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4G : Free Mobile débarque après ses rivaux mais c’est l’antenne de trop pour des riverains

Dans la commune de Rodez, préfecture de l’Aveyron, Free Mobile prévoit d’implanter une antenne-relais en plein centre-ville dans un immeuble en comptant déjà trois, d’Orange, SFR et Bouygues. Pour plusieurs riverains, c’est la consternation.

La pilule est dure à avaler pour des habitants de la rue "Neuve" à Rodez. «La crainte, c’est qu’il a déjà trois antennes. En 2015, on a supprimé une antenne Orange sur le toit de la CCI, parce qu’il y avait une école à proximité.Elle a été déplacée de quelques dizaines de mètres, dans un immeuble, où il y avait déjà une antenne SFR. Maintenant, il y en a trois, et on veut en rajouter une quatrième. C’est un non-sens total. Une seule antenne serait dangereuse et quatre au même endroit ne le seraient pas…» se plaint aujourd’hui un commerçant installé non loin. Et ce n’est pas le seul. Plusieurs riverains, mécontents, montent au créneau. Sans surprise,  leurs inquiétudes tournent autour du manque d’information mais de l’impact des ondes électromagnétiques sur la santé. Le sujet est sensible dans la ville depuis plusieurs années rapporte La Dépêche, prenant l’exemple d’un autre commerçant, lequel livre bataille aux nombreuses antennes-relais installées dans la commune depuis 2016, cet opposant a d’ailleurs adressé plusieurs courriers à la mairie.


 

Dans cette rue, un panneau d’information en dit plus sur le projet d’implantation de l’antenne Free Mobile. Une demande de déclaration préalable a été déposée le 13 avril dernier mais "a fait l’objet d’un délai d’instruction supplémentaire de deux mois", en raison d’une consultation de l’architecte des bâtiments de France puisque l’installation prendra place dans "un site patrimonial remarquable". Le projet a également nécessité une "autorisation d’exploitation commerciale de la Commission départementale d’agencement commercial".

 

 

 

 

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Free prodigue à ses abonnés les bonnes pratiques à adopter pour se protéger des phishings et virus

Phishings, malwares, ransomwares et autres virus, sont aujourd’hui monnaie courante. Il est donc nécessaire de se protéger un maximum pour éviter toute mésaventure 2.0. Partant de ce postulat, Free donne aujourd’hui quelques conseils utiles.

Protéger ses données et ne pas divulguer ses coordonnées bancaires sans réelle vérification. La meilleure des protections selon l’opérateur reste les utilisateurs eux-mêmes : "Prudence et bon sens devraient vous tenir à l’écart des ennuis. Un site vous annonce que vous avez gagné une voiture, un IPhone 8 et 100.000€ ? C’est très certainement une arnaque. Un contact inconnu vous envoie un e-mail douteux avec une pièce jointe suspecte ? Ne l’ouvrez pas. Un message de votre banque vous demande de cliquer sur un lien pour rembourser une somme sortie de nulle part ? Ne cliquez pas. Mieux vaut vous connecter à votre espace client directement sur le site de votre banque pour vérifier que tout va bien", conseille Free.

Pour autant, cela ne suffit pas pour se protéger des malwares et ransomwares qui pullulent actuellement en ligne. Free préconise tout d’abord d’utiliser des mots de passe sécurisés autres que "motdepasse", "123456" ou "bonjour". "Sur mobile, il est également possible d’opter pour d’autres types de protections, comme la sécurisation par capteur d’empreintes digitales si votre terminal le permet. Le traditionnel code PIN a lui aussi fait ses preuves. D’ailleurs, ce dernier ne se limite pas à 4 chiffres comme le pensent la plupart des utilisateurs. Vous pouvez en choisir jusqu’à 8", rappelle par ailleurs l’opérateur.

Autre astuce,  supprimer aussi les applications non utilisées et non mises à jour depuis longtemps. Véritables failles potentielles, celles-ci peuvent servir de "passerelle à quiconque voudrait récolter des informations sur vos contacts et s’en servir pour une attaque de type phishing".

S’agissant des paiements en ligne, Free conseille d’éviter les connexions WiFi et qui plus est publiques, lesquelles peuvent offrir "des brèches de sécurité aux personnes mal intentionnées". A la place, privilégiez les données mobiles (3G/4G) ou une connexion filaire depuis un ordinateur. Autre réflexe à avoir, mettre à jour son système d’exploitation ( Android, iOS etc) afin de disposer des dernières mesures de sécurité disponibles. Enfin, le bon vieux antivirus sera votre ami et votre dernier rempart !

