Direction le lieu-dit de Kerscao situé dans la commune du Relecq-Kerhuo en Bretagne où Free Mobile a récemment érigé une antenne-relais 4G après avoir renoncé à un premier emplacement.
Une histoire d’opposition qui se termine bien. En 2017, l’opérateur mobile de Xavier Niel a tenté d’implanter un pylône non loin dans le quartier de Kergleuz, sur le terrain d’un boulodrome mais s’est heurté à l’action d’un collectif. Vent debout face à ce projet, celui-ci a organisé un pique-nique, puis installé une antenne fictive avant de sortir son armada de banderoles. Les arguments de ces riverains réfractaires, l’impact des ondes et la pollution visuelle. Si Free Mobile s’est alors montré rassurant quant à son choix, devant l’ampleur de la mobilisation et de ces blocages, le maire a alors demandé à l’opérateur de changer d’emplacement en lui proposant un site davantage éloigné des habitations que la municipalité venait d’acquérir pour y abriter ses locaux techniques.
Conciliants, les techniciens de Free Mobile ont alors utilisé un drone afin de vérifier qu’en installant leurs équipements sur ce site, la commune pouvait être couverte intégralement. Force est de constater que ce fut le cas puisqu’après avoir obtenu toutes les autorisations, l’opérateur a pu enfin installé son pylône d’une hauteur de 30 mètres il y a quelques semaines.
Ce n’est qu’une question d’heures voire de jours. L’application FMobile est en approche et va libérer tous les abonnés Free Mobile sur iOS de l’itinérance Orange. En marge de son arrivée sur l’App Store, Univers Freebox a interviewé, Michaël (PlugNTweet) le développeur derrière cette app, laquelle s’annonce incontournable en attendant que Free gagne totalement son indépendance vis-à-vis de l’agrume fin 2020. Mode d’emploi, fonctionnalités, compatibilité, c’est par ici que cela se passe !
UF : Pourquoi avoir développé FMobile ?
Michael : Comme vous le savez, il y a quelques mois, en Septembre j’ai créé un raccourcis pour iOS permettant de sortir de l’itinérance. Beaucoup de lecteurs d’Univers Freebox sont venus me donner leurs retours via Twitter et par mail. Une question qui est pas mal revenue et que je me posais aussi était : « le raccourci peut-il se lancer en arrière-plan et ainsi arrêter d’être ponctuel ? ».
J’ai donc commencé par développer un raccourci qui devait tourner en arrière-plan que j’ai appelé « Mon Réseau – Free Mobile » mais qui n’a jamais fonctionné car au bout de 2 minutes il arrêtait de s’exécuter. Pensant au départ à un bug de Shortcuts, j’ai fait mes recherches et ce comportement et tout à fait normal sur iOS : une application doit avoir des paramètres spécifiques pour tourner en arrière-plan. J’ai approfondi mes recherches et j’ai trouvé une première solution pour réaliser l’application Mon Réseau le 29 septembre.
S’en est suivi le développement d’une interface qui était très moche, et mon ami Nathan Fallet est intervenu pour m’aider à la réalisation de cette appli en faisant l’interface et le test de débit intégré. Vers la fin du développement, je l’ai nommée myFM, mais ce nom n’a pas été très bien accueilli donc je me suis retourné quelques jours plus tard sur FMobile. Ce n’est que début janvier que je l’ai trouvé la solution miracle pour la faire tourner en arrière-plan en continu (car jusqu’alors l’application tournait que occasionnellement en arrière-plan) grâce aux services de localisations.
Quelle est la différence avec le « Raccourci » que tu as créé il y a quelques mois sur iOS ?
