Auteur : dimitri

Smartphones disponibles chez Free Mobile : quel modèle choisir avec un budget de 100-150 euros ?

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles chez Free Mobile. D’ailleurs, que peut-on y trouver en ce moment pour 150 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone en passant par la boutique de l’opérateur pour profiter d’un paiement en plusieurs fois sans frais.

Notre sélection s’intéresse aujourd’hui aux budgets les plus serrés, avec un budget maximal de 150 euros en poche. À ce tarif-là, inutile pour l’instant d’espérer avoir la 5G, qui n’en est de toute manière qu’à ses débuts en France.

Alcatel 1S 2020 : une expérience honnête à 99 euros

L’Alcatel 1S 2020 prouve que l’on peut avoir une bonne expérience même avec un smartphone à tout petit prix. Le design est daté, la finition sans prétention, la photo passable et la charge un peu longue, mais l’essentiel est là : aucune grosse frustration au quotidien, un support de la 4G 700 MHz chère aux abonnés Free et une autonomie correcte. On peut même s’amuser un peu à des jeux à la mode comme Call of Duty Mobile, avec bien évidemment des graphismes au minimum. Vous l’aurez compris, nous le conseillons vivement aux budgets les plus serrés.

Le test complet de l’Alcatel 1S 2020

Alcatel 3L 2020 : le paquet sur la photo sur un smartphone à 139 euros

La marque Alcatel nous a décidément surpris positivement lors de nos tests. Même impression en effet qu’avec le 1S 2020 évoqué plus haut : de l’entrée de gamme, mais pas d’expérience horrible. L’Alcatel 3L 2020 permet d’avoir assez de fluidité au quotidien et de jouer occasionnellement, offre un peu de polyvalence en photo avec le triple capteur 48 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière et permet de tenir 2 jours loin du secteur. Là encore, on a la 4G 700 MHz.

Le test complet de l’Alcatel 3L 2020

Oppo A5 2020 : la très grosse batterie à 149 euros

Ceux qui ont le budget maximal pourront s’orienter vers l’Oppo A5 2020 passé à 149 euros, grâce à une baisse de 20 euros. Son gros argument : une batterie 5 000 mAh, avec laquelle les 2 jours d’autonomie s’annoncent une formalité. Cette batterie permet d’ailleurs de la charge inversée. L’Oppo A5 2020 a aussi pour lui son écran 6,5 pouces, son rendu audio stéréo, son stockage extensible grâce à un slot dédié (pas de slot hybride obligeant à choisir entre dual-SIM et extension mémoire) et son quadruple capteur photo 12 + 8 + 2 + 2 Mégapixels. Plutôt pas mal pour un smartphone à moins de 150 euros.

Classés sous les catégories : Non classé

Nouvelle brochure tarifaire chez Free Mobile avec l’arrivée de l’eSIM

La nouvelle brochure tarifaire de Free Mobile mentionne l’eSIM, une technologie attendue de longue date chez l’opérateur de Xavier Niel.

Free Mobile a mis à jour sa brochure tarfaire ce mardi 1er décembre 2020. La grosse nouveauté, visible en page 4 : l’eSIM en alternative à la SIM classique, avec un tarif de 10 euros payable à la commande. Comprendre une option à choisir au moment de la commande de la ligne. Voilà qui annonce un lancement prochain de cette technologie.

Mais c’est quoi l’eSIM ?

La technologie eSIM désigne une carte SIM directement intégrée au smartphone, à la tablette tactile ou à la montre connectée. Fini la carte SIM à glisser dans un petit tiroir ou à insérer dans un slot après avoir ouvert l’appareil. Celle-ci devient alors “virtuelle”, avec de l’électronique directement intégrée au chipset mobile. Au moment d’utiliser son smartphone, il ne reste qu’à aller dans les paramètres du système d’exploitation pour indiquer l’opérateur et la formule d’abonnement choisis, afin d’ouvrir une nouvelle ligne.