 
Source : Portail Free
 
 
 

 

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Free a-t-il repris du poil de la bête au deuxième trimestre ? Réponse le 3 septembre prochain

 
 
La date est désormais connue, la publication des résultats du premier semestre 2019 d’Iliad et donc du deuxième trimestre, aura lieu le 3 septembre prochain, avant bourse, c’est-à-dire avant 9 heures, vient d’indiquer le groupe de Xavier Niel.

Une perte d’abonnés non enrayée sur le mobile et sur le fixe malgré un record sur la fibre, mais une rentabilité soignée, tel fut le bilan de Free lors du premier trimestre 2019. Alors à quoi faut-il s’attendre le 3 septembre prochain, jour de la publication des résultats commerciaux et financiers de l’opérateur de Xavier Niel, pour le deuxième trimestre ? En matière de recrutement, il s’agira de savoir si Free a réussi à réduire encore un peu plus les pertes d’abonnés successives constatées depuis plusieurs trimestres sur le fixe et le mobile. Les recrutements devraient toutefois être de nouveau négatifs sur les deux segments. Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad, l’a concédé le 7 mai dernier lors du Capital Markets Day de l’opérateur, Free relancera la machine seulement dès septembre prochain : "on l’a dit ce ne sera pas sur le premier semestre mais sur le second, on va se remettre à gagner des parts de marché en tout cas c’est notre volonté".

Par contre, un nouveau record est attendu sur la fibre. Après une surperformance lors des trois premiers mois de l’année avec 150 000 recrutements nets, pas loin d’Orange, Free peut faire de l’ombre à l’indétrônable agrume et le devancer sur une période. Fin juin, Free a bouclé ses comptes pour le 2ème trimestre et s’est montre très optimiste en ce sens : On va faire "un trimestre record en termes de recrutement d’abonnés à la fibre" a alors assuré Thomas Reynaud. La publication des résultats semestriels d’Iliad sera également l’occasion de constater si le groupe a continué de soigner sa rentabilité après une hausse de son chiffre d’affaires de 7,7% au premier trimestre.

 

 

 

 

 

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Nouvelles offres promos Canal sur la Freebox, avec des packs à partir de 1€/mois

De nouvelles offres Canal viennent d’être lancées sur la Freebox. Valable jusqu’au 14 octobre, elles proposent plusieurs packs à prix promotionnels, pour tout abonnement à l’offre de base à 19,99€/mois, c’est à dire la chaîne Canal+ et Canal+ décalé.

Offre 1 : Toutes les chaînes Canal+ pour 1€/mois durant 2 ans au lieu de 15€/mois

Offre 2 : Les chaînes Ciné Série, y compris le service de SVOD "Canal+ Séries", pour 10€/mois durant 2 ans, au lieu de 20€/mois

Offre 3 : Les chaînes Sport pour 20€/mois durant 2 ans au lieu de 30€/mois

Ces 3 offres sont cumulables et disponibles pour tout nouvel abonnement (toute personne non abonnée aux offres CANAL au cours des 6 derniers mois) pour 24 mois + le mois en cours (facturé au prorata temporis) à Canal+. A noter que les frais d’accès sont offerts

Si vous souhaitez bénéficier de cette offre, il suffit de vous rendre sur le canal 4 de Freebox TV, dans l’univers Canal de la Freebox (offre qui sera disponible dans les heures qui viennent) ou sur le site des offres Canal où elle est déjà disponible.

 

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Mais à quoi sert d’acheter un Player Devialet lorsque l’on n’est plus chez Free ? Voici toutes les fonctions qu’il conserve

 

Avec la Freebox Delta, le player devient la propriété de l’abonné, pour un tarif de 480€ ou 10€/mois durant 4 ans. Suite à notre reprise de l’étude sur la Freebox Delta que nous avons publiée ce lundi, et suite à un article montrant que plusieurs Player Freebox-Devialet sur Le Bon Coin, vous avez été plusieurs à demander à quoi cette enceinte haut de gamme pouvait servir le jour où on change d’opérateur (ou même que l’on stoppe son abonnement fixe). Nous vous proposons donc de (re)-découvrir le test réalisé par Univers Freebox qui montre les fonctionnalités qui restent disponibles, même sans être abonné à Free

Free l’a indiqué au moment de la présentation de sa Freebox Delta. Le player conçu en partenariat avec Devialet appartient à l’abonné, qui pourra ainsi le conserver si l’on vient un jour à résilier son abonnement Freebox. Juste qu’il profitera de moins de services. 

