Auteur : Maxime Raby

Free, Orange, SFR et Bouygues : qui propose le meilleur débit sur Netflix ?

SFR THD affiche une nouvelle fois le meilleur débit sur Netflix en France au cours du mois de mars.  En baisse, Bouygues Telecom n’est plus ex aequo et prend la seconde place.

Début 2021, l’indice ISP de Netflix a fait son grand retour après une pause de 10 mois et une succession de confinements à travers le monde. Il est à nouveau possible de comparer chaque mois les performances du service de SVOD chez les différents opérateurs, aux heures de grandes écoutes.

Après avoir dévoilé les scores des telcos français durant le mois de décembre, puis janvier et février, le mastodonte américain affiche aujourd’hui les performances de mars.

Au classement, SFR THD conserve la première place un débit de 3,4 Mbits/s comme lors du mois précédent. A égalité en février, Bouygues Telecom arrive en seconde position avec un débit de 3,2 Mbits/s contre 3,4 Mbits/s précédemment. L’opérateur se retrouve désormais au même niveau qu’Orange, dont le débit moyen reste stable. Derrière, pas de changement, Free stagne à la troisième avec avec un débit inchangé de 3 Mbits/s. Toujours à la dernière place, SFR en xDSL fait du surplace avec 2,8 Mbits/s. Globalement, les écarts entre les opérateurs sont minimes.

 

Pour les habitués, après avoir déployé de nouveaux formats d’encodage fournissant un contenu de qualité identique ou supérieure à partir de fichiers de taille réduite (ou débit), Netflix a intégré en janvier 2021 son rapport d’indice de performance. Le classement des FAI a notamment été revu en arrondissant les résultats à 0.2 Mbit/s près, au lieu de 0.01 Mbit/s auparavant.

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Mutualisation : face à “une politique publique défaillante”, Free demande plus “d’engagements volontaires” à Orange, SFR et Bouygues Telecom

 

 

Free continue de prôner une mutualisation en zones grises qu’il juge être un échec cuisant. L’opérateur demande une mobilisation des opérateurs et espère un réveil de l’Etat sur le sujet.

A l’heure où les telcos partagent de nombreux sites de manière passive, Free souhaite aller plus loin dans les zones grises, c’est-à-dire là où un seul opérateur couvre mais pas tous.

Ces zones jugées encore trop nombreuses par l’opérateur de Xavier Niel, ne sont pas suffisamment assujetties à la mutualisation. “Cela fonctionne bien dans les zones blanches, les opérateurs arrivent à mettre leurs antennes ensemble, en revanche c’est un vrai échec dans les zones grises”, a fait savoir Maxime Lombardini, vice-président de Free lors de la conférence “Territoires connectés” de l’Arcep le 8 avril dernier.

En effet, les uns après les autres, les telcos construisent des pylônes voisins de sites existants dans les campagnes françaises. Une situation qui découle d’une “politique publique sur le sujet défaillante”, dénonce l’opérateur.

“Aujourd’hui il est vrai que deux opérateurs ont fait un réseau en commun, SFR et Bouygues Telecom, et ça j’imagine que cela fonctionne mais aller au-delà de ça, c’est très difficile. Free le vit, on est obligé bien souvent de construire à côté de nos concurrents en zones grises en particulier à défaut de réussir à mutualiser avec eux”, explique Maxime Lombardini.

L’Etat doit exercer une pression

Pourtant la mutualisation sur le fixe et en particulier sur la fibre s’avère être un vrai succès. Sur le mobile, c’est une toute autre histoire  « beaucoup reste à faire », constate Free. “C’est vraiment entre les mains de la puissance publique car si on laisse les acteurs entre-eux, il ne se passe pas grand chose, il y a cette idée fausse que la mutualisation est un marchepied pour Free Mobile alors que l’opérateur a un réseau qui est presque l’égal de ses trois concurrents et qu’il  déploie très vite”, poursuit le vice-président de Free.

