Auteur : dimitri

Une antenne-relais Free détruite lors d’un incendie volontaire

Un pylône supportant des antennes-relais de téléphonie mobile de Free et SFR a été la victime d’un incendie volontaire.

L’incident a eu lieu dans la nuit du vendredi 4 septembre au samedi 5 septembre, vers 1h15. Le cadenas protégeant un pylône a été cassé, avant que les câbles de l’installation soient sectionnés et qu’un incendie soit déclenché à l’aide d’un pneu.

Situé le long de la ligne TGV Sud-Est, sur la commune de Pact, à côté de Grenoble, le pylône en question accueillait des antennes des opérateurs Free et SFR, mais servait aussi pour la communication de la SNCF. D’où des perturbations ayant affecté la circulation des trains, à savoir des ralentissements une partie du samedi matin. L’installation était hors d’usage, tandis que le feu s’est ensuite propagé à la végétation autour, s’étendant ainsi sur près de 1 000 m².

Si l’incident est intervenu deux heures avant l’interpellation de six individus voulant installer une ZAD, afin de s’opposer à un projet immobilier à Saint-Martin-le-Vinoux, également à côté de Grenoble, les premiers éléments d’enquête vont dans le sens de deux affaires distinctes. L’affaire a été confiée au parquet de Grenoble.

Source : Le Dauphiné

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Free déploie une mise à jour sur le player Freebox Delta afin de corriger plusieurs bugs

Ce mercredi matin, Free déploie une mise à jour sur le player Freebox Delta.

Les développeurs apportent d’ailleurs des précisions concernant le contenu de cette mise à jour de firmware estampillée 1.0.17. Plusieurs problèmes ont été corrigés.

Il y avait notamment celui se traduisant par les sous-titres de vidéos lues depuis l’explorateur de fichiers se retrouvant hors de l’écran. Gênant aussi, on peut citer l’impossibilité d’arrêter la musique lue par Alexa. Enfin, la mise à jour rectifie le tir concernant un grésillement au niveau de l’entrée audio S/PDIF.

Pour installer la nouvelle mise à jour, il suffit de redémarrer le player Freebox Delta.

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Free Mobile retire de la data dans son forfait Série Free sans baisser le prix

Après en avoir augmenté le prix, l’opérateur de Xavier Niel baisse la quantité de data en roaming de son offre “Série Free”.

Free continue de tester les différentes formules possibles avec son forfait mobile “Série Free” lancé en juillet 2018 et intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, afin d’améliorer le mix d’abonnés de Free et contribuer à sa montée en gamme. 

Aujourd’hui, l’opérateur de Xavier Niel prolonge son offre Série Free jusqu’au 15 septembre 2020 sans augmenter le prix, qui reste donc à 13,99 euros par mois, mais en réduisant la quantité de data en roaming, qui passe ainsi de 10 à 8 Go. Pour le reste rien ne change. Free Mobile propose toujours 80 Go de data en France métropolitaine, ainsi que les appels, SMS et MMS en illimité.

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois ou avec data illimitée à 15,99 euros par mois pour les abonnés Freebox.

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Xiaomi Mi 10 Lite : test du smartphone 5G disponible à moins de 400 euros dans la boutique Free Mobile

Univers Freebox a pu tester le Xiaomi Mi 10 Lite à moins 400 euros, qui présente plusieurs arguments, dont celui d’être prêt pour les futurs réseaux 5G. Voici nos impressions après plusieurs jours de test.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi 10 Lite, qui s’affiche en ce moment à 369 euros sur la boutique de Free Mobile (au lieu de 399 euros) et dont un exemplaire 6 Go + 128 Go nous a été prêté par la marque :

 

 


Fiche technique du Xiaomi Mi 10 Lite : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,4 GHz (chipset Snapdragon 765G)
–   Mémoire vive : 6 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle AMOLED 6,57 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 ou 128 Go, non extensible par MicroSD


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : oui


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en carré) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 4 160 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 20 Watts (bloc 22,5 Watts inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sous l’écran
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juin 2020


 

Un smartphone qui fait son petit effet à la sortie de la boîte

Le Xiaomi Lite 10 Lite existe en trois finitions blanc céleste, bleu boréal et gris cosmos. Nous avons eu la seconde qui fait son petit effet au déballage. Un brin tape-à-l’oeil, mais sans faire dans l’exagération.

