Auteur : Maxime Raby

Free lance un tutoriel pratique pour installer sans angoisser la Freebox Delta

Après la Freebox Pop, Révolution et mini 4K, c’est au tour de la Delta.

Vous venez de recevoir votre Freebox Delta et vous souhaitez être accompagné dans son installation ? Free lance aujourd’hui plusieurs tutoriels pour venir en aide aux novices, stressés à l’idée d’installer le serveur (fibre ou Adsl) et le player Devialet de la box haut de gamme du FAI. De l’insertion du module SFP fourni et du connecteur fibre à la connexion des Freeplugs en passant par la connexion du boîtier TV, l’opérateur guide les nouveaux abonnés étape par étape, un jeu d’enfant. Pour les nouveaux abonnés Freebox Delta ayant opté pour le Player Pop, un tutoriel dédié est également disponible pour installer le boîtier TV.

 

 

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Freebox Pop : une solution grand public pour regarder myCanal avec n’importe quel identifiant

A contrario de la Freebox mini 4K, le nouveau bébé de Free ne permet pas de se connecter à myCanal avec n’importe quel identifiant. Une utilité relative mais pas de panique, une solution existe : Chromecast.

Point faible de la nouvelle Freebox Pop, l’application myCanal pourtant intégrée à son interface TV Oqee, s’avère largement limitée en matière d’accès. Actuellement, il est nécessaire d’avoir souscrit à une offre TV by Canal, ou à une offre Canal+ via un abonnement Freebox Pop, pour utiliser la plateforme de la filiale de Vivendi en direct. Pour faire simple, myCanal ne propose pas d’entrer ses propres identifiants, tout se fait automatiquement.

Si certains abonnés bidouilleurs ont trouvé une parade temporaire à savoir un APK, une autre solution, cette fois officielle, existe. Le lecteur multimédia de la Freebox Pop intègre un Chromecast nativement, de quoi diffuser des contenus depuis son mobile ou ordinateur. Les abonnés disposant d’autres identifiants, peu importe l’abonnement Canal+, peuvent ainsi caster facilement les programmes de myCanal via leur smartphone ou tablette (iOS et Android) directement sur la Freebox Pop.

Pour se faire, il suffit de télécharger puis lancer l’application mobile de Mycanal , d’entrer vos identifiants avant de choisir un programme et d’appuyer sur l’icône Cast en haut à droite pour basculer sur la télévision. Attention, il faut être impérativement connecté en WiFi. Selon nos tests, le transfert est rapide et la qualité d’image est au rendez-vous. 

Pour rappel, une autre possibilité subsiste. Si vous possédez une offre Canal+ avec engagement, il est possible de lier votre Freebox Pop à votre offre Canal après coup, depuis votre espace abonné Canal+, dans la section “matériel”. Vous pourrez ensuite lancer MyCanal sur votre player Pop.

 

 

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Free lance une nouvelle mise à jour du Player de la Freebox Révolution

Le Player de la Freebox Révolution dispose d’une nouvelle version. Reste à connaître les correctifs apportés.

Deux semaines après avoir déployé une mise à jour du serveur de la Freebox Révolution, corrigeant notamment un problème de stabilité sur le wifi N, Free lance un nouveau firmware du Player de sa Freebox V6.  Estampillé, 1.3.23, cette nouvelle version apporte visiblement des corrections mineures. Pour l’heure, les développeurs n’ont pas encore détaillé le contenu de cette mise à jour.

Pour en profiter, il suffit de redémarrer le boîtier TV de la Freebox Révolution.

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Flash Foot, Free Ligue 1 Uber Eats lance son premier podcast, disponible gratuitement sur plusieurs plateformes

 

Découvrez Flash Foot, le premier podcast quotidien du nouveau service Free Ligue 1 Uber Eats pour tout savoir sur l’actualité des clubs.