Pour savoir à quoi s’attendre, nous avons ainsi essayé la chose, en connectant le player sur un réseau Wi-Fi, et plus précisément une connexion 4G partagée en Wi-Fi depuis un smartphone.

Premier chose que l’on remarque : le gros ménage dans l’interface principale. Exit notamment les services TV ou le Freestore. Elle ne conserve qu’une poignée d’applications, en plus de la partie réglages. 

La télécommande tactile affiche également moins d’icônes.

On retrouve ainsi YouTube et Netflix pour le streaming vidéo ou Deezer et Spotify pour le streaming audio. Les applications sur le player fonctionnement correctement, aussi bien la partie lecture que la fonction caster depuis le smartphone.

On retrouve également l’application « Mes Fichiers » pour lire des fichiers image, audio et vidéo depuis un support de stockage externe tel qu’une clé USB ou un disque dur. 

Ci-dessous, une image, une musique et une vidéo lues depuis l’interface du player :

Il y a aussi l’application AirMedia (AirPlay) pour charger les fichiers image, audio et vidéo depuis un iPhone, iPad, iPod ou Mac.

Nous avons essayé de partager l’écran d’un iPhone sur le téléviseur, via le player. Ci-dessous, une visualisation de l’application Photos et un dossier de l’écran d’accueil :

Parmi les autres fonctionnalités conservées, on peut citer les assistants vocaux OK Freebox et Amazon Alexa. Si le premier plante systématiquement (d’après nos essais, en tout cas), le second fonctionne normalement. Il peut, par exemple, vous lire les actualités ou vous indiquer la météo. D’ailleurs, les Skills sont toujours de la partie.

Enfin, le player Free Devialet, c’est une enceinte sans-fil que l’on pourra appairer en Bluetooth pour diffuser de la musique depuis un smartphone ou une tablette tactile. Un aspect intéressant quand on sait ce que peuvent envoyer les six haut-parleurs. On vous l’a déjà dit : le player est loin de faire figuration avec des musiques chargées en basses.

VERDICT : si l’on résume ce test, le player, une fois sorti de l’écosystème Free, peut servir de lecteur multimédia grâce à ses applications de streaming et son port USB, mais également de grosse enceinte Bluetooth pour animer une soirée depuis son smartphone. Il peut enfin servir d’assistant vocal grâce à Alexa. Dommage que l’absence d’un store d’applications limite grandement les possibilités. En parlant d’application, la disparition de l’application Freebox TV rend inexploitable le tuner TNT intégré.

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Le saviez-vous ? Vous pouvez transformer votre Freebox Mini 4K en Nintendo 64

Vous ne le saviez peut être pas, mais il est possible de transformer sa Freebox Moni 4K en Nintendo 64 grâce à "Mupen64Plus FZ ", un émulateur gratuit  développé par Francisco Zurita.

Celui-ci inclut une multitude de plugins nécessaires à l’émulation de jeux de N64 sur votre Freebox. L’émulateur ne contient aucun jeu préinstallé, cependant, il permet de jouer à n’importe quel jeu de Nintendo 64 installé sur votre box ou sur sa carte MicroSD.

« Mupen64Plus FZ » est disponible gratuitement en téléchargement dans le Google Play Store de la Freebox Mini 4K.



« Mupen64Plus FZ » dans le Google Play Store de la Freebox Mini 4K

Il vous suffit de l’installer depuis le Google Play Store pour qu’il soit fonctionnel. Ensuite, soit l’utilisateur recherche son jeu de N64 via l’émulateur dans la rubrique « Bibliothèque », soit il peut utiliser un explorateur de fichier afin rechercher son jeu. Même depuis un explorateur de fichiers, le jeu se lancera directement après sa sélection.

Menu principal de l’émulateur

Plusieurs options sont proposées par l’émulateur. Du côté de l’affichage, la résolution du rendu, la mise à l’échelle de l’écran, l’orientation de l’écran ou encore l’affichage du nombre d’ips (images par seconde) peuvent être modifiés.

Options d’affichage

De multiples profils d’émulation sont disponibles. Certains s’orientent vers une qualité d’image améliorée et d’autres vers une meilleure vitesse de rendu.

Profils d’émulation

L’émulateur propose aussi différents profils de manette en fonction du type de cette dernière (manette Android, manette Xbox…).

Profils de manette

Afin de tester « Mupen64Plus FZ », nous avons opté pour le jeu GoldenEye 007, un jeu de tir à la première personne qui a beaucoup fait parler de lui, dans lequel la joueur incarnera James Bond le célèbre espion britannique.