Cerise sur le gâteau, la coque de protection fournie est transparente et ne masquera pas ce joli design, tout en rendant le smartphone moins glissant, moins sujet aux traces de doigt et moins bancal sur le dos (à cause du bloc photo arrière qui dépasse).

La prise en main est en tout cas excellente, que ce soit avec ou sans cette coque.

Un écran AMOLED, mais pas de son stéréo

Côté écran, on a de l’AMOLED pour de belles couleurs et des noirs profonds, mais il faudra composer avec la petite encoche – qui se fait rapidement oublier, cela dit -, et faire l’impasse sur le taux de rafraîchissement 90 Hz.

Toujours concernant les couleurs, il sera d’ailleurs possible d’en régler la chaleur depuis les paramètres du smartphone. Pour finir sur l’écran, nous n’avons pas noté de problème de luminosité particulier pour l’usage en extérieur.

Au chapitre son, hormis l’absence de stéréo, il n’y a pas vraiment à se plaindre. Le son est puissant et profite d’un début de basses qui donne du relief, que ce soit en musique, en vidéo ou en jeu vidéo. Logé dans un coin d’étagère, le smartphone peut faire office d’enceinte d’appoint dans une soirée tranquille entre amis. Bien évidemment, cela ne vaudra pas une bonne enceinte Bluetooth.

À propos des écouteurs fournis, on est en terrain connu. Efficaces, ce sont en effet les mêmes que nous avions notamment avec le Redmi Note 7.

Leur branchement se fera ainsi en mini-jack. La prise se trouve dans la tranche supérieure. Vous aurez donc le choix entre le mini-jack ou le Bluetooth pour le branchement des dispositifs audio.

Une partie photo imparfaite, mais intéressante

Passons maintenant à la partie photo. Xiaomi ne prend pas de risques avec suffisamment de polyvalence pour satisfaire le plus grand monde. On a de l’ultra grand-angle, du mode portrait, de la macrophotographie et du mode nuit au programme. Le module à selfies ne s’en sort pas trop mal et permettra d’avoir des selfies assez convenables pour les réseaux sociaux.

Une photo en extérieur avec ses versions ultra grand-angle et zoomée 2x :

D’autres photos en extérieur (voyez d’ailleurs le complot en préparation chez les volatiles sur le second cliché):

Des photos avec le mode macro qui permet de s’amuser un peu :

Des photos avec du flou d’arrière-plan, en intérieur, puis en extérieur :

Des selfies en intérieur et en extérieur :

Des clichés de nuit en extérieur avec le mode dédié (notez d’ailleurs la seconde prise de vue avec ce mur crème devenant bleu, malgré plusieurs tentatives) :

Une photo le soir, en intérieur, avec peu d’éclairage et un sujet qui bougeait un peu :

Sauf à vouloir faire de la publicité pour votre smartphone sur les réseaux sociaux, vous pourrez désactiver le watermark activé par défaut. Dans l’application photo, il faut aller dans “Paramètres/watermark”.

 

Un smartphone dual-SIM, B28 et 5G

Le smartphone est compatible dual-SIM, avec deux logements SIM dans un tiroir de la tranche inférieure. Il fonctionne avec les réseaux 4G et 5G. Faute de réseau 5G au moment du test, nous n’avons pu tester que les débits en 4G, sur le réseau Free Mobile.

Voici des débits obtenus en intérieur :

 

Des débits en extérieur :

Notez que le Mi 10 Lite gère la 4G 700 MHz, soit la B28 chère à l’opérateur de Xavier Niel. Une bonne chose pour les abonnés Free Mobile.

Le jeu ? Une formalité !

Avec un chipset Snapdragon 765G, le jeu est sans surprise une pure formalité. Nos habituelles titres Asphalt 9 et Call of Duty Mobile se chargeaient rapidement et tournaient avec de beaux graphismes. Pas de chauffe dérangeante.

En revanche, l’autonomie fond doucement, mais sûrement. Avec 35 minutes de COD, nous sommes ainsi passés de 37 à 21 %. Amateurs de jeu mobile, vous voilà prévenus.

Côté benchmarks, l’outil AnTuTu positionne le Xiaomi Mi 10 Lite en dessous du OnePlus Nord doté du même chipset Qualcomm et au-dessus du Samsung Galaxy Note9, un ancien haut de gamme de fin 2018.

