Auteur : dimitri

Free Mobile : l’implantation d’antennes-relais contrecarre les plans d’une famille

Deux antennes-relais qu’ils n’ont pas vues venir et qui contrecarrent leurs plans.

Avec pour objectif de faire venir une tante de 91 ans près de chez eux, dans le sud de la France, Armelle et Ehoarn Gilbert ont mis en vente, en décembre 2019 et pour le compte de la famille, la ferme de la veille dame se trouvant dans le quartier de Goasmeur, à Paimpol, commune des Côtes-d’Armor. Sauf que des antennes, dont une de Free installée en septembre dernier et une d’Orange installée quelques mois plus tôt, ont changé la donne. Aucune antenne n’est activée pour le moment.

Un frein pour les acheteurs

Le couple déplore un réel frein pour les potentiels acheteurs, avec des antennes Free et Orange se traduisant par des pylônes de 30 mètres de haut implantés le long du terrain de foot de Penvern jouxtant la propriété estimée à 570 000 euros. Les acheteurs potentiels, dont certains avec des projets de chambres d’hôte, ont été refroidis. Selon le couple, les acheteurs évoquaient les craintes liées aux ondes, mais aussi la pollution visuelle. L’agence s’occupant de la vente confirme le frein à l’achat : “Déjà, la première avait été une surprise. Mais là, avec la deuxième près de la cour, c’est juste pas possible”. Des aspects dont elle doit pourtant informer les acheteurs et qu’il est impossible de louper.


Crédit photo Actu.fr

Pas question pour autant de brader le bien familial. “Pour ma tante, ce bien représente toute une vie de labeur, elle est en droit d’en avoir le retour aujourd’hui”, indique Ehoarn Gilbert, ajoutant que la vieille ferme datant de la seconde moitié du 19e fait partie du patrimoine de Paimpol.

Tout est en règle

“On nous a dit que tout a été fait dans les règles”, indique le couple après s’être rapproché de la mairie. Le feu vert pour les deux implantations sur le terrain communal a été donné par l’ancienne équipe municipale, avec un bail courant jusqu’en 2031. Mais l’entendant pas de cette oreille, Armelle et Ehoarn Gilbert envisagent la création d’un collectif avec d’autres riverains afin de réclamer le démontage des antennes. “Notre tante ne sortait plus de chez elle, comment aurait-elle pu le voir ? Elle n’a même pas reçu un courrier. Quand on sait qu’une maison est habitée par une vieille dame, ne pas s’assurer qu’elle est bien au courant, c’est trop facile”, estime le couple. Ils soulignent également l’entrée en Ephad suite à une chute. Eux non plus n’ont rien vu, car ne se déplaçant que quelques fois par an en raison de la grande distance. La fille non plus, car ne pouvant venir facilement depuis la Suisse, “surtout depuis l’épidémie”, souligne le couple.

Source : Actu.fr

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Free : ils disent oui à la fibre, mais non à la 5G de l’opérateur

Des riverains s’opposent à l’arrivée d’une antenne-relais Free Mobile. Ils préféreraient que la priorité soit donnée à la généralisation de la fibre optique.

Frictions à Piriac-sur-Mer, commune du département de la Loire-Atlantique. Prévue dans la zone d’activité du Plandreau, l’implantation d’un pylône de 31 mètres devant accueillir Free ne fait pas l’unanimité auprès de la population. L’opérateur a reçu l’aval de la mairie le 20 juillet dernier. Comme souvent, les opposants dénoncent le manque d’informations, que ce soit auprès des particuliers ou des entreprises, les incertitudes autour des risques sanitaires, en raison de l’exposition aux ondes, et la pollution visuelle, dénonçant une “affreuse construction métallique”.