Découvrez le jeu en image ci-dessous :

Première Capture d’écran en jeu

Deuxième capture d’écran en jeu

Troisième capture d’écran en jeu

« Mupen64Plus FZ » est un émulateur gratuit de Nintendo 64 disponible sur Freebox Mini 4K. Son interface est simple et réactive, et il permet de jouer à n’importe quel jeu de N64 depuis votre Freebox . De plus, il possède une panoplie de préférences à paramétrer pour une meilleure expérience utilisateur. Alors si vous êtes nostalgique de la N64 avec ses fameux Super Mario 64, Mario Kart 64 ou encore Super Smash Bros, ou si vous souhaitez découvrir l’univers Nintendo, cet émulateur est fait pour vous.

Vous pouvez retrouver plein de trucs et astuces concernant la Freebox sur le site thématique "Le Saviez-vous ?"

 

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Univers Freebox a testé le Samsung Galaxy S10, un smartphone haut de gamme disponible chez Free Mobile

Après avoir testé son grand-frère le Galaxy S10+, Univers Freebox s’est penché pendant plusieurs jours sur le Galaxy S10 dont les configurations 8/128 et 8/512 Go s’affichent à respectivement 909 et 1 159 euros dans la boutique de Free Mobile. Voici nos impressions à son sujet, très positives dans l’ensemble.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un exemplaire 8/128 Go (mémoire vive et mémoire de stockage) prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques techniques du Galaxy S10 :

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,7 GHz avec le chipset Exynos 9820
–    Mémoire vive : 8 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,1 pouces dans une définition WQHD+ (3 040 x 1 440 pixels)
–    Audio : son stéréo
–    Stockage : 128 ou 512 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/ B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66
–    Triple capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 12 Mégapixels (zoom) + 16 Mégapixels (ultra grand-angle)
–    Capteur photo frontal : 10 Mégapixels dans un trou de l’écran
–    Sortie audio 3,5 millimètres : oui, dans la tranche inférieure
–    Connectique de charge : USB Type-C, dans la tranche inférieure
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    NFC : oui
–    Batterie : 3 400 mAh (non amovible) avec une charge filaire 15 Watts, une charge sans-fil 15 Watts et une charge sans-fil inversée 9 Watts
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface One UI
–    Protection : lecteur d’empreintes digitales sous l’écran ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal
–    Certification IP68 pour la résistance à l’eau

Un smartphone élégant

Le design du Galaxy S10+ est réussi. Il en va de même pour le Galaxy S10. La finition Vert Prisme de notre modèle n’a d’ailleurs pas manqué d’attirer à plusieurs reprises les regards.

Concernant la prise en main, déjà très agréable avec le Galaxy S10+, elle l’est encore plus avec le Galaxy S10 au gabarit moins imposant.

Un très bel écran et du bon son

Comme sur le Galaxy S10+, l’écran AMOLED est tout simplement magnifique en jeu ou en vidéo. Il se révèle également lisible même avec le soleil dans le dos. On peut toutefois préféré celui du Galaxy S10 sur un aspect, à savoir le poinçon moins important puisqu’il n’a accueille cette fois-ci qu’un capteur photo. Depuis les paramètres, vous pouvez, pour rappel, régler la chaleur et la définition.

 

Côté son, c’est une nouvelle fois une réussite. Produit par le haut-parleur d’appel et celui d’écoute pour un rendu stéréo, le son est puissant, clair et gâté de quelques petites basses. Ceux qui veulent utiliser des écouteurs seront servis, avec non seulement la présence du mini-jack, mais aussi celle d’écouteurs AKG de bonne qualité. En plus d’offrir de très bonnes basses, ils isolent relativement bien du bruit environnant.

La photo, c’est son dada

Le Galaxy S10 conserve le triple capteur du Galaxy S10+. On retrouve ainsi la même qualité  au niveau des clichés. Cela vaut de jour, mais aussi de nuit, avec un mode dédié qui peut corriger quelques défauts comme des halos de lumière ou redonner un peu de luminosité dans des zones sombres.

Il ne profite pas en revanche du second capteur à l’avant. Cela ne l’empêche pas de produire de très bons selfies avec ou sans flou d’arrière-plan.