M : Il y a beaucoup de différences. La plus flagrante, c’est que mon application est une véritable application, bien conçue avec tous les réglages et toutes les options accessibles à portée de main. La vraie différence à l’usage est que l’application peut détecter les boitiers Femto et ran-sharing (ça aussi était pas mal reproché par les lecteurs d’Univers Freebox, je ne pensais pas qu’il y en aurait autant !), mais surtout fonctionne en permanence en arrière-plan. Et comme c’est une véritable application, elle est plus puissante et toutes les questions qui étaient posées dans le raccourci que j’avais créé il y a quelques mois sont obtenues automatiquement par l’appli, il n’y a donc plus aucun popup de confirmation. L’unique ressemblance avec le raccourci que j’avais fait est que l’application FMobile fonctionne toujours à l’aide d’un raccourci, qui est inspiré du premier mais réécrit pour fonctionner en harmonie parfaite avec FMobile.
Concrètement pour les abonnés Free Mobile sous iOS, en quoi consiste cette application et comment fonctionne t-elle ?
M : Il y a un mode d’emploi « officiel » si je puis dire, sous forme de vidéo YouTube. Le lien est le suivant : youtube.com/watch?v=pTQKVb…. Sinon pour en faire un résumé, l’application se sert des requêtes de localisations envoyées par iOS à chaque mouvement (plus ou moins important selon la charge du système, iOS décide : ça va de quelques millimètres à 200m en cas de surcharge lourde : typiquement ça fonctionne même lorsque l’iPhone est posé sur une table) pour effectuer une série de vérifications (pays, zone identifiée, statut de communication téléphonique, statut du wifi, statut des préférences, opérateur, protocole, statut de l’interdiction, test de débit si nécéssaire : tout ça est expliqué dans ma vidéo YouTube « Backstage » : youtube.com/watch?v=bxJqhL…).
Si l’application détecte des boîtiers Femto et ran-sharing à l’issue du Speedtest, ils sont enregistrés dans l’appareil comme « zone identifiée ». L’utilisateur peut d’ailleurs enregistrer sa propre zone identifiée dans le cas ou elle n’est pas couverte par le réseau de Free/Femto/ran-sharing. Après tous ces tests, l’application envoie une notification pour prévenir l’utilisateur et dès que l’utilisateur clique dessus, la procédure se met en marche à l’aide du raccourci dédié. Malgré tout ça, j’enregistre un score de 2% d’utilisation de la batterie pour 115h d’activité en arrière-plan ! C’était également une crainte partagée par tous et un objectif que je me suis fixé, car iOS n’a pas l’habitude de gérer des applications qui tournent aussi longtemps en arrière-plan, en continu.
Quelles sont les fonctionnalités intégrées ou les futures évolutions possibles de FMobile ?
M :J’ai intégré quelques petites fonctions sympas comme le suivi de consommation détaillé, l’accès rapide au code Field Test, un test de débit graphique (attention, il est calibré pour détecter l’itinérance donc il n’est pas représentatif en 3G/4G/Wi-Fi), les numéros utiles de Free, et un « mode radin » (juste pour le fun, parce qu’il faut s’amuser aussi pendant les heures de développement, ça remplace bien la pause café, vous verrez ce qu’il fait). J’ai quelques idées d’améliorations, mais en premier je compte faire ce que la communauté va me rapporter. Parmi les idées que j’avais pour la suite c’était de créer une carte de couverture à l’aide des fonctions déjà présentes dans l’application, mais je ne suis pas certain de le faire pour l’instant car ça va dépendre du nombre d’utilisateurs actifs. Une des fonctions que je vais améliorer c’est pouvoir gérer point par point les zones identifiées plutôt qu’un simple bouton de réinitialisation générale.
Comment se sont passés les tests ? Tout est parfaitement fonctionnel ? Quels terminaux Apple sont compatibles ?
M : Les tests se sont toujours bien passés, que ce soit avec Mon Réseau, myFM et maintenant FMobile. Je n’ai jamais eu affaire à des gros crash ou bugs, c’était toujours relativement stable, même au tout début. J’ai eu quelques difficultés de temps en temps, mais rien de bien compliqué. Tout est parfaitement fonctionnel, oui, et normalement j’ai éliminé tous les bugs flagrants de l’app, donc c’est maintenant à la communauté de la tester et me rapporter tous ce qu’ils voient pour pouvoir l’améliorer encore plus ! Tous les terminaux Apple sont compatibles si ils ont iOS 12.1 minimum, avec préférablement l’application Shortcuts installée.