Disk Speed affichait quant à lui 529 Mo/s en écriture et 0,91 Go/s en lecture pour la mémoire interne. Voilà qui explique les installations et chargements rapides. D’ailleurs, pas d’extension par carte MicroSD au programme.

La journée, voire un peu plus

L’autonomie variera évidemment selon les usages de chacun. Dans notre cas, la batterie 4 160 mAh permettait de passer la première journée sans nous priver et d’envisager une demi-journée en plus.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h30 avec 100 % et arrivée le lendemain à 20h17 avec 19 %

– 55 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 50 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 40 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 55 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– SMS
– Photos
– 3 mises à jour d’applications
– 6 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– Une mise à jour du système pesant 910 Mo
– Tests de débits
– Benchmarks

Le Xiaomi Mi 10 Lite supporte la charge 20 Watts via l’USB-C, ce qui permet d’avoir une charge dans un temps raisonnable. Le constructeur d’ailleurs un bloc chargeur légèrement plus puissant de 22,5 Watts. Pas de charge sans-fil, par contre.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 10h16 : 5 %
– 10h21 : 12 %
– 10h26 : 22 %
– 10h31 : 31 %
– 10h36 : 40 %
– 10h41 : 50 %
– 10h46 : 59 %
– 10h59 : 84 %
– 11h04 : 88 %
– 11h09 : 92 %
– 11h30 : 100 %

L’interface MIUI avec une base Android 10

Le Xiaomi Lite 10 Lite profite d’une interface assez complète en termes de fonctionnalités (mode nuit, mode ne pas déranger, mode écran divisé, possibilité de cacher l’encoche, second espace, etc.).

  

 

Il y a un petit lot d’applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, qui ont le mérite d’être bien rangées et supprimables.

 

Les solutions de déverrouillage avancées, à savoir le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale, ont toujours fonctionné à merveille durant notre test.

Toujours au volet de la sécurité, nous avions enfin les patchs de sécurité de juin 2020 durant notre test.


VERDICT

Au regard de son prix sous la barre des 400 euros, le Xiaomi Mi 10 Lite se présente comme une belle proposition à défaut d’être parfait en tous points.

En main ou à l’oeil, il respire la qualité. Au quotidien, il offre un bel écran, de belles photos, de bonnes performances en multimédia, une autonomie convenable et une charge assez rapide. Compatible avec la 4G 700 MHz, il s’annonce également prêt pour la 5G. Cerise sur le gâteau, le constructeur n’est pas avare en accessoires, fournissant une coque de protection (de base, mais bien là), de bons écouteurs et un chargeur plus puissant que nécessaire.

En étant tatillon, on pourrait lui reprocher le son pas stéréo et l’absence de charge sans-fil, mais cela reste acceptable sous la barre des 400 euros. Il y a l’absence d’extension MicroSD.


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Tensions autour d’une antenne : un politique s’en mêle pour désamorcer la situation

Un politique intervient pour éviter l’enlisement d’un conflit entre Free et des riverains refusant l’implantation d’une antenne-relais. Pourtant dans son bon droit, l’opérateur de Xavier Niel serait prêt à venir discuter d’alternative.

La tension a bien du mal à redescendre à Montjuvin, dans le département de Haute-Loire, avec l’installation d’une antenne-relais censée d’améliorer la couverture réseau mobile sur la base de voile de Lavalette et de son parking. Ayant obtenu le soutien de la nouvelle municipalité, les riverains disent vouloir “défendre leur cadre de vie”, déplorant une installation trop proche des habitations, un impact sur la valeur de l’immobilier à proximité et un pylône de 40 mètres peu esthétique en guise d’accueil pour les visiteurs. La tension monte d’un cran alors que Free serait en droit de démarrer les travaux dès le 9 septembre.

Une intervention pour faire bouger les lignes

Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, a décidé d’intervenir pour tenter de désamorcer la situation. “Il faut gagner du temps et trouver comment repousser la date limite de l’installation de cette antenne afin que Free ait moins de pression et soit plus détendu pour discuter”, indiquait-il ce dimanche 6 septembre, lors d’un rassemblement de riverains. Confirmant que “la situation juridique est tordue”, il a affiché son intention de mettre son “poids en entier dans la balance”.  Et de lâcher : “Free a besoin de nous, Région, et je leur ai dit que s’ils cherchaient à passer en force sur ce dossier, ils me trouveraient sur leur chemin. Le message a été, je crois, bien reçu”. Il a toutefois replacé les choses dans leur contexte, à savoir les obligations liées aux New Deal Mobile : “il faut reconnaitre que Free a une pression financière et qu’il est engagé sur des délais pour développer son réseau 4G sous peine d’astreintes financières importantes”. D’où la possibilité d’aides, “en cas de surcoût”, liés à des solutions alternatives.