Ci-dessous, une photo en mode classique, puis avec du grand-angle :

Une photo en mode classique, puis avec du zoom (sans changer de place) :

D’autres photos de jour :

Une photo prise en intérieur, le soir :

Un selfie en extérieur, puis un autre en intérieur avec du flou d’arrière-plan :

Une photo de nuit en milieu urbain, avec le mode classique, puis avec le mode nuit (qui corrige les halos de lumière et redonne du vert aux feuilles ) :

La 4G une nouvelle fois au top

Nous avons mené nos tests dans nos endroits habituels. À plusieurs reprises, nous avions les 100 Mbit/s et plus en réception, en extérieur. Une fois, le compteur a même affiché plus de 200 Mbit/s.

 

En intérieur, nous oscillions entre 30 et 100 Mbit/s en réception.

 

Sécurité des données : lecteur d’empreinte ou reconnaissance faciale

Comme le Galaxy S10+, le Galaxy S10 laisse le choix entre le lecteur d’empreintes digitales sous l’écran ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal. Les deux solutions se révèlent plutôt efficaces au quotidien. La seconde est d’ailleurs plutôt pratique, puisqu’on peut la déclencher en prenant le smartphone en main.

Notez enfin que le Galaxy S10 supporte la 4G 700 MHz sur laquelle a beaucoup misé Free.

Les performances sont une nouvelle fois au rendez-vous, tout comme la chauffe

Le chipset Exynos 9820 fournit de belles performances et permet au Galaxy S10 de faire tourner tout le Play Store (sauf incompatibilité). Vous pourrez ainsi profiter des gros jeux dessus, à l’image de PUBG Mobile qui fonctionne avec les graphismes à fond.

AnTuTu confirme cette débauche de performances, avec un Galaxy S10 en haut du classement des smartphones du moment. Toujours en parlant de benchmark, Disk Speed indique une mémoire de stockage très rapide, avec des pointes à 207 Mo/s en écriture et 754 Mo/s en lecture.

 

Et si l’on retrouve la sensation de grosses performances du Galaxy S10+, on retrouve aussi cette chauffe qui se manifeste sur la tranche gauche, avant de se ressentir sur le dos du smartphone. Cela peut devenir désagréable lors de sessions de jeu.

Une autonomie correcte, une charge rapide et une charge inversée pratique

Parlons maintenant de l’autonomie. Partis de 100 % à 13h40, nous étions à 55 % le soir même à 22h06 et 24 % le lendemain à 11h27. Entre temps, nous avons joué à du gros jeu, utilisé Twitter, surfé sur Internet, téléchargé des mises à jour, effectué des benchmarks et partagé de la batterie avec un autre smartphone. Une autre fois, nous avons démarré à 100 % à 17h00 pour finir à 45 % à 23h50. Là encore, du jeu gourmand et du Twitter, mais également de la vidéo YouTube, de l’écoute musicale et quelques photos. Vous devriez donc pouvoir tenir la journée en usage normal.

Avec le chargeur 15 Watts fourni, la recharge ne sera pas interminable et on peut envisager une petite charge d’appoint avant de prendre la route. Voici deux exemples de suivi de charge :

– 9h28 : 11 %
– 9h41 : 31 %
– 10h00 : 58 %
– 10h22 : 84 %
– 10h36 : 92 %
– 10h55 : 100 %

 

– 12h50 : 23 %
– 12h57 : 34 %
– 13h00 : 39 %
– 13h15 : 59 %
– 13h42 : 89 %
– 13h52 : 94 %
– 14h07 : 100 %

Notez que le Galaxy S10 propose de la charge sans-fil et de la charge sans-fil inversée. Il a ainsi pu être rechargé sur le player de la Freebox Delta, mais aussi recharger le Galaxy S10+ que nous testions en parallèle.

Une interface One UI très complète

Comme nous vous le disions précédemment lors de notre test du Galaxy S10+, l’interface One UI proposée par Samsung est plutôt jolie, en plus d’être claire et complète.

 

Il y a plusieurs options intéressantes, comme le mode nuit, le volet latéral pour un accès rapide aux applications favorites, les gestes pratiques (balayer l’écran avec le côté de la main pour faire une capture, retourner l’appareil pour couper le son d’un appel entrant, etc.) ou le mode d’emploi intégré. Quant au mode enfants, accessible depuis les raccourcis rapides, il permet de prêter son smartphone avec un espace sécurisé, des fonctions limitées et des contenus adaptés.

 

Enfin, durant nos tests, nous avions les patchs de sécurité de juin 2019, suite à l’installation d’une mise à jour.