Free demande plus d’engagement à ses rivaux, Bouygues Telecom répond

L’opérateur demande ainsi de faire un bilan sans concession et de voir ce qui peut être fait comme par exemple “un engagement volontaire des opérateurs” comme c’est le cas sur l’environnement car à « chaque fois qu’on installe un pylône de 35 mètres de haut, cela n’est pas très réjouissant d’un point de vue paysager et économiquement c’est une aberration ».

Selon lui, tous les types de mutualisation fonctionnent. Le calme plat dans certaines zones laissent donc à penser que des opérateurs n’y voient aucun intérêt. De quoi faire réagir la secrétaire générale de Bouygues Telecom, Liza Bellulo : « Nous avons proposé à Free la cession de 3155 sites, il en a pris pour le moment un quart. Dans le cadre de notre accord de mutualisation, nous avons libéré des points hauts et s’il souhaite en prendre davantage il sera le bienvenu ».

Fin 2020, Free a proposé lors ‘une audition devant le Sénat  “d’allumer les fréquences des opérateurs sur les sites existants dans ces zones grises ” afin de régler le problème de couverture très rapidement. L’opérateur continue de faire passer le message.

 

 

 

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Free : la 4G progresse en France mais « 24 mois pour déployer un site, c’est court et compliqué »

Zones protégées, opposition de riverains et viabilisatio. Lors de la conférence annuelle “Territoires Connectés” de l’Arcep, Free est revenu sur les obstacles auxquels les opérateurs doivent faire face dans le déploiement de la 4G.

Les opérateurs arrivent petit à petit à éradiquer les zones blanches avec leur réseau 4G, L’objectif fixé pour la fin de l’année 2020 était de couvrir 75 de ces dernières, celui-ci est rempli avec une couverture de 80%. La connectivité sur le territoire s’améliore, le New Deal de janvier 2018 porte donc ses fruits. La conférence “Territoires Connectés” de l’Arcep le 8 avril dernier, a été l’occasion de faire le point . Au rang des bonnes nouvelles, la généralisation de la 4G à l’ensemble des sites mobiles se parachève. “Au quatrième trimestre 2020, les opérateurs ont chacun équipé un millier de sites nouveaux ou existants en 4G. Ils atteignent ainsi entre 97% et 99% d’équipements en 4G de leurs sites hors ceux des programmes « zones blanches – centre- bourgs » ” a salué l’Arcep.

Sur le processus de couverture ciblée, visant à améliorer de manière localisée et significative la couverture de zones là où besoin d’aménagement numérique est identifié, « nous arrivons maintenant à près de 3000 pylônes désignés par arrêté, donc nous sommes en train de faire un pas considérable », a déclaré Cédric O, ministre du Numérique. Et ‘annoncer l’ajout d’une liste de de 339 nouveaux sites identifiés en 4G en zone rurale.

Des freins… raccordements électriques trop longs, opposition citoyenne, zones protégées

Jusqu’à présent la majorité de ces zones identifiées ont bénéficié d’une mutualisation des pylônes et des antennes des quatre opérateurs. Les opérateurs ont deux ans pour mettre en service ces sites, et 579 l’étaient fin 2020. Un retard a été constaté sur une dizaine de sites.

« 24 mois pour déployer un site, c’est court et compliqué », a martelé  Maxime Lombardini, le vice-président d’Iliad-Free. Les obstacles de déploiement sont multiples aux yeux de l’opérateur : “On a très peu de terrains viabilisés proposés par les collectivités. On est souvent sur des zones protégées et les délais pour obtenir des autorisations sont souvent très longs. La plupart des retards sont liés à des problèmes d’autorisations sur ce type de zones”.