Regroupés au sein du collectif “collectif 5 G 44420”, les habitants ont lancé une pétition en ligne (ayant récolé 306 signatures à l’écriture de ces lignes) et déposé un recours gracieux auprès de la mairie, afin de stopper le projet pour lequel “il n’y a eu aucune concertation”, soulignant la présence d’une autre antenne à 200 mètres de là. Les riverains évoquent également une autre priorité à leurs yeux. “Il y a la fibre à Piriac. Plutôt que de mettre la 5G, on ferait bien de faciliter l’accès à la fibre pour tous”, soulignent-ils. Ceux-ci réclament par ailleurs un débat autour de questions telles que le progrès apporté par la 5G ou les risques liés aux ondes.

Source : Actu.fr

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Tech chez Free : c’est quoi le 10G-EPON ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de la technologie 10G-EPON.

En décembre 2018, Free a annoncé la Freebox Delta, sa nouvelle box haut de gamme. L’opérateur de Xavier Niel mettait alors en avant la connectivité 10G-EPON par la partie serveur, le boîtier grâce auquel l’abonné est connecté à sa ligne. Qu’est-ce donc ?

L’architecture PON, pour Passif Optical Network, désigne une architecture réseau utilisée dans la fibre optique où le débit disponible se retrouve partagé entre les différents abonnés et ainsi variable selon leur nombre (32, 64, 128). Elle est le contraire d’une architecture P2P, pour Point-to-Point, où chaque abonné à sa propre liaison fibre optique et un débit constant. 10G indique pour sa part que le débit maximal théorique sur cette liaison peut atteindre les 10 Gbit/s.

Sur le papier, et si on ne considère que le dernier segment de la liaison, l’architecture P2P apparaît alors plus intéressante que l’architecture PON. En effet, on ne parle ici que de la liaison entre le noeud de raccordement optique, plus communément appelé NRO, et les prises de terminaison optique des différents foyers/clients raccordés. Or, dans les faits, ce n’est pas à ce niveau que la saturation s’observe et que le débit disponible pour l’abonné baisse, par exemple en soirée, mais plutôt en amont du NRO, au niveau du point de collecte.

Sans compter un avantage non négligeable de l’architecture PON, à savoir les coûts moins élevés. Cela s’explique notamment grâce au plus grand nombre d’abonnés raccordés au NRO avec une même liaison, qui augmente mécaniquement la densité d’abonnés à l’échelle du NRO. Cette question de coût explique également pourquoi les opérateurs proposent des débits asymétriques (débits différents en liaison descendante et en liaison montante), alors que les technologies P2P / PON permettent des débits symétriques (même débits dans les deux sens).

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Choc des smartphones disponibles chez Free : cinq modèles à 299 euros, lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement cinq smartphones au prix de 299 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons en concurrence les Samsung Galaxy A41, Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Crosscall Core M4, Sony Xperia 10 II et Huawei Nova 5T, tous les cinq proposés à 299 euros au comptant, mais également en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi ou Samsung

Côté écran, si le Samsung Galaxy A41 profite d’une dalle AMOLED pour de belles couleurs et de meilleurs contrastes, le Xiaomi Redmi Note 9 Pro offre la plus grande diagonale et opte pour un poinçon discret. Mais le Sony Xperia 10 II a aussi comme atout son format plus compact grâce à sa plus petite diagonale et son ratio 21/9 permettant un design allongé. Le Crosscall Core-M4 est tout simplement hors concours.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (6,67 pouces, Full HD+, IPS et poinçon)
  2. Samsung Galaxy A41 (6,1 pouces, Full HD+, AMOLED et encoche goutte d’eau)
  3. Huawei nova 5T (6,26 pouces Full HD+, IPS et poinçon)
  4. Sony Xperia 10 II (6 pouces, Full HD+, OLED et bordure)
  5. Crosscall Core-M4 (4,95 pouces, FWVGA, IPS et bordure)

Performances en multimédia : Huawei

En tant qu’ancien modèle haut de gamme, le Huawei nova 5T en a évidemment sous le capot, tant au niveau du processeur que de la mémoire vive. Le Xiaomi Redmi Note 9 Pro n’est pas trop mal loti non plus. Seul le Crosscall Core-M4 fait réellement bande à part avec sa plate-forme d’entrée de gamme.