C’est le jour-j, le championnat de France de Ligue 1 reprend ses droits avec le coup d’envoi ce soir de la première journée de la saison 2020/2021. Alors quelle est l’actualité de tous les clubs sans exception avant ce week-end tant attendu par les fans de ballon rond ? Pour y répondre, la nouvelle offre 100% foot de Free offerte à tous jusqu’à fin août, canarde aujourd’hui son premier podcast baptisé “Flash Foot”, un rendez-vous quotidien de 15 mins du lundi au vendredi, animé par Sara Menaï. La journaliste de Premier League pour RMC Sport et voix de l’émission “Le Vestiaire” a finalement signé un nouveau contrat trépident avec Free et fait ses aurevoirs hier sur Twitter à la chaîne sportive d’Altice après 4 ans de bons et loyaux services.

Aujourd’hui, au programme, le report d’OM-ASSE et la menace du coronavirus qui plane sur la Ligue 1, les encouragements de Zizou, le bon coeur de l’Olympique de Marseille et le quotidien Tour des Clubs de Ligue 1.

Disponible sur l’application Free Ligue 1 Uber Eats, elle-même accessible sur les Freebox mais aussi sur iOS et Android, Flash Foot fait également son apparition sur Apple Podcast de la marque à la pomme, soit un autre moyen de consommer ce contenu.

Un autre podcast de Free fera ses grands débuts mardi prochain. Baptisé “Football Society”. Celui-ci sera animé notamment par le journaliste de SoPress Brice Bossavie. Ce format plus long (environ 30 minutes) fera le lien entre le ballon rond et la société. Le 1er épisode parlera notamment de parcours éducatif conjugué à une vie de footballeur(se). L’équipe Free Ligue 1 est parti à la rencontre des responsables pédagogiques des centres de formation de Brest et de l’Olympique de Marseille ; de Clément Simonin, un joueur français parti étudier aux Etats Unis et du sociologue Julien Bertrand. “Les clichés ont la vie dure dans le foot. Pour beaucoup, le footballeur est sous-éduqué, sous-cultivé, s’exprime mal tout en gagnant des fortunes au volant d’une belle voiture. Est-ce que l’éducation est tant que ça délaissée dans le football ?”,  Réponse dans Football Society, une bande-annonce  laisse entrevoir un rendez-vous enrichissant.

 

 

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Free Mobile visé par un recours pour transfert illégal de données personnelles vers Facebook aux USA

Noyb, une ONG de défense numérique dépose 101 recours contre autant d’entreprises européennes pour des transferts de données vers Facebook et Google aux Etats-Unis. Elle juge cela contraire au RGPD et à une décision le mois dernier de la Cour de justice européenne. Free Mobile est dans le viseur.

La justice européenne a retoqué courant juillet le Privacy Shield, un accord autorisant les entreprises à transférer des données personnelles européennes vers les USA. La raison, les programmes de surveillance américains ont été jugé incompatibles avec les principes du Règlement général sur la protection des données (RGPD), ces derniers permettent au gouvernement américain d’avoir accès massivement aux données traitées par les entreprises, comme Facebook et Google. Un risque de non-conformité au RGPD pèsent alors depuis sur les entreprises européennes clientes des géants américains, la base légale étant invalidée. En l’absence de cadre juridique et alors que des discussions ont lieu entre l’Europe et les USA en vue d’un nouvel accord gommant les irrégularités constatées, les autorités européennes de contrôles des données, dont la CNIL, ont aujourd’hui la possibilité de suspendre voire d’interdire le transfert de données.

Un mois après la décision de la Cour de justice de l’Union Européenne, None of Your Business (Noyb), fondée par l’activiste Maximilien Schrems, assure que des transferts de données illégaux vers les États-Unis se poursuivent. En conséquence, l’association a déposé des plaintes auprès des autorités de contrôle concernant 101 entreprises de 30 États membres de l’UE et de l’EEE dont 6 françaises, à savoir, Le Huffington Post, Leroy Merlin, Decathlon France, Auchan e-Commerce, Sephora et Free Mobile. Noyb demande ainsi à la CNIL d’enquêter, conformément sur les données transférées.

Plus concrètement, après une analyse rapide du code source HTML des principales pages web de l’UE, l’association a observé que de nombreuses entreprises utilisent toujours Google Analytics ou Facebook Connect.