VERDICT :  le Galaxy S10 présente toutes les qualités du Galaxy S10+ dans un format plus compact. On retrouve ainsi le beau design, l’écran riche en couleurs et lumineux, le son puissant et clair, les bonnes performances en jeu, les excellentes photos de jour comme de nuit, l’autonomie correcte, la charge rapide (même s’il y a mieux chez les concurrents) et la partie logicielle claire et riche. Choses aussi appréciables : la présence du mini-jack et d’écouteurs de qualité. En moins positif, il a présenté la même chauffe parfois désagréable que avions déjà notée lors de notre test du Galaxy S10+. Oui, c’est un excellent smartphone. La copie reste toutefois perfectible.

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Free Mobile augmente temporairement la data de son forfait intermédiaire à 8,99€

C’est devenu une habitude mensuelle, l’opérateur de Xavier Niel augmente aujourd’hui de 10 Go le volume de data incluse dans son offre intermédiaire à 8,99€/ mois. Retour donc le temps d’une semaine à 60 Go !

Free Mobile prolonge ainsi son offre "Série Free" lancée il y a un an, jusqu’au 31 juillet prochain. Intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, celle-ci comprend, appels, SMS et MMS illimités, mais surtout désormais 60 Go en France métropolitaine contre 50 Go habituellement et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. Pour rappel, dans le cadre de la nouvelle stratégie commerciale engagée par Free courant 2018, un focus particulier sur l’amélioration du mix d’abonnés en faveur du Forfait Free 4G illimité a été mis en place. Pour ce faire, l’opérateur a lancé en juillet dernier cette offre intermédiaire à 8,99 euros/mois pour la première année, avec une migration automatique sur le Forfait Free 4G illimitée au bout de 12 mois. Fin 2018, cette formule "a entraîné une amélioration du chiffre d’affaires facturé aux abonnés", a indiqué l’opérateur. Depuis fin 2018, Free augmente environ une fois par mois la data de son forfait, à 60 Go, le temps d’une semaine avant de revenir à son offre de base.


 
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Clin d’oeil : déploiement 4G, quand tout roule parfaitement pour Free Mobile

Crédit photo : La Voix du Nord



Clin d’oeil –  une implantation d’antenne à la vitesse de la 4G quand personne ne ralentit son arrivée ! 

Mobilisations, blocages, banderoles, pétitions, recours en justice, tous les moyens sont bons chez les riverains réfractaires à l’implantation d’antennes-relais pour arriver à leur fin. Conséquence à cela,  les délais de construction se rallongent drastiquement du côté des opérateurs, pire encore lorsque les municipalités soutiennent leurs administrés. Si les médias régionaux remontent souvent des cas de ce type, plus rares sont les articles où tout se déroule comme prévu, dès lors pourquoi en parler ? Peut-être pour informer, non ? La Voix du Nord a fait ce choix et nous apprend qu’à Rang-du-Fliers, commune de plus de 4000 âmes située dans le Pas-de-Calais, les abonnés Free Mobile vont jouir bientôt d’une meilleure couverture et donc de débits boostés. Un pylône de 30 m de haut a été installé près du stade. Et à première vue, personne ne s’est mis en travers. 

Autorisée il y a un an par le maire lors du conseil municipal, cette installation "se trouve à distance réglementaire des habitations", rapporte le quotidien, et d’ajouter que la mairie a demandé en amont, une étude d’impact des ondes auprès de l’ANFR, encore une fois l’antenne Free Mobile était en règle. Du côté des riverains, aucune mobilisation est à noter, de quoi permettre à l’opérateur de Xavier Niel de mettre en oeuvre son projet dans un délai respecté puisque les travaux ont débuté au printemps dernier pour une mise en service prochaine. Un an aura suffi contre parfois plusieurs années.

 

 

 

 

 

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Interview Univers Freebox : nPerf parle de Free et dit (presque) tout sur son baromètre des débits mobiles et son outil de mesure

 

Univers Free a pu échanger avec Renaud KERADEC, fondateur et CEO de nPerf, autour du baromètre des débits mobiles publiés par nPerf et des résultats obtenus par Free. Cela a également été l’occasion d’en apprendre davantage sur le fonctionnement de son outil de mesure et à propos de l’API Carte d’Identité voulue dans les box Internet par l’Arcep.

(Univers Freebox) L’Arcep réclame une API intégrée dans les box Internet pour améliorer l’information des abonnés concernant les débits dans l’Internet fixe. Quel est votre point de vue à ce sujet ?