Notre classement :

  1. Huawei nova 5T (processeur octa-core 2,6 GHz du SoC Kirin 980 + 6 Go de RAM)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (processeur octa-core jusqu’à 2,3 GHz du SoC Snapdragon 720G + 6 Go de RAM)
  3. Samsung Galaxy A41 (processeur octa-core 2,0 GHz du SoC Helio P65 + 4 Go de RAM)
  4. Sony Xperia 10 II (processeur octa-core 2,0 GHz du SoC Snapdragon 665 + 4 Go de RAM)
  5. Crosscall Core-M4 (processeur quad-core 1,3 GHz du SoC Snapdragon 215 + 2 Go de RAM)

La photo : Xiaomi

Les Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Huawei nova 5T, Samsung Galaxy A41 et Sony Xperia 10 II promettent de la polyvalence avec leurs multiples capteurs photo (même si on sait que le surnombre ne garantit rien, surtout lorsque l’on parle de modules 2 Mégapixels). Les trois premiers promettent par ailleurs des selfies bien définis. Quant au Crosscall Core-M4, il se contente du minimum syndical, surtout pour les amateurs de selfies.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (64/8/5/2 Mégapixels au dos et 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Huawei nova 5T (48/16/2/2 Mégapixels au dos et 32 Mégapixels à l’avant)
  3. Samsung Galaxy A41 (48/8/5 Mégapixels au dos et 25 Mégapixels à l’avant)
  4. Sony Xperia 10 II (12/8/8 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)
  5. Crosscall Core-M4 (12 Mégapixels au dos et 2 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Ici, Xiaomi laisse tout le monde sur place avec son Redmi Note 9 Pro offrant la plus grosse batterie et la charge la plus rapide. Cerise sur le gâteau, il fournit même un chargeur plus puissant que nécessaire dans la boîte. Huawei, Sony et Samsung proposent des batteries plus petites, mais cela annonce aussi des appareils plus légers dans la poche. Oui, une grosse batterie, ça pèse dans la balance. Les charges sont aussi moins rapides, mais permettent de ne pas y passer des heures et des heures non plus. Crosscall Core-M4 se tient une nouvelle fois à l’écart, notamment avec sa charge 5 Watts qui exclut toute charge express en cas de besoin et invite à privilégier une charge nocturne.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (batterie 5 020 mAh et charge 30 Watts)
  2. Huawei nova 5T (batterie 3 750 mAh et charge 22,5 Watts)
  3. Sony Xperia 10 II (batterie 3 600 mAh et charge 18 Watts)
  4. Samsung Galaxy A41 (batterie 3 500 mAh et charge 15 Watts)
  5. Crosscall Core-M4 (batterie 3 000 mAh et charge 5 Watts)

Le choix d’Univers Freebox

À défaut d’être parfait en tous points, le Xiaomi Redmi Note 9 Pro est celui qui coche le plus de cases, la proposition la plus équilibrée en somme. S’il fait bande à part avec sa fiche technique d’un autre temps, le Crosscall Core-M4 n’est pas à exclure. Il s’adressera en effet aux baroudeurs ou aux professionnels évoluant en milieu hostile (pour le smartphone). Or, le test d’un autre smartphone de la marque a montré que Crosscall se montre particulièrement efficace sur ce créneau.

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Insolite : un drone utilisé pour prouver qu’une antenne Free Mobile va gâcher le paysage

Classique levée de boucliers face à l’arrivée d’une antenne Free Mobile, mais moyen inattendu pour montrer l’impact de celle-ci.

Ça se passe au Clos du Bocage, lotissement de Sainte-Marie-sur-Mer, dans le département de la Loire-Atlantique, où un pylône de 36 mètres accueillera bientôt la 3G/4G de Free (et prochainement la 5G).