Reste aussi à composer avec la mobilisation citoyenne : « nous avons aussi à gérer collectivement des positions de riverains. On est dans ce paradoxe que nous ne choisissons pas les zones, que celles-ci ont un besoin de couverture mais quand l’ouverture arrive, on peut se retrouver face à de très fortes oppositions. On essaie de le gérer intelligemment avec les élus locaux mais c’est un point à prendre en compte. On a été surpris car cela arrive souvent très tard dans le dispositif, l’opposition se matérialise quand on voit arriver le pylône de 25 ou 35 mètres”, a également fait savoir Maxime Lombardini.

De son côté Bouygues Telecom pointe une autre difficulté à savoir obtenir la viabilisation des sites parce que “les raccordements avec Enedis sont souvent très chers et très longs. On ne peut pas les commencer avant d’avoir obtenus les autorisations d’urbanisme. Nous trouvons en revanche très bien venu qu’Enedis rejoigne maintenant le comité de pilotage mobile”, a déclaré Liza Bellulo, secrétaire générale de l’opérateur.

Les décalages et les retards sont très souvent dus à la difficulté de raccordement électrique. Plus minoritaires mais parfois impactant, les problèmes de fonctionnement de certaines petites communes durant le premier confinement. Les enquêtes du gendarme des télécoms montrent également plusieurs blocages des opérateurs au niveau des collectivités locales sur le choix de l’implantation des pylônes dans ces zones rurales.

 

 

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Free va dégainer une nouvelle offre spéciale

Free Mobile dégainera ce 12 avril à 19h une nouvelle vente privée sur Veepee.fr.

Quel modèle succèdera à l’iPhone 8 reconditionné ? Le rendez-vous est pris. Free Mobile s’apprête à lancer demain une nouvelle offre spéciale sur le site d’e-commerce Veepee. Il s’agira une nouvelle fois de son forfait Free Mobile 150 Go en 4G et 4G+ proposé au tarif habituel, soit 19,99 euros par mois ou 15,99 euros par mois pour les abonnés Freebox (et même 9,99€/mois pour les abonnés Pop). Le tout avec un smartphone offert.

Si l’image d’illustration ne donne pas de détail sur la nature du mobile en question, cette dernière a déjà été utilisée en février dernier par l’opérateur. Free Mobile avait alors laissé pour la première fois le choix entre plusieurs modèles de plusieurs marques à savoir le Nokia 5.3, l’Oppo A53s ou le Xiaomi Redmi Note 9S, d’une valeur de 199 euros chacun. Reste à savoir ce que le trublion proposera cette fois-ci.

 

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Découvrez la ville où Free va ouvrir un nouveau Free Center

L’opérateur prévoit d’inaugurer prochainement un second Free Center à Orléans.

Et de deux ! Après avoir ouvert en 2014 une boutique rue de la République à Orléans, Free prévoit de récidiver bientôt dans la préfecture du Loiret, annonce t-il ce matin. Cette fois, le nouveau Free Center prendra place au nord de la ville, au sein du centre commercial Cap Saran situé au cœur du pôle commercial des Cent Arpents. L’occasion pour Free de lancer les recrutements, un conseiller(e) commercial(e) est actuellement recherché.

Après avoir inauguré sa 113e boutique le 2 avril à Roanne dans le département de la Loire, Free poursuit sa stratégie de quadrillage du territoire avec son réseau de distribution. L’opérateur va franchir prochainement le seuil des 120 boutiques qu’il espérait initialement atteindre fin 2020.

Des inaugurations sont ainsi prévues prochainement dans un grand nombre de communes : Châlons-en-Champagne (Marne), Flins-sur-Seine (Yvelines), Saint-Priest (Rhône), Pau (Pyrénées-Atlantiques), Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Toulouse (Haute-Garonne), Sables d’Olonne (Vendée), Marseille (Bouches-du-Rhône), Amiens (Somme), Montauban (Tarn-et-Garonne) et Semécourt (Moselle).

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Free se dote d’un nouveau talent à la tête du design, “des produits digitaux vont être repensés et de nouveaux arriveront”

Le directeur artistique et product designer, Thomas Vimare, devient le nouveau numéro 1 du design chez Free.