En parallèle, les opposants ont poursuivi leur action. Le cabinet d’avocats sollicité par les opposants évoque d’ailleurs des “éléments tangibles” à exploiter dans le cadre de cette affaire. Spécialisé dans les questions d’antennes, il conseille d’ailleurs depuis des années l’association Robin des Toits. Aux sujets des opposants, Laurent Wauquiez a promis des aides financières. “Je n’admets pas que vous engagiez de l’argent de votre poche alors que votre combat est un combat plus large pour préserver ce site qui, s’il n’est pas totalement naturel, est un des joyaux de notre département et qu’à ce titre il mérite d’être préservé. Je m’engage à ce que cela ne vous coûte rien personnellement”, a-t-il en effet indiqué.

Une rencontre prévue en septembre

Si Free n’hésite pas à aller devant les tribunaux quand il en a marre et pourrait dans le cas présent démarrer les travaux du fait l’expiration du délais d’opposition, l’opérateur aurait ici accepté une rencontre courant septembre afin de discuter d’alternatives. Rappelons d’ailleurs que l’installation avait été un temps envisagée au village Chenereilles, avant d’être proposée au village de Montjuvin. Un choix permettant au passage d’améliorer la couverture du village de Verne, où la couverture de l’opérateur de Xavier Niel est jugée faible.

Source : Zoomdici

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Les forts investissements annoncés par Iliad/Free dans les réseaux inquiètent le marché

Difficile de satisfaire tout le monde. Les opérateurs télécoms investissent massivement, ce qui améliore les performances de leurs réseaux, mais inquiètent les investisseurs. Le titre d’Iliad en fait les frais.

Malgré l’annonce de bonnes performances commerciales et financières au cours du premier semestre 2020, avec notamment 243 000 nouveaux abonnés fibre optique et 80 000 nouveaux abonnés dans le mobile en France, qui plus est sur fond de ralentissement de l’économie en raison de la crise sanitaire, le titre Iliad a chuté en Bourse. Le jour de l’annonce des résultats, il démarrait à 184 euro, pour terminer à 174,40 euros, soit une baisse de 5,3 %. À l’heure où sont écrites ces lignes, le titre du groupe s’affiche à 173,10 euros, en baisse de 0,49 %.

Cette baisse du titre Iliad à la Bourse de Paris s’explique par les inquiétudes du marché concernant les investissements dans les réseaux. “Le groupe a indiqué durant une conférence téléphonique qu’il prévoyait de maintenir un niveau d’investissement très élevé cette année et encore plus en 2021, alors que le consensus attendait une nette réduction”, souligne Stéphane Beyazian, analyste chez MainFirst. “La demande des Français pour la fibre et le succès du lancement de la Freebox Pop (NDRL : 100 000 en 2 mois) nous amènent à revoir à la hausse nos objectifs sur le déploiement de la fibre optique”, a expliqué Thomas Reynaud, le directeur général d’Iliad. Le groupe tablait en effet sur 2 millions d’abonnés fibre d’ici fin 2020 et 4,5 millions en 2024. Ses objectifs sont désormais de 2,8 millions et 5 millions respectivement.

Or, au regard des investisseurs, ces investissements accrus dans les réseaux contrebalancent les bonnes performances commerciales en se répercutant sur la trésorerie disponible du groupe. Le solde d’Ebitdaal pour 2020 est attendu à plus de 700 millions d’euros, contre plus de 800 millions d’euros auparavant. Il est également attendu à plus de 900 millions d’euros, contre plus d’un milliard d’euros auparavant. 

Il faudra forcément investir

Avec la volonté du gouvernement de généraliser la fibre optique d’ici 2025 et de ne pas prendre trop de retard dans la 5G pour laquelle les enchères sont prévues pour fin septembre, les investissements de la part des opérateurs ne sont pas prêts de ralentir. Pas dans l’absolu en tout cas.