Il prendra plus précisément place sur une parcelle de terrain louée par un particulier à l’opérateur pour un loyer annuel de 5 000 euros. Farouchement opposée à l’arrivée de ladite antenne, la propriétaire de la parcelle voisine “a écrit à ce monsieur pour essayer de le faire changer d’avis, en vain”, déplore Christophe Garraud, porte-parole du collectif d’opposants.

Celui-ci a d’ailleurs envoyé un drone à 36 mètres de hauteur. En montrant que l’on voyait Pornic, commune dont dépend Sainte-Marie-sur-Mer, il s’agissait de prouver que l’antenne sera visible de très loin et gâcherait ainsi l’esthétique du paysage. “De là, on voit tout Pornic et bien au-delà, c’est donc une antenne qu’on verra de très loin, qui va dénaturer le paysage”, dénonce-t-il. Et de s’interroger : “Pourquoi si haut ?”.

Mais ce ne sont pas les seules questions que se pose Christophe Garraud. “Pourquoi ici ?”, “Pourquoi n’ont-ils pas demandé à s’installer sur des sites existants ?”, se demande-t-il, en rappelant la proximité des habitations et l’existence d’autres sites comme le clocher de l’église de Sainte-Marie, le phare de la Noëveillard ou encore le château d’eau de la Joselière, où sont déjà présents les autres opérateurs. Et d’argumenter que “la commune est étendue”, qu’“il y a des terrains communaux un tout petit peu plus loin dans les terres, loin des habitations, où personne ne la verrait”. “Sur la parcelle, on pourrait créer des jardins ouvriers, ce serait plus bio”, selon lui.

Le maire a bien essayé, mais…

Pour rappel, Jean-Michel Brard, mairie de Pornic, commune dont dépend Sainte-Marie-sur-Mer, avait dit non au motif que l’antenne ne collait pas au plan local d’urbanisme et obligeait ainsi à modifier ce dernier.

Notant que son installation ne demandait aucun renforcement du réseau électrique local et nécessitait ainsi de “simples travaux de raccordement”, mais surtout qu’il a des impératifs et des attentes en matière de couverture du territoire, Free s’était alors tourné vers la justice administrative et avait obtenu gain de cause. Le tribunal administratif de Nantes avait demandé, début septembre, à la ville de Pornic de se pencher à nouveau sur la demande de l’opérateur. Il avait en outre condamné la commune à verser 1 000 euros à Free au titre de frais de justice.

Source : Ouest France

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Il n’y a pas que Free dans la vie de Xavier Niel

Si Xavier Niel s’occupe quotidiennement de Free, dont il est le fondateur, son oeil aiguisé d’investisseur guette les opportunités d’acquisitions et les synergies possibles dans divers secteurs autres que les télécoms.

Xavier Niel, c’est le fondateur de Free, mais également un investisseur dans l’âme. Le milliardaire de 53 ans possède un véritable empire dont une infographie nous donnait un bon aperçu. Officiellement, Xavier Niel délègue pour avoir le temps de s’occuper de Free. La réalité est plus nuancée. Il échange quotidiennement avec Anthony Maarek, l’homme qui gère depuis deux ans sa holding personnelle NJJ, ce qui lui permet de flairer les opportunités. Patience et vision à long terme sont également de mise. Il a par exemple fallu 10 ans pour que les efforts finissent par payer dans le cas du titre de presse Le Monde.

De nombreux titres de presse

Hors technologies (Free, Monaco Telecom, Eir, etc.) Xavier Niel a investi dans différents médias incluant notamment Rue 89 (2014, à travers le Nouvel Obs), le Monde (2010), Les Cahiers du Cinéma (2010), Nice Matin (2019), La Provence (2019) et France Antilles (2020). Il fait aussi partie des contributeurs de la société des Amis de Mediapart, a investi dans le site Electron Libre et participé au site d’actualité Atlantico à travers le fonds d’investissement Free Minds qu’il détient à 49 %. L’empire de Xavier Niel dans la presse pèse plus de 500 millions d’euros et environ 2 500 salariés.