Qui dit abonnés Free Mobile, dit utilisateurs iOS mais aussi Android, pourquoi une version Android ne verra pas le jour ?
M : C’est une question que j’ai énormément reçu. Sûrement la plus posée de toutes depuis mon premier raccourci. Techniquement, une version Android pourrait voir le jour mais les conditions requises sont beaucoup plus compliquées. Sur iOS, vous devez avoir iOS 12.1 et Shortcuts, c’est tout. Sur Android, vous devez rooter votre téléphone, ou alors posséder un ordinateur avec les outils ADB installés et le mode développeur activé sur le téléphone pour saisir des commandes qui peuvent compromettre la sécurité du téléphone. Ça réduit beaucoup le champ des utilisateurs potentiels, de plus comme le comportement des smartphones Android est différent selon les marques, je ne pourrais pas avoir la certitude qu’une telle application aurait une efficacité sur tous les modèles de smartphones, et j’ai moyennement envie d’investir plusieurs mois de mon temps pour un résultat complètement incertain.
Quand peut-on espérer l’arrivée de l’application sur l’App Store ? Sera t-elle gratuite ?
M : Je suis en pleine phase de validation en ce moment-même. Avec beaucoup de chance elle devrait sortir dans les prochaines heures. Elle sera complètement gratuite (aucun achat intégré) et sans aucune publicité !
As-tu rencontré des problèmes avec Apple pour la validation de l’app ?
M : Elle a été refusée une première fois pour 3 raisons : manque d’informations chez Apple, CallKit illégal en Chine et demande d’accès à la localisation imprécise. J’ai tout corrigé et j’attends la réponse qui devrait arriver dans les prochaines heures…
L’action d’Iliad va t-elle remonter la pente ? Un analyste financier d’Amiral Gestion s’est prêté au jeu des estimations.
Depuis un pic à 235 euros en mai 2017, le titre d’Iliad connaît une véritable traversée du désert. Conséquence, l’action du groupe a perdu 60% de sa valeur entre cette période faste et son creux de novembre 2018, rapporte Capital. Cette semaine ne manque pas à la règle puisque hier à la suite d’un abaissement de l’objectif de cours de Kepler Cheuvreux ( de 125 à 100 euros), le cours d’Iliad a une nouvelle fois chuté, de 113 à 103.25 euros à l’heure à laquelle nous écrivons ces lignes.
Malgré tout, les analystes restent globalement unanimes et optimistes sur un regain de forme de sa valeur, avec un objectif de cours moyen de 158 euros en 2018, note le mensuel. Impacté par une perte d’abonnés sur le fixe et le mobile durant les neuf premiers mois de l’année 2018, elle-même due à une intensification de la guerre des prix de la part de Bouygues et SFR, Iliad a souffert en Bourse en 2018. Interrogé par le mensuel, Youssef Lboukili, analyste financier chez Amiral Gestion, estime que la maison-mère de Free a perdu "son statut de valeur de croissance auquel elle avait longtemps habitué les marchés”.
Néanmoins, la stratégie industrielle du groupe à long terme semble avoir beaucoup de sens à ses yeux: Tout d’abord, la fin de l’itinérance et la montée en puissance du réseau propre de Free Mobile “devrait permettre de réaliser des économies considérables sur l’accord d’itinérance avec Orange”, explique t-il, et d’ajouter que le déploiement de la fibre et la bascule occasionnée va permettre au FAI "d’économiser une dizaine d’euros par abonnés sur les frais de cuivre payés à l’opérateur historique”. Par ailleurs, l’analyste observe que "le bilan de l’activité française reste modérément endetté”, une bonne nouvelle. Par conséquent, Amiral Gestion qui gère gère 4 milliards d’euros en actions et obligations, présage une amélioration de la génération de trésorerie de Free et ce “de manière significative, aidée également par la normalisation des investissements dans le mobile”.