En début d’année, Stéphane Richard, patron d’Orange indiquait ainsi “nos investissements commenceront à décroître en 2022”. Sans compter que la 5G n’est pas citée dans le plan de relance récemment présenté par le gouvernement et prévoyant environ 7 milliards d’euros pour le numérique.

Source : Challenge

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4G : Free en a marre et passe à l’offensive face à une municipalité

Dans le cadre d’une habituelle opposition face à l’installation d’une antenne-relais, Free passe à l’attaque. Il assigne une municipalité en justice.

Depuis avril 2019, Free envisage l’installation d’une antenne-relais à Saurat, dans le département de l’Ariège. L’opérateur de Xavier fait toutefois face à une opposition se traduisant par la publication d’un arrêt empêchant les travaux pour l’implantation d’un pylône de 36 mètres de haut.

Les riverains n’en veulent pas, évoquant une trop grande proximité avec les habitations et des élevages, mais aussi une atteinte à l’esthétique du paysage. D’autant plus que, selon eux, Free “n’apporte en aucun cas la preuve d’une amélioration des services” et “ne mutualise pas avec les autres opérateurs”.

“Ce qu’ils veulent, c’est éviter une longue procédure et démarrer les travaux le plus rapidement possible”, indique Jean-Luc Rouan, le maire de Saurat, à nos confrères de La Dépêche. Le dossier traînant en longueur, la Free a en effet décidé, après plusieurs refus, de passer par la voie judiciaire. L’opérateur s’est tourné vers le tribunal administratif de Toulouse et a assigné la municipalité, afin de faire suspendre l’arrêté en question. L’audience est prévue le 10 septembre prochain.

Source : La Dépêche

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Freebox Pop et mini 4K : une alternative pour profiter de l’attrayant pack Téléfoot + Netflix

L’offre Téléfoot + Netflix n’est pas proposée pour le moment aux abonnés Free. Il est toutefois possible d’en profiter pour ceux disposant d’une Freebox Pop et mini 4K, à travers l’application désormais disponible sur Android TV.

À la suite d’un accord signé avec Mediapro, la chaîne Téléfoot est arrivée fin août sur les Freebox. Elle est disponible sur le canal 43 ou le canal 107 pour la version 4K. Les abonnés ne se voient toutefois proposer que l’abonnement à 25,90 euros par mois avec un engagement de 12 mois et l’abonnement à 29,90 euros par mois sans engagement, avec une inscription passant seulement par l’interface TV, comme l’a confirmé l’opérateur. De plus, pas d’offre Téléfoot + Netflix à 29,99 euros par mois. Free a aussi annoncé l’impossibilité pour les abonnés Freebox disposant d’un abonnement Netflix dans leur forfait Freebox de lier leur abonnement Netflix avec celui de Téléfoot.

Il existe toutefois une alternative officielle permettant aux abonnés Freebox Pop et Freebox mini 4K sous Android TV de bénéficier de ce pack attrayant. En effet, l’application Téléfoot est désormais disponible sur le Play Store. Première constatation : celle-ci ne permet pas de souscrire directement un abonnement Téléfoot, mais permet une simple connexion au service avec ses identifiants. Par conséquent, pour accéder au pack Téléfoot + Netflix en étant abonné Freebox Pop et Freebox mini 4K, il suffit de s’abonner au pack Téléfoot + Netflix depuis le site Internet de Téléfoot et d’entrer ensuite les identifiants depuis l’application Téléfoot préalablement téléchargée.

L’offre Téléfoot + Neftlix est soumise à un engagement d’un an. Incluant l’offre Netflix dans sa version Standard (2 écrans en simultané et HD) à 11,90 euros par mois, elle ramène le coût de l’offre Téléfoot (Ligue 1, Ligue 2, Ligue des Champions et Europa League pendant un an sur tous les écrans, avec 4K) à 18 euros, au lieu de 25,90 euros. Pour ceux déjà abonnés à Netflix, il est d’ailleurs recommandé d’utiliser la même adresse e-mail pour créer son compte Téléfoot. La facture sera alors gérée par Mediapro.

Des accords trouvés avec Bouygues Telecom et SFR, mais pas encore avec Orange

Pour rappel, la chaîne Téléfoot de Mediapro proposera en direct et en exclusivité l’essentiel de la Ligue 1, soit 80% des matchs, dont les dix plus grandes affiches et le match du dimanche soir. Le tout avec une offre magazine étoffée, en semaine et le week-end, incluant le grand magazine du dimanche soir et l’éclairage des plus grands experts. La chaîne diffusera également 8 rencontres par journée de Ligue 2.