L’ARCEP ne remet pas en cause la qualité des mesures effectuées par les sites de speed test (du moins pas celle de nPerf), mais souhaite que de meilleurs filtrages soient appliqués pour rendre les publications, basées sur ces mesures, plus précises. L’API « Carte d’identité » imposée par l’ARCEP ne vise pas à intégrer un test de débit dans les box comme on a pu le lire sur certains sites, mais simplement à qualifier avec précision la connexion :

– Type de connexion Internet : FTTH, ADSL, VDSL, 4G, mix DSL+4G, satellite, etc.
– Type de réseau local : Wifi, Ethernet, CPL, etc.
– Débit commercial souscrit/atteignable (maximums possibles  en réception et en envoi + débits de synchro pour le DSL).

L’API prévoit également un compteur d’octets qui permettra aux outils comme nPerf de savoir si la connexion est sollicitée par autre chose que le test de débit durant les quelques secondes du test. Aucune donnée personnelle n’est communiquée par cette API. Il n’y a même pas une géolocalisation approximative (au département, par exemple), qui nous aurait permis de faire des analyses locales.

Concrètement, les données qui vont remonter par l’API nous permettront de mieux filtrer les tests pour ne conserver que ceux qui sont faits dans de bonnes conditions, mais également de faire des comparatifs précis par technologie lors des publications.

(UF) Le gendarme des télécoms a également parlé d’un code de bonne conduite pour les outils de mesure des débits dans le fixe. nPerf fait d’ailleurs partie de ceux l’ayant adopté. Qu’est-ce que cela implique concrètement pour vous ?

Le code de bonne conduite est en cours de construction. À l’heure actuelle, il se contente d’imposer aux acteurs une certaine transparence sur les protocoles de tests utilisés. Chez nPerf, on a toujours fait preuve d’un maximum de transparence. Nous avions donc déjà de nombreux éléments qui étaient communiqués depuis des années, et c’est donc sans attendre que nous les avons complétés conformément à ces premières dispositions.

(UF) Parlons maintenant des débits dans le mobile. Free a désormais le feu vert pour proposer la 4G sur la bande des 700 MHz sur l’ensemble du territoire. Constatez-vous déjà une différence significative au niveau des débits mesurés ou de la couverture ?

Pour le moment, nous n’avons pas constaté d’amélioration notable. Le 700 MHz permet de couvrir plus largement, mais les débits ne sont pas aussi élevés qu’en 1800 MHz ou 2600 MHz. Néanmoins, cela devrait permettre à Free de basculer de nombreux abonnés actuellement en couverture 3G Orange sur son propre réseau 4G.

(UF) Dans votre dernier baromètre sur les débits mobiles, on remarque que Free arrive à la dernière place sur les débits montants en 4G, tout en prenant la seconde place pour les débits descendants en 4G. Comment cela peut-il s’expliquer ?

Il faudrait demander cela directement à Free.

(UF) Pour Free, les données incluent les mesures avec et sans itinérance, et cela impacte forcément les résultats. Pourquoi ne pas indiquer les deux ? Cela permettrait d’indiquer la qualité réelle du réseau propre de Free.

L’objectif du baromètre nPerf est de représenter le plus fidèlement possible l’expérience vécue par les utilisateurs de chaque opérateur. L’itinérance Orange fait encore partie de la vie des abonnés Free. Gageons que cela ne durera plus très longtemps.

(UF) Dans le podium général, pourquoi ne pas séparer les technologies ? Cela offrirait plus de clarté concernant les débits de chaque technologie.

Le podium général est par définition général. Il inclut donc toutes les technologies utilisées par les abonnés de chaque opérateur. Cependant, dans la publication complète, nous séparons les tests 4G d’un côté et les tests 2G/3G de l’autre pour affiner l’analyse.

(UF) Vous intégrez désormais le paramètre 5G. Quels changements visibles ou invisibles aux yeux de l’utilisateur cela a-t-il impliqués ou va-t-il impliquer dans nPerf ?

L’intégration de la 5G dans le système d’information nPerf n’a pas été un problème. Nous avons un conçu système évolutif. Le plus complexe est de récupérer les informations nécessaires sur les premiers terminaux 5G, car ceux-ci tournent sous Android P, tandis que les API 5G officielles seront intégrées à Android Q. Nous avons donc dû trouver des solutions palliatives pour identifier la 5G sur les terminaux actuels.

(UF) Le smartphone ne sert pas qu’à télécharger des applications, surfer sur Internet ou lire des vidéos en streaming. Il est aussi beaucoup utilisé pour les messageries instantanées ou les jeux en ligne. Pensez-vous ainsi que l’application pourrait intégrer, par la suite, d’autres paramètres de manière à refléter encore plus précisément la qualité de connexion d’un abonné mobile.