Enfin, en lançant la Freebox Delta, Free pourrait aider sa maison-mère à relancer sa croissance, en visant des consommateurs “recherchant avant tout la qualité au détriment du prix". Youssef Lboukili note enfin que le relais de croissance que constitue Iliad en Italie après un lancement réussi, n’est pas assez valorisé par le marché, à l’heure où les investisseurs Les investisseurs semblent douter de la capacité du groupe à générer "des retours sur investissement dans un contexte concurrentiel fort". Reste également un schéma de consolidation qui pourrait donner un sérieux coup de boost au titre d’Iliad.
Free Mobile ajoute 1 Go supplémentaire depuis l’Europe et remonte le volume de données de son forfait à 8,99€/mois, à 60 Go.
Après avoir augmenté en septembre dernier puis baissé le volume de data de son forfait temporaire fin 2018, lequel est passé de 60 à 50 Go, Free Mobile continue de prolonger son offre, celle-ci est désormais disponible jusqu’au mardi 22 janvier prochain. Mais cette fois, l’opérateur de Xavier Niel apporte une nouveauté, l’enveloppe de data incluse en roaming depuis l’Europe passe de 3 à 4 Go et la data incluse en France repasse à 60 Go.
Ce forfait sans engagement intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, comprend pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 60 Go en France métropolitaine et donc 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G parfois. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.
Lancée en janvier 2018, l’application de télécommande virtuelle baptisée "Freeteuse" a reçu une nouvelle mise à jour. Estampillée 1.8.3, celle-ci intègre une nouveauté, l’ajout du raccourci TV.
Très pratique si vous avez perdu votre télécommande Freebox ou si elle n’a plus de piles par exemple, Freeteuse, uniquement disponible sur Android, reprend le visuel de la télécommande originelle. Grâce à elle, exit le temps de latence au démarrage. Autre point positif au delà de sa gratuité, l’absence de publicité, «une application avec laquelle il faut attendre la fin de vidéos d’annonces avant de pouvoir s’en servir est tout sauf une télécommande.» Par ailleurs, les touches physique V+ et V- de votre smartphone peuvent servir à contrôler le son. A noter aussi la présence de trois touches rapides qui permettent d’accéder à des fonctions qu’il est difficile d’utiliser habituellement car elles sont enfouies dans des sous menus très peu accessibles, à savoir la radio, InfoMusic et PiP. Pour l’utiliser, il vous suffit de vous connecter au réseau WiFi local.
Mission accomplie, Free passe un nouveau cap et compte aujourd’hui plus d’un million d’abonnés FTTH selon les estimations de françois04.
Une évolution progressive. On se souvient qu’à l’aube de l’année 2015 soit il y a tout juste 4 ans, l’opérateur de Xavier Niel revendiquait 100 000 abonnés FTTH. Il lui a fallu 8 ans pour arriver à ce stade, mais depuis, le déploiement et le recrutement se sont accélérés. Ainsi, en mars 2016, Free annonçait officiellement disposer de 200 000 abonnés FTTH. Fin janvier 2017, soit 10 mois plus tard, l’opérateur franchissait le cap des 300 000 abonnés FTTH, puis en juillet 2017 les 400 000, en octobre les 500 000, le 30 janvier 2018 les 600 000 abonnés, le 25 mai les 700 000, ou encore les 900 000 le 19 novembre dernier, selon les estimations de francois04.
Free a donc trouvé son rythme de croisière et semble même pouvoir encore appuyer sur l’accélérateur puisque la barre du million d’abonnés FTTH vient d’être franchie (1 001 600 à ce jour), soit plus de 50 000 nouveaux abonnés en 1 mois. Le FAI remplit par la même occasion l’un de ses objectifs, à savoir arriver à ce seuil début 2019.
Les objectifs sur le fixe :
Part de marché Haut Débit et Très Haut Débit de 25% à long terme ;
Hausse de la base d’abonnés FTTH de 300 000 à 500 000 abonnés en 2018, puis d’environ 500 000 abonnés par an à partir de 2019 ;
Après l’Algérie il y a un an, Free renforce son offre pour les abonnés voyageant au Maghreb et intègre la Tunisie parmi les destinations bénéficiant de l’enveloppe de 25Go/mois d’Internet mobile en roaming incluse dans le Forfait à 19,99€/mois.