Au-delà des acquisitions pour remettre sur pied des sociétés renommées se trouvant dans des situations délicates, il s’agit également de trouver des synergies, comme le montre le supplément hippique que le lancera France-Antilles fin octobre et dont Paris-Turf fournira les contenus. Il s’agit également d’assurer le maintien de la presse, comme le montre l’acquisition de France-Antilles pour éviter que les départements d’outre-mer ne se retrouvent sans quotidien d’information générale, et d’aider au maintien du pluralisme dans ce même secteur, en soutenant les médias indépendants de tout bord.

On y retrouve également la volonté de clarification qui s’est illustrée chez Free. Le portefeuille de Paris-Turf, jugé peu clair, devrait s’alléger de Bilto et Tiercé Magazine, pourtant historiques, pour concentrer tous les efforts sur Paris-Turf, le titre phare du groupe. En tant que geek, Xavier Niel veut également et logiquement moderniser les outils et les stratégies. Dans le cas de Nice-Matin, le but est de tripler les abonnements numériques à 25 000 dans les trois ans. Même orientation pour France-Antilles.

L’immobilier, la fausse viande

Xavier Niel investit par ailleurs dans l’immobilier. Citons notamment l’acquisition du Golf du Lys en 2006, l’entrée au capital de l’hôtel L’Apogée en 2013 (50 %), le rachat de l’hôtel de Coulanges en 2016 ou l’acquisition de la partie basse de la Tour Montparnasse en 2019. En ce moment, le milliardaire intervient pour sauver Unibail-Rodamco-Westfield, géant de l’immobilier commercial dont il estime la direction “défaillante”. Sans oublier son investissement dans la société Les Nouveaux Fermiers qui promet de réinventer la viande grâce à substitut végétal de viande, ce qui lui avait d’ailleurs attiré les foudres des agriculteurs et éleveurs.

Un business angel jamais avare de conseils

En tant qu’investisseur dans l’âme qui a soutenu plus de 200 startups via le business angel Kima Ventures, Xavier Niel n’est jamais avare de conseils. Il s’adressait ainsi récemment aux entrepreneurs dans le Numérique. À ses yeux, il reste encore de la place pour des GAFAM à la française. “Il faut dire à la jeunesse que c’est possible”, soulignait-il.

Source : Le Figaro

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nPerf : l’application intègre une nouveauté pour les tests de débit Wi-Fi sur les Freebox

nPerf pour Android se met à jour avec une nouveauté. Elle intéressera les abonnés Freebox souhaitant tester leurs débits en Wi-Fi.

Après la déclinaison iOS pour intégrer la détection 5G, au tour de la déclinaison Android de l’application nPerf de se mettre à jour. Une version 2.8.0 apporte en effet le support de l’iPV6. Le déploiement concerne d’ailleurs 100 % des utilisateurs.

Pour effectuer un test de débit en IPv6, il faut choisir manuellement un serveur qui est indiqué comme IPv6, précisent les développeurs. Or, les serveurs IPv6 n’apparaissent dans la liste que si la connexion est compatible IPv6.

Chez Free, il faudra se contenter de l’IPv6 en Wi-Fi avec une Freebox, notent les développeurs. Début 2019, l’opérateur a en effet diffusé des mises à jour sur les Freebox Delta et les Freebox Révolution pour mettre l’IPv6 par défaut et d’empêcher sa désactivation. Mai 2019, l’IPv6 avait ainsi été déployé sur plus de 70 % de son réseau.

Bien qu’il soit généralement disponible chez Orange/Sosh et Bouygues, souvent l’IPv6 n’est pas activé par défaut en cellulaire, précisent les développeurs. Il faudra alors modifier l’APN dans les paramètres système. Dans le type d’APN, il faut modifier “IPv4” en “IPv4/IPv6”.