On retrouve actuellement la plupart des usages dans les tests nPerf. Les jeux en ligne nécessitent parfois (selon le type de jeu) une bonne latence, tandis que les messageries instantanées utilisent des Web services (similaires à de la navigation Web). Nous ne sommes évidemment pas fermés à l’ajout de nouveaux tests, mais il faut toujours trouver un équilibre entre la durée du test et l’intérêt de celui-ci. Si les tests sont trop longs, l’utilisateur en fera moins ou parfois plus du tout.

(UF) D’ailleurs, pourquoi intégrer Leboncoin et Amazon dans les sites permettant de tester la connexion ? Les publicités diffusées sur ces sites changent en effet constamment. Du coup, une mesure réalisée à un instant T ne réflète pas forcément la rapidité de manière générale sur ce site et ne permet pas de comparer deux tests réalisés à une date différente de manière fiable.

Les sites utilisés pour le test de navigation sont les plus fréquentés par les Français. Nous ne choisissons pas ces sites. Ils sont issus du classement Alexa pour chaque pays. Cela dans le but de correspondre aux usages les plus courants, et donc de refléter au mieux l’expérience utilisateur. Dans le temps, le contenu des sites peut évoluer, mais ceci est valable pour le Web en général, non ? La moyenne sur les 5 sites reste, quant à elle, relativement stable et permet une meilleure comparaison.

(UF) De manière générale, on peut remarquer des résultats différents d’un outil à un autre, aussi bien dans le mobile que dans le fixe. Comment expliquer cela ?

Les différences d’un test à l’autre peuvent s’expliquer par différents critères. Par ordre d’importance, il y a : le serveur utilisé, l’algorithme de test et le protocole de mesure. Il faut savoir une chose : aucun ne mesure la vitesse d’Internet, car cela est impossible. Mesurer Internet reviendrait à mesurer le débit depuis/vers des millions de serveurs et en faire une moyenne : ce n’est pas possible. Donc, chaque test mesure le débit et la latence vers/depuis un ou quelques serveurs qui sont hébergés à différents endroits (hébergeur, transitaire, opérateur, point d’échange, fournisseur de contenu…). Par exemple, Fast ne mesure les débits que depuis les serveurs Netflix. Ce n’est donc pas un test de débit Internet, mais un test de connexion avec le réseau Netflix (AS2906).

Partant de ce constat, chez nPerf, nous avons fait le choix de ne pas chercher à mesurer le débit d’Internet, puisque que ce n’est pas possible, mais plutôt le débit de la connexion à Internet de l’abonné. C’est-à-dire le débit qu’il y a entre le domicile (ou le smartphone) de l’abonné et le réseau central de son opérateur (backbone). Pour mesurer ce débit, il faut choisir un serveur hébergé chez l’opérateur lorsque c’est possible ou bien un serveur ayant la meilleure connectivité possible avec l’opérateur. L’algorithme qui choisit le meilleur serveur automatiquement chez nPerf tient compte de nombreux paramètres pour arriver à cela. Par exemple : le résultats des mesures précédentes pour les clients du même opérateur (débits et latence), la proximité géographique, la densité de serveurs à proximité, etc. On peut presque parler d’intelligence artificielle. Bien entendu, cela nécessite d’avoir de nombreux serveurs dans le monde. Chez nPerf, nous disposons de plus de 900 serveurs et ce chiffre augmente chaque semaine. Il n’y en avait que 400 il y a à peine un an.

À date, nPerf est le seul outil à tenir compte de tous ces critères. Les outils concurrents se contentent de faire une sélection aléatoire ou bien de choisir le serveur qui a la latence la plus faible, mais pas forcément un débit suffisant. La plus grosse partie de l’écart dans les résultats constatés vient en général de là.

Concernant l’algorithme et protocole, c’est bien entendu un élément clé également. L’utilisation du multithreading est indispensable pour les très hauts débits par exemple. L’optimisation de l’outil pour limiter la consommation CPU et gérer au mieux la latence sur le réseau est également importante. Un test de débit, ça peut paraître simple, mais c’est en réalité un outil très complexe pour arriver à une mesure fiable.

(UF) nPerf, c’est une équipe de 10 personnes basée à Lyon et peut-être certains souhaiteraient rejoindre l’aventure. Êtes-vous à la recherche de certains profils en ce moment ?

Nous avons pour le moment une équipe au complet. Néanmoins, nous sommes en permanence à la recherche de stagiaires étrangers (ou qui ont une langue natale différente du français) dans un registre plutôt marketing/communication pour développer des partenariats à l’étranger et aider à la croissance de la communauté nPerf dans le monde.

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