Mediapro a également signé pour la distribution sur les box de Bouygues Telecom et SFR. Les négociations sont toujours en cours avec Orange.

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Iliad Italia débarquera sur le marché des box Internet avant l’été 2021 et continue de cartonner sur le mobile

La filiale italienne d’Iliad poursuit son petit bonhomme de chemin. Malgré la crise sanitaire, l’opérateur enregistre une nouvelle performance commerciale dans le mobile et un bond important de son chiffre d’affaires. Il prépare également l’arrivée de ses offres fixe.

Iliad ne cache pas sa satisfaction concernant sa filiale italienne et annonce “une très bonne performance commerciale”. Lors de la présentation des résultats financiers et commerciaux ce matin, le groupe a annoncé l’arrivée des offres fixe avant l’été 2021 de l’autre côté des Alpes. Rappelons qu’en juillet dernier, Iliad a signé un accord avec Open Fiber. Il pourra ainsi utiliser son réseau fibre, afin de proposer des offres fixes au grand public et aux entreprises dans les 271 villes où investit Open Fiber, dont les principales villes italiennes, et avec un débit maximal de 1 Gbit/s.

L’arrivée sur le fixe permettrait à Iliad Italia d’augmenter son revenu moyen par abonné (ARPU), trop faible avec les abonnements mobiles, alors que l’itinérance avec Wind/3 lui coûte cher. Un meilleur ARPU permettrait également d’augmenter les capacités d’investissements et de poursuivre la “Rivoluzione” sur le marché italien très concurrentiel.

Poursuite de la croissance dans le mobile

À l’issue du premier semestre 2020, Iliad Italia a atteint 6,26 millions d’abonnés dans le mobile, grâce à une progression 454 000 recrutements au cours du second trimestre 2020. Au 31 mars 2020, elle revendiquait 5,806 millions d’abonnés mobile. Soit un gain d’un million d’abonnés sur les 6 premiers mois de l’année. Après deux ans d’activité, la branche italienne d’Iliad détient ainsi 8 % du marché italien.

Concernant le nombre de sites activés, l’objectif a été révisé à plus de 5 000 d’ici fin 2020. Au 30 juin 2020, 5 800 sites étaient équipés et 3 980 activés. 900 sites ont été équipés et 1 200 activés au cours du deuxième trimestre 2020. Rappelons que l’objectif est de 10 000 à 12 000 à fin 2024.

Ci-dessous, une carte montrant d’ailleurs la répartition des sites actifs en Italie à fin juin 2020 :

15 boutiques et près de 1 000 bornes de distribution

Iliad s’active pour déployer son infrastructure réseau en Italie, mais également son réseau distribution qui se compose de 15 boutiques dans les grosses villes du pays. L’opérateur peut en outre compter sur un réseau de près de 1 000 bornes de distribution de cartes SIM au sein de plus de 360 kiosques situés dans des zones de chalandises fréquentées, mais aussi sur un réseau d’envergure national de revendeurs permettant aux abonnés de recharger leur offre mobile. Sans oublier d’évoquer la possibilité de souscrire à une offre mobile en ligne, depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone, et de recevoir la carte SIM par voie postale.

Chiffre d’affaires en hausse de 68 %

Au cours du second trimestre 2020, Iliad Italia a enregistré un chiffre d’affaires de 162 millions d’euros, en hausse de 68,2 % par rapport à la même période en 2019, où il était question de 96 millions. Ramené au premier semestre 2020, le CA atteint les 312 millions d’euros, en progression de 76 % par rapport au premier semestre 2019. Une belle performance au regard du contexte de crise sanitaire, à laquelle se sont ajoutées “des offres ciblées et très agressives de la part  des  concurrents”, note Iliad. À plus long terme, Iliad vise les 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires.

S’expliquant par “les charges d’itinérance liée à une hausse de la base d’abonnés et à la hausse de la consommation moyenne et les charges de réseau liées à l’augmentation du parc de sites équipés”, la perte d’EBITDAaL enregistrée au cours du second trimestre 2020 s’élève à 84 millions d’euros. Celle-ci est toutefois en baisse de 22,5 % par rapport à 2019. L’année dernière, à la même période, elle atteignait en effet les 108 millions.