C’est quoi l’IPv6 ?

Pour rappel, l’IPv6 est une évolution du protocole de communication IP (Internet Protocol), lequel permet d’attribuer une adresse à un appareil présent sur le réseau. Un ordinateur, un smartphone, une tablette, une console de jeu ou une box Internet. Reposant sur un plus grand nombre de caractères qui permet de générer davantage d’adresses, cette évolution répond à la démocratisation d’Internet dans le Monde et l’explosion du nombre d’appareils connectés à Internet qui nécessite d’augmenter le nombre d’adresses IP disponibles.

Partenariat avec Univers Freebox

Univers Freebox et nPerf ont lancé un partenariat avec la possibilité de réaliser un test de débit depuis la page dédiée et de le sauvegarder. Les données étant issues de nPerf, leur fiabilité est assurée.

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Freebox Pop : Free utilise les éloges autour de son dernier bébé, la meilleure des pubs

Free continue d’orienter les projecteurs vers la Freebox Pop, son dernier bébé dévoilé durant l’été.

Son dernier bébé ayant eu droit à des éloges de la presse, autant les utiliser. Dans une nouvelle campagne de publicité habillant le mobilier urbain, l’opérateur de Xavier Niel reprend en effet les critiques positives de la presse concernant la Freebox Pop, sa box Internet présentée durant l’été dernier.

“La Freebox Pop est séduisante” (Journal du geek), “Une petite box survitaminée” (Numerama) ou “Une petite révolution” (INpact Hardware) peut-on en effet lire sur les habillages publicitaires pour promouvoir la nouvelle box.

 

La Freebox Pop devient également la nouvelle box Internet avec laquelle Free fait la promotion de sa fibre optique et dont l’opérateur se sert comme produit d’appel, que ce soit sur les bandeaux publicitaires sur Internet ou le mobilier urbain. Auparavant, c’est la Freebox mini 4K qui était utilisée.

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Free Sénégal ne se voit pas comme un opérateur low cost

Des forfaits mobiles plus accessibles et de nouveaux services pour accompagner le pays dans sa transformation digitale, tel est l’objectif de Free Sénégal, l’un des trois opérateurs mobiles virtuels au Sénégal.

“En moins d’un an, avec l’arrivée de Free, les Sénégalais ont pu bénéficier de baisses conséquentes sur leurs tarifs de communications mobiles et Internet : moins 34 % sur le prix de la minute de communication et moins 75 % sur le prix de l’Internet mobile”,  selon Mamadou Mbengue. Lors d’une interview accordée au CIO Mag, le directeur général de Free Sénégal, fruit du rachat de Tigo et d’un renommage, a rappelé que l’opérateur mobile virtuel a permis de rendre les forfaits mobiles bien plus accessibles.

Participer à la transformation digitale du pays

Pour autant, Mamadou Mbengue explique qu’il ne s’agit pas se positionner en tant qu’opérateur low cost. “Nous nous percevons plutôt comme un opérateur qui allie juste prix, qualité de réseau et expérience client inédite”, indique-t-il. Selon lui, il s’agit en filigrane de participer à la transformation digitale du pays, en donnant accès à tous les services numériques associés. Celui-ci rappelle d’ailleurs que le taux de pénétration en Afrique était de 34 % en 2019 et pourrait atteindre en 2025. Il y a donc encore du pays sur la planche, mais aussi des parts de marché à prendre.

D’où le lancement, fin 2019, de Free Money, une plate-forme de transfert d’argent et de paiement. Mamadou Mbengue explique d’ailleurs qu’il y a un lien entre les forfaits attractifs qu’il propose et son service monétaire. Le second a tout simplement besoin des premiers.