“Ces extraits de code transmettent des données sur chaque visiteur à Google ou Facebook. Les deux sociétés admettent qu’elles transfèrent des données d’Européens vers les États-Unis pour traitement, où elles sont légalement tenues de mettre ces données à la disposition d’agences américaines comme la NSA. Ni Google Analytics ni Facebook Connect ne sont indispensables pour faire fonctionner ces pages web et sont des services qui auraient pu être remplacés ou du moins désactivés à l’heure actuelle”, déplore Max Schrems, président de Noyb.eu.

Free Mobile visé pour son utilisation de Facebook Connect

S’agissant de Free Mobile, l’association a visité le site web “http://mobile.free.fr/” tout en étant connecté à un compte Facebook associé à une adresse électronique. Selon Noyb, Free Mobile a intégré sur son site le code HTML des services Facebook (y compris Facebook Connect, service utilisé par des sites web tiers, déclenchant le flux de données personnelles de l’utilisateur entre le site web et Facebook.)

Au cours de sa visite, Noyb s’est aperçu que Free Mobile a traité ses données personnelles, au moins l’adresse IP et des cookies. “Il apparaît qu’au moins certaines de ces données ont été transférées à Facebook Inc aux USA”, soutient elle. Néanmoins, l’organisation à but non lucratif indique dans sa plainte adressée à la CNIL, ne pas avoir les moyens techniques d’établir si ce transfert de données a eu lieu directement entre Free Mobile et Facebook Inc. ou via Facebook Ireland en tant qu'”intermédiaire”.

A noter que les plaintes sont également déposées contre Google et Facebook aux Etats-Unis, pour avoir continué à accepter ces transferts de données, alors qu’ils sont en violation de la GDPR et implantés en Europe.

D’autres actions en justice sont prévues. Noyb prévoit d’augmenter progressivement “la pression sur les entreprises européennes et américaines pour qu’elles revoient leurs modalités de transfert de données et s’adaptent à la décision claire de la Cour suprême de l’UE”, conclut-elle. 

 

Source : Next Inpact, Noyb

 

 

 

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Après avoir validé son maintien sur les Freebox, une chaîne devient payante

Double déception pour les abonnés Freebox, fans de l’Olympique Lyonnais. Fin de l’épopée en Ligue des Champions et OL TV désormais accessible pour 2,99€/mois.

Diffusée historiquement en exclusivité par Canal et incluse dans l’offre Freebox Révolution avec TV by Canal et Freebox Delta sur le canal 172, la chaîne OL TV a été retirée des offres de la filiale de Vivendi, le 29 juillet dernier. Bien décidée à continuer l’aventure après 15 ans d’existence et fort d’un record d’audience début 2020, la chaîne sportive a notamment signé le mois dernier un accord de distribution en direct avec Free. Mais mauvaise nouvelle pour les téléspectateurs, le FAI rend désormais payante OL TV. Pour suivre toute l’actu de l’Olympique Lyonnais, il faudra désormais débourser 2,99€/mois. Une déception de plus pour les supporters du club après son élimination hier en demi-finale de la Ligue des Champions par le Bayern de Munich. Il n’est par contre plus nécessaire de souscrire à TV by Canal pour y accéder, tous les clients Freebox peuvent à présent s’abonner à la chaîne.

Cette saison, OL TV ambitionne de mettre les bouchées doubles via ses quotidiennes et la couverture d’un maximum de rencontres avec une volonté d’ouverture dans sa programmation sur son club américain de soccer féminin OL Reign mais aussi sur l’e-sport et le basket où des discussions sont entamées avec l’ASVEL pour couvrir son actualité.

 

 

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Free Ligue 1 Uber Eats dévoile toute sa compo d’équipe, journalistes connus, comédiens et vidéastes pour séduire

A la veille du coup d’envoi de la très attendue nouvelle saison Ligue 1, Free dévoile sa team d’experts. Place à l’éclectisme. David Astorga (ancien de Téléfoot) et Sara Menaï d’RMC Sport sont de la partie.