L’opérateur s’en félicite et rappelle être le 1er opérateur à inclure du roaming data en Tunisie dans un forfait mobile grand public sans engagement à moins de 20€/mois. Son forfait le plus onéreux continue ainsi de se renforcer avec au total aujourd’hui une cinquantaine de destinations incluses, idéal pour les voyageurs endurcis et connectés. Une très bonne nouvelle puisque le Mo était jusqu’à présent facturé €.
Disponible depuis novembre 2017 sur le Google Play Store, l’app RNC Mobile va prochainement évoluer. Une nouvelle version est en développement, actuellement disponible en bêta-test.
Au programme de cette nouvelle version bêta de l’application, quelques nouveautés comme le support d’Android Pie, l’ajout d’un menu antennes indisponibles ou encore la résolution du freeze du moniteur sur certains terminaux.
Pour rappel, RNC Mobile permet aux utilisateurs Android de "chasser" les antennes Free Mobile grâce aux informations de l’ANFR relayées tous les mois. Créée, gérée et alimentée par la communauté, celle-ci a pour vocation de faire découvrir les sites Free Mobile, tester les débits de l’antenne à tout moment et partager des photos. Autres possibilités, retrouver l’historique de vos tests, le TOP, ainsi qu’une carte ou encore accéder à un journal permettant de visualiser les antennes sur lesquelles vous vous êtes connectées, utile aussi le mode voiture.
Free avance à grands pas vers la fin de l’itinérance Orange. Les dires de Xavier Niel le mois dernier se confirment, "l’opérateur déploie, commence à éteindre des bouts de petits trucs et commence à être bon".
Depuis la fin des vacances et de l’habituelle baisse du taux d’utilisation de son réseau propre, Free reprend son ascension spectaculaire et signe un troisième record en l’espace d’une semaine. Aujourd’hui, un nouveau cap est franchi puisque les abonnés Free Mobile utilisant l’application Free Mobile Netstat sont connecté en 3G/4G 87,1% du temps au réseau de l’opérateur et bonne nouvelle ils accrochent seulement 13% du temps les antennes d’Orange à l’heure où les débits sont davantages bridés. Sans conteste, cette progression effrénée est à mettre au crédit du déploiement de nouveaux sites mobiles, mais également de l’activation de nouvelle fréquences, en particulier les 700MHz. Autre constatation, de plus en plus d’abonnés manifestent leur satisfaction sur Twitter, constatant une réelle amélioration.
Evolution du taux d’utilisation du réseau Free Mobile (source : freemobile.toosurtoo )
Etes-vous sur le réseau mobile de Free ou en itinérance sur le réseau Orange ?
Pour le découvrir très simplement, vous pouvez utiliser l’application Free Mobile Netstat. Sous Android, elle permet de comparer le taux d’utilisation des antennes Free Mobile et Orange (lorsque vous êtes en itinérance).
Free Mobile Netstat est également dotée de nombreuses options dont l’affichage d’une icône dans la barre de notification indiquant sur quel réseau le mobile est connecté et le niveau de batterie utilisé par chaque réseau.
Les informations récoltées sont ensuite diffusées sur site de Free Mobile Netstat, sur lequel vous pourrez consulter le pourcentage d’utilisation globale de chaque réseau, et ainsi découvrir l’étendue de la couverture de Free Mobile.
Chacun son tour. Après Android ce matin, c’est au tour d’iOS de recevoir une nouvelle mise à jour de l’application officielle Freebox, laquelle intègre deux nouveaux univers, "TV" et "Maison Connectée" pour la Freebox Delta.
Estampillée 4.0.2, cette version était disponible en bêta-test depuis quelques jours sur Test Flight. Celle-ci est désormais accessible à tous directement depuis l’App Store. Côté nouveautés, les développeurs précisent non sans humour que l’enregistrement à distance est de nouveau possible : "Navré pour ceux qui souhaitaient enregistrer les bêtisiers de Noël." Enfin, bonne nouvelle, les demandes de permissions ne devraient désormais plus être demandées de manière intempestive.