Pas l’ambition d’être une banque

Pas question pour autant de devenir une banque à part entière. “Sur cette question, nous voulons être très clairs. Nous sommes partenaires du secteur bancaire. Par conséquent, nous n’ambitionnons pas d’être une banque”, a affirmé Mamadou Mbengue.

Il rappelle d’ailleurs que ses outils sont mis à disposition des partenaires, pour faciliter l’utilisation de Free Money sur de nombreuses plates-formes et “favoriser l’éclosion d’un écosystème de FinTech”. Et d’ajouter : “Les acteurs de la finance digitale au Sénégal et en Afrique ont une chance inouïe de se développer à travers le projet d’interopérabilité initié par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et dont le lancement officiel est prévu pour 2021. Cette initiative permettra de fusionner l’ensemble des plates-formes de la finance digitale et profitera au client final”.

Le directeur général de Free Sénégal pense par ailleurs que la digitalisation des paiements a pris du sens avec la crise sanitaire. “À l’heure de la digitalisation des transactions, et dans un contexte de pandémie, le sans-contact est devenu une norme. Free Money est une des réponses mises à disposition des Sénégalais”, a-t-il déclaré.

Source : CIO Mag N°66 Septembre/Octobre 2020

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Face à l’incompréhension, Free explique pourquoi son antenne 4G est nécessaire

Face à des riverains ne comprenant pas l’installation d’un nouveau pylône pour sa couverture mobile, Free apporte des explications, notamment concernant l’emplacement et la hauteur.

Une mobilisation forte. Voilà près de deux ans que l’opérateur d’infrastructures TDF a manifesté son intention d’installer un pylône de plus de 40 mètres afin d’y accueillir la 4G de Free, dans la commune de Belles-Forêts, dans la Moselle. Riverains et élus s’y opposent fermement au motif qu’un pylône à quelques dizaines de mètres de là accueille déjà Orange et pourrait ainsi être utilisé par Free. Le collectif avait ainsi porté l’affaire devant la justice administrative.

La justice rejette le recours des opposants

Le tribunal a rendu son verdict en juillet dernier et renvoyé le collectif dans les cordes. Le pylône s’installera donc bel et bien à Angviller-lès-Bisping, l’un des deux villages composant Belles-Forêts. “Goliath a mis à terre David”, déplore Martine Kleine, adjointe à la maire Marina Husson. Et d’admettre : “On a engagé la procédure en sachant que nous étions tout petits”. Le pylône mesurera d’ailleurs 42 mètres, au lieu de 45 mètres comme prévu initialement.

“C’est comme si on n’avait pas notre mot à dire”, déplorent la maire et son adjointe, qui estiment être face à une construction résultant “d’une guerre économique entre opérateurs téléphoniques”. Elles notent n’avoir “jamais obtenu de réponse claire sur les raisons de la non-collaboration entre Free et Orange”.

Free apporte des explications

Interrogé par le Républicain Lorrain, Free a, de son côté, rappelé qu’il a des obligations en matière de couverture. “Free Mobile est un acteur profondément attaché au dialogue notamment avec les collectivités locales et soucieux de respecter des dispositions légales et réglementaires. Pour autant, nous sommes aussi soumis à des contraintes techniques et à des engagements de couverture que nous devons respecter”, a expliqué l’opérateur de Xavier Niel.

Concernant la parcelle de terrain choisie, Free indique qu’il s’agit de parfaire la couverture pour que tout le monde en profite. L’opérateur explique étudier “toutes les possibilités, mais, parfois, certains sites ne répondent pas au cahier des charges ou conduisent à multiplier les situations où un voisin capte et l’autre pas”. À propos de la hauteur, il apporte aussi une explication : “l’antenne sera finalement déployée à notre demande à 42 mètres. C’est la hauteur requise pour assurer la couverture souhaitée compte tenu de la hauteur des arbres et de la densité de la forêt aux alentours”. Free indique enfin que ladite antenne servira pour la 3G et la 4G, mais pas pour la 5G.

Source : Le Républicain Lorrain

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