Lancé hier sur les Freebox mais aussi disponible pour tous sur iOS et “dans les prochaines heures sur Android”, le nouveau service de foot Free Ligue 1 Uber Eats dévoile sa team d’experts après avoir détaillé l’intégralité des contenus disponibles au lancement de la nouvelle saison du championnat ce week-end.

On le savait déjà, le journaliste sportif Thomas Thouroude incarnera en premier lieu l’offre de Free et sera à la tête de deux émissions, notamment de U-Foot, un format bi-hebdomadaire qui encadrera les week-ends de match chaque lundi et vendredi. Au programme, la Ligue 1 bien évidemment mais pas seulement : réseaux sociaux, inside, freestyle, gaming… toujours en lien avec le foot.

Il sera entouré d’Emilie Ros, créatrice #MeufDeFoot en 2014, passionnée de ballon rond et titulaire de Uniteamsport agence marketing et communication par le sport et l’eSport, mais aussi Vinsky, 1er YouTuber foot de France et Wiloo, devenu populaire sur la plateforme de Google grâce à ses vidéos d’analyse pointue sur le football. Côté journalistique, interviendront un ancien de So Foot et consultant français de la RTBF,  Swann Borsellino et le marseillais Romain Canuti (Lephoceen.fr). “Cette équipe échangera quelques minutes par émission dans un module dédié à la question de la semaine”, explique Frédéric Goyon, responsable éditorial foot du nouveau service de Free.

L’ex-journaliste de Telefoot sur TF1, David Astorga et Sara Menaï d’RMC Sport

Ce n’est pas tout, les comédiens Alpha Diallo et Brahim Bouyan animeront quant à eux une chronique gaming, sans gaming à l’écran. “Dit comme ça, ça peut faire fuir les gameurs, mais je vous garantis qu’elle vaut le détour et aura une résonance pour tous celles et ceux qui partagent des games entre potes”, assure Frédéric Goyon. Côté fun, double championne de France de Freestyle, Yoannafreestyle ira défier les joueurs de la Ligue 1 en faisant briller toute sa technique, toujours dans U-Foot.

Des podcasts seront également accessibles dans ce nouveau service et promettent sur le papier de belles choses avec Sara Menaï, la journaliste de Premier League pour RMC Sport et voix de l’émission “Le Vestiaire”. Elle  fera profiter tous les fans de de ligue 1 de sa voix unique, chaque jour, du lundi au vendredi, dans le podcast Flash Foot de Free Ligue 1 Uber Eats. Au programme, 15 minutes d’actu, qui feront le tour de la totalité des clubs du championnat.

Autre podcast, Football Society, sera animé notament par le journaliste de SoPress Brice Bossavie. Ce format plus long (environ 30 minutes) fera le lien entre le ballon rond et la société. Le 1er épisode parlera notamment de parcours éducatif conjugué à une vie de footballeur(se).

Cerise sur le gâteau, David Astorga, ancien journaliste de Téléfoot entre autres, partira à la rencontre des Rookies de la saison 2020/2021. “Nous avons choisi de suivre une dizaine de jeunes qui ont toutes leurs chances de faire leurs débuts en cette saison”, précise le responsable éditorial de la nouvelle offre de Free.

Enfin, pour les amateurs de stats, l’animateur humouriste touche à tout et journaliste JB Goupil décortiquera chaque semaine chiffres et stats inédits, non sans humour, dans le “Bureau des Stats”.

Pour faire vivre le contenu de son service, Free a donc fait le choix de s’appuyer sur des journalistes, vidéastes, comédien(ne)s, qui partageront une vision commune du foot, “positive, fédératrice, inclusive, moderne et diverse”, promet l’opérateur. Réponse à partir de ce week-end. Au total, plus de 2000 contenus seront accessibles sur la totalité de la saison.

 

 

 

 

 

 

 

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Clin d’oeil : que se cache-t-il dans la nouvelle pub Freebox Pop ?

Fidèle à lui-même, Free enchaîne les clins d’oeil dans la publicité TV de la nouvelle Freebox Pop. 1337, Iliad, la mamie du Cantal et Rodolphe !