Classés sous les catégories : Non classé

Freebox Pop et mini 4K : test de DAZN, le nouveau service de streaming sportif qui boxe dans une seule catégorie

Amateurs de contenus sportifs, voici DAZN. La plate-forme est accessible aux abonnés Freebox Pop et mini 4K grâce à une application disponible sur le Play Store. Petit tour d’horizon du service, dont les contenus restent pour l’instant très limités. Seuls les fans de boxe apprécieront.

Lancée ce mardi 1er décembre dans 200 pays, dont la France, DAZN se présente comme le Netflix du sport. Coûtant 1,99€ par mois, sans période d’essai, la plate-forme anglaise détenue par le milliardaire Len Blavatnik se contente pour l’instant  en France de contenus autour de la boxe, parmi lesquels des combats en direct ou sous forme d’archives, des talk-shows ou des documentaires. Mais la plateforme a de l’ambition, “en France, nous aurons vite des discussions sur le foot”, révèle ce matin dans les lignes de L’Express, Joe Markowski, vice-président exécutif de DAZN.

Commencer par s’inscrire au service, depuis le navigateur Web

Avant toute chose, il faut s’inscrire au service. Cela passe par le navigateur Web, l’application Android TV ne permettant en effet que la connexion à l’aide des identifiant et mot de passe.

Nom, prénom, adresse e-mail, mot de passe, coordonnées bancaires et… c’est terminé. La procédure est rapide. En 3 minutes, c’est bouclé.

Il faudra ensuite rechercher l’application sur le Play Store. Légère, l’application pèse moins de 30 Mo.

L’interface d’accueil : uniquement en anglais pour le moment

Au lancement, on remarque une chose : l’interface est intuitive, mais intégralement en anglais pour l’instant. Composée de deux parties, elle propose tout d’abord un mega menu avec quatre onglets “Sports”, “Schedule”, “Search” et “Settings”.

Le premier onglet donne accès aux contenus triés par sport. Forcément, c’est vite vu en ce qui nous concerne. De la boxe, et rien d’autre.

Le second onglet est un calendrier permettant de naviguer par chronologie, mais aussi par sports grâce au filtre en haut à droite. 

Le troisième onglet permet de lancer une recherche par sport, événement ou encore compétiteur. Pas de requête vocale. Il faudra ainsi se contenter du clavier virtuel. Dommage, cela aurait été moins fastidieux.

Quant au quatrième onglet, il donne accès aux paramètres. Ceux-ci sont d’ailleurs bien rachitiques : quitter l’application ou se déconnecter. D’ailleurs, gageons que l’on y retrouve très prochainement un réglage pour la langue de l’interface. La langue de Molière ne serait pas un luxe pour un service officiellement disponible en France.

La seconde partie de l’interface se compose de bandeaux de contenus à la suite. Y apparaissent notamment les recommandations de contenus à venir, de contenus liés à différents compétiteurs (des combattants, dans notre cas), de contenus incontournables ou encore de documentaires.

Un lecteur basique, mais avec une bonne idée

Lecture, pause, avance, retour. Le lecteur intégré va à l’essentiel.

Pour mettre en lecture ou pause, il suffit d’appuyer sur le bouton au milieu de la croix multidirectionnelle de la télécommande Freebox. Les flèches gauche et droite permettent de reculer et d’avancer dans le programme, avant de remettre en lecture avec le bouton au lieu de la croix multidirectionnelle.

Petite subtilité : trois vitesses de recul ou d’avance dans le contenu sont disponibles. Il suffit d’appuyer plusieurs fois de suite sur le flèche pour choisir la vitesse. Pratique dans le cas d’un contenu long.

Appuyer avec la flèche du bas permet d’afficher l’interface d’accueil avec le contenu continuant d’être lu en arrière-plan. 

Notez pour terminer que l’affichage du lecteur permet d’avoir un bref descriptif du contenu.