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Choc des smartphones à 199 euros proposés par Free : lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement quatre smartphones à 199 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. 

Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Xiaomi Redmi Note 9, Nokia 5.3, Nokia 6.2 et Oppo A9 2020, tous les quatre proposés à 199 euros.

L’écran : le Xiaomi Redmi Note 9, sans hésitation

Commençons par l’écran, un critère sur lequel Xiaomi se démarque clairement avec son Redmi Note 9. Il propose en effet une définition Full HD+, opte pour un poinçon discret au lieu de l’encoche et profite d’une protection Gorilla Glass 5. On a d’ailleurs une diagonale de 6,53 pouces, qui évitera d’être à l’étroit.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, FHD+, IPS, Gorilla Glass 5 et poinçon)
  2. Nokia 6.2 (6,3 pouces, FHD+, IPS, Gorilla Glass 3 et encoche goutte d’eau)
  3. Oppo A9 2020 (6,5 pouces, HD+, IPS, Gorilla Glass 3 et encoche goutte d’eau)
  4. Nokia 5.3 (6,55 pouces, HD+, IPS, Gorilla Glass 3 et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : un modèle moins intéressant que les autres

Le Redmi Note 9 embarque un chipset Helio G85, quand les Nokia 5.3 et Oppo A9 2020 optent pour la plate-forme Snapdragon 665 et le Nokia 6.2 pour une plate-forme Snapdragon 636. Si vous envisagez du jeu récent, nous vous conseillons les trois premiers smartphones, dont les chipsets sont plus récents et plus performants. Évitez en revanche le dernier, dont le chipset s’annonce plus poussif. Nous l’avions constaté lors d’un test.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (chipset MediaTek Helio G85)
  2. Oppo A9 2020 (chipset Snapdragon 665)
  3. Nokia 5.3 (chipset Snapdragon 665)
  4. Nokia 6.2 (chipset Snapdragon 636)

La photo : les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A9 2020 à privilégier

Suivant la tendance, les Xiaomi Redmi Note 9, Nokia 5.3, Nokia 6.3 et Oppo A9 2020 multiplient les capteurs pour assurer de la polyvalence en photo, avec notamment des modules pour l’ultra grand-angle et le mode portrait. 

Les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A9 2020 se démarquent avec leur capteur principal de 48 Mégapixels, pour des clichés plus détaillés. Ils proposent également des modules 13 et 16 Mégapixels pour les selfies, quand les Nokia 5.3 et Nokia 6.3 se contentent de modules 8 Mégapixels.

Notre classement :

  1. Oppo A9 2020 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 13 Mégapixels à l’avant)
  3. Nokia 6.2 (16/8/5 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)
  4. Nokia 5.3 (13/5/2/2 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : le Xiaomi Redmi Note 9 coche toutes les cases

Sur le créneau de l’autonomie, les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A9 2020 promettent beaucoup, le premier ayant une batterie 5 020 mAh et le second une batterie 5 000 mAh. Le premier se montre toutefois plus convaincant avec une charge 18 Watts qui réduira le temps de charge (contre 10 Watts).

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (5 020 mAh ; 18 Watts)
  2. Oppo A9 2020 (5 000 mAh ; 10 Watts)
  3. Nokia 5.3 (4 000 mAh ; 10 Watts)
  4. Nokia 6.2 (3 500 mAh ; 10 Watts)

L’interface : c’est une affaire de goût

Dernier aspect, et non des moins importants : la partie logicielle. Ceux qui voudront absolument l’expérience Android telle que voulue par Google préféreront les Nokia 5.3 et 6.2. Les autres pourront envisager le Xiaomi Redmi Note 9 avec l’interface MIUI très complète ou bien l’Oppo A9 2020 avec l’interface ColorOS elle aussi très complète, mais s’étant révélée un peu brouillonne durant nos tests de smartphones de la marque.


Le choix d’Univers Freebox

Bel écran, bonnes performances, polyvalence en photo, grosse autonomie, charge rapide et interface complète. Xiaomi a réussi à cocher pas mal de cases avec son Redmi Note 9, tout en restant sous la barre des 200 euros. Il apparaît donc à nos yeux comme le choix à privilégier. Vous pouvez d’ailleurs retrouver le test complet du Redmi Note 9 que nous avons réalisé.


 

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