Lancée le 7 juillet dernier, la Freebox Pop semble séduire, le démarrage est canon selon Xavier Niel avec plus de 50 000 abonnés séduits. Pour promouvoir son nouveau bébé, l’opérateur a notamment lancé une publicité déjantée, vitaminée et truffée de petits clins d’oeil, placée sous le signe de la pop attitude. 

On y retrouve notamment à la 34e seconde dans le “Jeu des mots”, un participant  trouve le mot “pop”, les lettres restantes forment alors “Iliad”, maison-mère de Free. Sur le même écran est inscrite l’heure 13h37, on pense directement à la Freebox révolution et à ces chiffres choisi par Free qui lui collent désormais à la peau. Cela veut dire Leet speak en langage Leet Speak (« langage d’élite » en français).

Le compte Twitter parodique “Mamie du Cantal” et possible outil de communication de Free n’est pas en reste. La plus geek des mamie a notamment lancé le buzz autour de la Freebox Pop mais aussi avant la sortie de la Delta. Dans la pub Freebox Pop, figure un paquet de “popotatoes” avec un message particulier en haut de celui-ci : ” Popom de terre de Mamie du Cantal”. Bien vu.

Avec ce nouveau spot, Free revient à ses origines avec des jeux de mots à gogo et du fun. Difficile toutefois d’arriver à la cheville de Rodolphe, le célèbre anti-héros des publicités Free pendant plusieurs années. L’opérateur ne l’a pas oublié et se fend d’un “ich bin Rodolphe” dans la fenêtre de chat.  Et vous, avez-vous dégoté d’autres références ?

 

 

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Free lance une nouvelle mise à jour de ses Freebox Pop, Delta, One, mini 4K et Révolution

Une meilleure stabilité en VDSL de la Freebox Pop et un problème de WiFi corrigé sur toutes les box.

Après avoir lancé une grosse mise à jour il y a dix jours pour les Freebox Server de Delta, Révolution, Pop, One et Mini 4K, suivi d’un correctif dans la foulée,  Free déploie aujourd’hui un nouveau firmware.

Estampillé 4.2.2, cette nouvelle version corrige notamment un problème de WiFi chez des abonnés : “Certains périphériques Wifi pouvaient être affichés comme utilisant le WPA3 alors que ce n’était pas le cas”, informent les développeurs.

Par ailleurs, Enfin, Free a amélioré la stabilité en mode VDSL et ADSL (plus rare) sur les Freebox, mettant fin à quelques soucis rencontrés.

Enfin, la vitesse affichée pour port SFP+ de la Freebox Delta était toujours de 1Gbit/s même quand le port était à 10Gbit/s, c’est désormais de l’histoire ancienne.

Pour bénéficier de cette mise à jour, il suffit de redémarrer le Server de la Freebox.

 

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Free prêt à se démarquer sur la Ligue 1 avec des personnalités connues, journalistes, présentateurs et un “gros vent de jeunesse”

Deuxième volet de notre interview du chef de projet de la nouvelle offre Free Ligue 1 Uber Eats. Après la présentation hier de l’interface et du fonctionnement de l’app, place aujourd’hui à l’éditorialisation et au terrain. Free voit les choses en grand, des personnalités connues, journalistes, chroniqueurs et présentateurs incarneront son service.

Free file droit vers la Ligue 1. Dès le 22 août prochain, l’opérateur lancera son nouveau service baptisé Free Ligue 1 Uber Eats et espère tirer son épingle du jeu tout en faisant plaisir à ses abonnés avant de viser sans l’ombre d’un doute tous les fans de ballon rond. Se revendiquant simple partenaire de Mediapro et Canal+, l’opérateur ne s’empêchera pas toutefois de les dribbler si le succès est au rendez-vous.

En attendant le coup d’envoi de la nouvelle saison de Ligue 1, Free se prépare sérieusement dans son centre d’entrainement, à l’abri des regards. Aujourd’hui sa conviction est fondée : “Notre approche c’est que le foot d’aujourd’hui tel qu’on le retrouve sur les chaînes concurrentes, n’est pas celui que l’on retrouve sur le terrain, dans les tribunes ou dans la rue et on a voulu emmener un gros vent de jeunesse et de diversité parce que on a l’impression de tomber toujours sur les mêmes stéréotypes”, explique Arthur, chef de projet de Free Ligue 1 Uber Eats.