 


VERDICT

L’interface de DAZN est simple et efficace. D’ailleurs, un peu trop simple au moment où sont écrites ces lignes, avec des paramètres peu étoffés, pour ne pas dire absents. Il manque notamment le choix de plusieurs langues ou la section vie privée toujours bienvenue. Il faudra attendre un peu pour parler de contenus riches. Il n’y a pas vraiment foule pour le moment. La plateforme l’assure, “en France, nous aurons vite des discussions sur le foot”.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Free et Orange s’engagent à lutter contre la haine en ligne et protéger la vie privée des utilisateurs

Plusieurs dizaines d’entreprises s’engagent pour redorer le blason du numérique. Parmi elles, Free, Orange Google et Facebook, mais pas Amazon.

De la tech, mais avec de bonnes intentions et de bonnes pratiques. Voilà le message qu’ont voulu envoyer les patrons de quelque 70 entreprises, dont certaines françaises, en prenant des engagements dans le cadre de l’initiative Tech For Good lancée par Emmanuel Macron avec pour but de faire d’Internet “un espace libre, ouvert et sûr”.

Parmi les signataires, on retrouve notamment Xavier Niel, fondateur de Free, Stéphane Richard, PDG d’Orange, et Gilles Pélisson, PDG de TF1. D’autres noms bien connus sont à noter comme ceux de BNP Paribas, Booking, Facebok, Google, Huawei, Oracle, SnapChat, Twitter ou encore Uber. Absence notable : celles d’Amazon et Apple, pourtant grands noms de la tech. Selon l’Élysée, la firme à la pomme a toutefois fait part de son “envie de le signer”.

Pas de mesures contraignantes, mais des engagements officiels

Les huit engagements pris portent notamment sur la lutte contre la propagation de contenus pédopornographiques, haineux et terroristes en ligne, la sécurité des utilisateurs, les données personnelles, la liberté de choix du consommateur, l’échange avec le monde de la recherche et la fin de l’optimisation fiscale. Des promesses toutefois sans contraintes à la clé. Maintenant, comme le souligne l’Élysée, un double discours pourrait être épinglé par les autorités publiques et les médias.

Au-delà de l’engagement officiel pris par les signataires, cette action doit servir de base dans les discussions internationales sur la régulation du numérique. Cette dernière s’illustre notamment par le “Digital Services Act” de l’Union européenne, dont la présentation doit intervenir en décembre.

Sources : La lettre de l’audiovisuel (version papier) et Media+

Classés sous les catégories : Non classé

Problèmes de connexion pour de nombreux abonnés Free : que s’est-il passé ?

Les problèmes de connexion rencontrés par une partie des abonnés Free semblent désormais résolus. Ils s’expliqueraient par un problème d’interconnexion.

Comme le montre l’outil Downdoctor, un certain nombre d’abonnés Free ont en effet rencontré des soucis avec certains sites Internet et services en ligne au cours des dernières 24 heures. Le souci semble dans tous les cas avoir été résolu.

Selon nos confrères de Frandroid, les sites et services en question utilisaient principalement les serveurs AWS (Amazon Web Services). Un changement de DNS ne permettant pas de résoudre le problème, cela laisse entendre un problème d’interconnexion entre Free et AWS. Si le problème n’a pas concerné l’ensemble des abonnés Free, il a impacté nombre d’entre eux sur l’ensemble du territoire.

Classés sous les catégories : Non classé

Freetv, l’application de télécommande Freebox, se met à jour pour corriger ses bugs

Petite mise à jour corrective pour l’application de télécommande virtuelle Freetv disponible sur Android.

Ayant récemment rejoint la liste des applications mobiles permettant de changer son smartphone ou sa tablette tactile en télécommande Freebox, Freetv profite d’une mise à jour et passe ainsi en version 1.2.2. Le développeur indique la résolution d’une erreur provoquant un plantage lors de la reprise de l’application. Il évoque par ailleurs la correction d’un problème graphique pouvant survenir lors de l’affichage de la liste des chaînes favorites. Bref, pas de grosses nouveautés au programme, mais la disparition de bugs pouvant nuire à l’expérience utilisateur.

