, d’une zone viabilisée ». Or, comme le rappelle Maxime Lombardini, si la commune propose un espace viabilisé pouvant accueillir le pylône, l’opérateur est engagé « à construire en 12 mois ». Autrement, « c’est 24 mois ». Selon lui, « l’accélérateur » est entre les mains des communes. Et d’ajouter : « ce qu’on peut voir aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas grand-chose qui se passe. Tout est laissé entre nos mains, alors que les communes connaissent leurs terrains beaucoup mieux que nous ». Il regrette que l’accélérateur (celui permettant d’arriver à 12 mois) soit « extrêmement peu utilisé ».

 

L’application FMobile, celle qui libère tous les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange, se met à jour avec quelques améliorations à la clé.

Proposée aux propriétaires d’iPhone par le biais de TestFlight, en raison des exigences de la firme de Cupertino sur l’App store et d’une validation qui n’a pas encore été obtenue par le développeur, l’application FMobile permet aux abonnés Free Mobile de se libérer de l’itinérance Orange. Elle permet en effet de détecter sur quel réseau est connecté l’iPhone et effectue une succession d’actions pour revenir sur le réseau de Free lorsqu’il est bloqué en itinérance Orange.

L’application FMobile vient d’être mise à jour en version 1.0 (38). La documentation indique une optimisation de la consommation de données, une amélioration de la stabilité et une amélioration de la détection du pays en arrière-plan. Le développeur précise que cette mouture peut rencontrer des difficultés de fonctionnement avec iOS 12.1.4.

 

L’application mobile TélécFree se met à jour sur iOS. Il s’agit d’améliorer la prise en charge du dernier système d’exploitation mobile d’Apple et de la dernière génération d’iPhone.

Disponible gratuitement sur l’App Store d’Apple, TélécFree est une application qui permet d’utiliser son smartphone iPhone comme télécommande virtuelle pour la Freebox. Pratique, si vous ne trouvez plus votre télécommande ou si vous êtes à court de piles quand les magasins sont fermés.

TélécFree fonctionne avec les players Freebox V5 (Crystal et HD) et Freebox Révolution. Elle vient d’ailleurs d’être mise à jour en version 6.3. La documentation indique l’amélioration de la prise en charge pour iOS 12, le dernier système d’exploitation mobile d’Apple, et le support de l’iPhone XR, l’un des derniers smartphones de la firme à la pomme.

Un abonné Freebox Delta a organisé un petit face à face entre les assistants vocaux d’Amazon et de Google.

Free a indiqué avoir intégré l’assistant vocal d’Amazon sur le player de sa Freebox Delta en complément du sien, car il s’agit de la meilleure solution du marché. Un abonné a organisé un petit face à face avec l’assistant vocal de Google, réputé très complet et très efficace, pour voir lequel s’en sort le mieux. 

Les premières requêtes de l’abonné Freebox Delta s’appliquent à la cuisine ou au salon. Elles vont de la demande de l’heure à l’allumage des lumières, en passant par la programmation d’un réveil, l’ajout à la liste de courses, le lancement d’une musique, l’annonce du programme TV ou l’énonciation d’une recette de cuisine. 

Viennent ensuite les requêtes plus décalées. On découvre ainsi le nom du cousin végétarien de Bruce Lee, grâce aux blagues de Google Assistant. On constate également que les assistants vocaux savent parler comme Yoda ou pousser la chansonnette, mais aussi faire des lancers de pièce ou de dé puis indiquer le résultat. Seul Amazon Alexa révèle des capacités de Pierre-feuille-ciseau et répond sans détour lors d’une demande en mariage. 

Le match se termine sur un score de 14 pour Google Assistant à 11 pour Amazon Alexa. On notera qu’Amazon Alexa a manqué une double question et une définition, mais aussi que Google Assistant et Amazon Alexa ont tous les deux buté sur des questions autour du foot. Google Assistant s’en sort globalement mieux avec sa base de données plus importante. Mais on peut voir qu’Amazon Alexa se défend et souligner qu’il s’améliore régulièrement grâce au Cloud.