Une équipe de choc, des personnalités connues et un Monsieur Loyal

Le ton est donné et l’ambition paraît démesurée. Imprévisible, Free semble malgré tout avoir les moyens de ses ambitions. Son incursion dans le foot français, l’opérateur l’a préparé avec l’envie insatiable d’innover et de disrupter qu’on lui connaît. Pour séduire et ne pas rentrer tête baisser au vestiaire, l’opérateur s’est visiblement bien entouré, un casting à la fois XXL et équilibré. “Vous allez retrouver des personnalités connues, des gens qui sont dans le métier depuis quelques années et qui vont avoir des rôles divers et variés, des chroniqueurs et présentateurs mis à égalité autour d’un monsieur loyal “, poursuit t-il. Free s’est donc doté d’un homme fort, mais aussi de plusieurs visages pour incarner son service, qui mélangera information et divertissement, du “footainement”, il aime le dire.

 

 

Une offre éditoriale fun et éclectique… des JTs, des podcasts, des émissions, des interviews et web-séries

Le nouvel entrant tient ainsi à consommer au maximum son lot numérique raflé en 2018, et prépare actuellement « des émissions pilotes, on a développé des concepts internes en s’appuyant sur l’expérience de différentes boîtes de production dans l’audiovisuel, la publicité et le web ». Les futurs utilisateurs du service, vont ainsi non seulement accéder aux extraits des matchs en quasi-direct ( buts, actions arrêts) mais aussi retrouver des interviews, des web-séries, débriefs, des podcasts et même des JT, soit au total plus de 2000 contenus par saison en comptant les résumés des matchs.

Un accès privilégié aux clubs, une équipe Free Ligue 1 dans les stades 

Autre nouveauté, Free et son équipe seront de la partie aux côtés de Mediapro et Canal+ dans les stades, et plus particulièrement dans la zone flash pour interviewer les joueurs à l’entrée et à la sortie des rencontres. Par ailleurs, l’opérateur dispose d’un « accès privilégié aux clubs », nous annonce t-il. Le chef de projet du service Free Ligue 1 Uber Eats confie à ce propos que son équipe « est très attendue comme nouvel acteur et dores et déjà bien accueillie par les attachés presse et joueurs des clubs ». 

“On va parler technique, actions de jeu, débriefer et se faire plaisir avec des émissions ludiques”

Au-delà de cette volonté d’intégration dans le milieu du ballon rond, Free ambitionne de créer au fil du temps “un lien assez particulier avec des formats courts, snackable”. L’objectif n’est donc pas de créer des contenus longs et des débats sans fin mais des formats à consommer entre deux résumés de match par exemple, comme un plat à déguster sur le pouce, la qualité et l’expertise en prime, “oui, on va parler technique, oui on va parler actions de jeu, oui on va débriefer et poser les enjeux du week-end  mais on va aussi se faire plaisir avec des émissions ludiques  et divertissantes”, explique Arthur.

S’agissant des résumés de matchs qui seront proposés après le coup de sifflet final mais aussi les meilleurs moments, Free va coucher une voix off et des commentaires, “un spécialiste va venir nous assister sur l’intégralité des matchs”.

Eviter un enchainement d’images à la YouTube

Enfin côté captation, l’opérateur utilisera les images fournies directement par la Ligue professionnelle de football au travers de ses partenaires comme Mediapro. Une question se pose toutefois ? Comment Free va choisir les meilleurs moments ? Le FAI a recruté des journalistes pour sélectionner en temps réel les meilleurs phases de jeu et les commenter. « Car le foot c’est une émotion avant tout et on voulait que cela se sente en évitant un enchainement d’images un peu à la YouTube, un peu vulgaire qui se superposent les unes aux autres ».

Free a donc bel et bien chaussé ses crampons au nom du foot, de la modernité et de la diversité des formats. Espérons que pour son entrée sur les pelouses de Ligue 1, il puisse rapidement marquer un but en pleine lucarne et satisfaire les fans de ballons rond.

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