Compatible Freebox Révolution et Freebox Delta, Freetv est à télécharger gratuitement sur le Play Store de Google. Sa gratuité a comme contrepartie la présence de publicité sous la forme d’un petit bandeau en haut de l’écran. Pour utiliser l’application, il faut que le smartphone ou la tablette soit connecté au réseau Wi-Fi de la Freebox. Chose pratique : pas besoin de code de télécommande. Le player est en effet détecté automatiquement au lancement de l’application et les commandes opérationnelles dans la foulée.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Un smartphone de la boutique Free Mobile passe sous les 200 euros grâce à une baisse de prix

Grâce à une baisse de prix d’environ 25 %, un smartphone intéressant de la boutique Free Mobile se rend plus accessible aux petits budgets.

Déjà intéressant pour les budgets serrés, l’un des smartphones présents dans la boutique Free Mobile le devient encore plus. Auparavant proposé à 259 euros, l’Oppo A72 voit en effet son prix passer à 199 euros, soit une baisse de 60 euros. Ce smartphone de petit milieu de gamme peut également être payé en 4x (52 euros à la commande, puis 3 fois 49 euros) ou 24x (31 euros à la commande, puis 24 fois 7 euros), sans frais. Cerise sur le gâteau : une coque de protection d’une valeur de 19,99 euros est offerte. De quoi lui éviter quelques rayures au quotidien.

Côté caractéristiques, rappelons que l’Oppo A72 propose un chipset Snapdragon 665 avec 4 Go de RAM, un écran IPS 6,5 pouces FHD+, un stockage 128 Go extensible par MicroSD, de la photo 48 Mégapixels à l’arrière et 16 Mégapixels à l’avant, une batterie 5 000 mAh et un système Android 10 coiffé de l’interface maison ColorOS 7.1.

Classés sous les catégories : Non classé

Free accusé d’avoir “triché” pour installer son antenne 4G

Un riverain affiche son intention d’en découdre avec Free. Il refuse qu’une antenne-relais s’installe à côté de chez lui et accuse l’opérateur de tricherie lors de la constitution de son dossier.

Free compte installer une antenne 4G à Saint-Pée-sur-Nivelle, commune des Pyrénées-Atlantiques. L’opérateur a fait une déclaration préalable de travaux à la mairie et a obtenu un certificat de non-opposition le 2 octobre. Sauf que l’antenne en question, devant être installée rue Motxokoborda, sur un pylône de 33 mètres de haut, n’emballe ni la mairie ni le plus proche voisin.

La mairie a essayé, mais…

“On a essayé de freiner la chose, mais le problème, c’est que c’est sur un terrain privé. Il y avait un accord avec le propriétaire et au niveau urbanisme, on n’a pas la possibilité de refuser”, explique Dominique Idiart, maire de Saint-Pée-sur-Nivelle. L’élu ajoute que Free n’a pas le choix non plus pour assurer sa couverture dans la zone. “Aujourd’hui, le réseau Free passe par un autre réseau, mais il s’avère qu’en 2021 ce montage ne sera plus possible. Free doit mettre son propre réseau en place”, indique-t-il.


Le lieu d’implantation de la future antenne (Crédit photo : Guillaume FAUVEAU)

Les voisins directs dénoncent une pollution visuelle et une tricherie

Le panneau d’information ayant été repéré et la nouvelle ayant circulé, les habitants du quartier du Lac, futurs voisins de cette antenne-relais, se sont regroupés au sein d’un collectif. Ils ne veulent pas de l’antenne Free et n’entendent pas en rester là. Un recours a d’ailleurs été déposé devant le tribunal administratif de Pau. Romain Rio, fermier en polyculture-élevage ayant déposé le recours en novembre, plante le décor : “Ça va générer des tensions énormes. Des jeunes gens sont prêts à agir et ne veulent pas voir cette antenne de 33 mètres”. Mais pourquoi, au fait ? Les riverains pointent la proximité immédiate d’une zone Natura 2000, d’un parcours sportif et d’une bergerie.

Selon cet habitant, Free a “carrément triché” lorsqu’il a remis son dossier. Il évoque des photos prises par temps brumeux, afin de dissimuler la forêt et les montagnes environnantes. L’opérateur aurait ainsi remis un dossier ne reflétant pas totalement “la réalité du site”. Un argument dont le riverain compte bien de servir dans sa bataille judiciaire. Cet ancien juriste pointe également la possibilité, à ses yeux, qu’avait la mairie de s’opposer en utilisant le code de l’urbanisme. Il cite l’article R111-21 selon lequel “le projet peut être refusé ou n’être accepté que sous réserve de l’observation de prescriptions spéciales si les constructions, par leur situation, leur architecture, leurs dimensions ou l’aspect extérieur des bâtiments ou ouvrages à édifier ou à modifier, sont de nature à porter atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu’à la conservation des perspectives monumentales”.

Source : Mediabask

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile change de formule en avance pour son forfait “Série Free”

Quelques jours d’avance sur le calendrier initial. Le forfait “Série Free” change en effet de formule avant l’heure. Un prix moins élevé, mais aussi un quart de data en moins.

Cette semaine, Free a dévoilé un forfait “Série Free” avec 80 Go de data en France Métropolitaine et 8 Go en roaming pour 13,99 euros par mois. Valable jusqu’au 1er décembre, il a finalement changé en cours de route.

Depuis hier et jusqu’au 1er décembre, Free Mobile propose son forfait intermédiaire à 10,99 euros par mois avec cette fois-ci 60 Go de data en France Métropolitaine et 8 Go en roaming. Celui-ci intègre également les appels, SMS et MMS en illimité. Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois. 

De son côté, Red by SFR a frappé fort en dévoilant un forfait Big Red avec 50 ou 200 Go de data pour 12 ou 15 euros par mois. Sosh, la marque d’Orange, propose une série limitée 40 Go à 11,99 euros par mois. Dans la vitrine de Bouygues Telecom, on trouve des forfaits 50 et 100 Go à respectivement 11,99 et 14,99 euros par mois. Du côté d’Auchan Telecom, on note un forfait 60 Go à 5,99 euros par mois, avec un passage à 14,99 euros par mois après la première année.

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : le parcours du combattant d’une antenne-relais

Ça n’était pas gagné d’avance et tout le monde a retroussé ses manches pour permettre l’arrivée d’une antenne-relais de Free. Une commune raconte tout le chemin parcouru.

Dur dur d’être une antenne. Pas toujours facile en effet pour ces relais de communication de trouver leur place dans un monde pourtant de plus en plus connecté. Quand ce ne sont pas les riverains qui veulent garder leurs distances, c’est l’environnement qui n’apparaît pas naturellement prêt à les accueillir. 

Ce parcours du combattant s’illustre parfaitement avec les péripéties traversées par Free pour implanter son antenne-relais au lieu-dit La Frasse, en Haute-Savoie, et expliquées par Luc Pluyaud, adjoint aux travaux de la commune de Saint-Colomban-des-Villards. Et ce alors que la date-butoir pour la livraison était fixée par l’État au 31 décembre 2020.

Trouver l’emplacement et préparer le terrain

Dans un premier temps, une quinzaine d’emplacements ont été étudiés et écartés depuis les études lancées au printemps 2019, avant de trouver le lieu optimal pour couvrir les hameaux de la commune. 

Mais la partie était loin d’être gagnée une fois l’emplacement choisi puisqu’il aura fallu l’intervention d’une entreprise pour stabiliser le terrain retenu. Des travaux terminés en septembre dernier. Après quoi, Free a pu réaliser la plate-forme en béton pour accueillir le pylône, avant de laisser trois semaines au minimum de séchage. Ce temps a d’ailleurs été mis à profit par Enedis pour les travaux d’enfouissement du réseau électrique. En raison de la difficulté d’accès au lieu et de la charge à transporter, il aura enfin fallu un hélicoptère et trois voyages pour transporter les différents éléments du pylône de 46 mètres de haut , des navettes devant en plus composer avec les conditions météo. 

Concernant son rôle, la commune rappelle qu’elle n’a “aucune maîtrise des opérations”, que son rôle a simplement consisté à “faciliter la procédure administrative” avec “intelligence, diligence et opiniâtreté”. Les maîtres d’ouvrage chacun dans leur domaine sont Free et Enedis.

Source : La Maurienne (version papier)

Classés sous les catégories : Non classé