“Je suis très heureux de commencer une nouvelle aventure à Free-Iliad en tant que responsable du design ! Je suis reconnaissant de rejoindre une entreprise aussi percutante et j’ai hâte de créer des produits que des millions de personnes utilisent tous les jours”, a annoncé le 6 aavril sur Twitter, Thomas Vimare. 

Titulaire d’une licence en Multimédia au CIFACOM, ce designer a officié pendant près de 6 ans chez Londscale pour “construire des expériences numériques et intelligentes sur le web, le mobile, la télévision ou en magasin pour divers clients comme des entreprises du CAC 40 et des startups”. Après avoir rejoint Sounds en tant que lead designer puis Kard, Thomas Vimare a plus récemment signé avec Powder en juillet 2020.

 

 

Free Ligue 1 Uber Eats et une kyrielle d’autres projets

Son arrivée chez Free n’est pas surprenante, l’opérateur figure parmi ses clients. En effet, Thomas Vimare a travaillé en freelance sur le design de Free Ligue 1 Uber Eats, l’application de foot de Free. “Cela a été une expérience super enrichissante et le fait de rendre accessible le foot au plus grand nombre via une application mobile simple et a tout petit prix (gratuit même pour la première saison) était un sujet important pour moi. On va d’ailleurs continuer à l’améliorer pour la saison prochaine et ça sera un de mes nombreux sujets chez Free”, nous confie t-il.

Ses missions seront diverses et variées au sein du groupe Iliad. L’une des principales sera de “travailler en collaboration avec les équipes tech et design afin de maintenir une cohérence et une qualité entre les différents produits Free. Que ce soit pour le web, les applications, l’univers TV et les boutiques, l’objectif pour l’opérateur est de proposer aux abonnés une expérience utilisateur optimale et adaptée sur chacun de ses supports de manière homogène, Thomas Vimare aura donc un rôle à jouer dans ce sens. “Certains produits digitaux vont être repensés, optimisés et de nouveaux viendront s’ajouter aux offres Free”, lance t-il. De quoi mettre l’eau à la bouche.

 

 

 

 

 

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Free lance une nouvelle mise à jour de son interface TV Oqee sur la Freebox Pop

Avis aux abonnés Freebox Pop et Delta Pop, Free déploie une nouvelle mise à jour de son interface TV Oqee. 

Une semaine après avoir annoncé le lancement de son application Oqee sur les Smart TV Samsung, Free déploie une mise à jour de son interface TV maison sur le Player Pop.

Pour l’heure, l’opérateur n’a pas détaillé les éventuelles nouveautés, améliorations et corrections apportées. Dans le même temps, une nouvelle version de Disney+ a également été déployée.Pour bénéficier de ces deux nouvelles mises à jour, il suffit de redémarrer le Player Pop.

Pour rappel, Free a corrigé dans une précédente mise à jour l’écran noir en sortie de veille et ajouté la mosaïque des chaines régionales sur le canal 30 mais aussi celle des déclinaisons régionales de France 3 sur le numéro 300.

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Un nouveau Free Center est en approche, à vous de deviner où

L’ouverture d’un nouveau Free Center se prépare. Il suffit de remettre les lettres dans l’ordre pour trouver la ville sur laquelle Free a jété son dévolu.

Après avoir inauguré sa 113e boutique le 2 avril à Roanne dans le département de la Loire, Free poursuit sa stratégie de quadrillage du territoire avec son réseau de Free Centers. Ce matin, l’opérateur annonce l’ouverture prochaine d’un nouvel espace de découverte et de ventes permettant de souscrire aux offres Freebox dont la nouvelle Freebox Pop, mais aussi d’essayer de nouveaux smartphones et surtout de recevoir l’assistance des Free Helpers. Comme à l’accoutumée, l’opérateur ne dévoile pas le nom de la ville choisie, préférant lancer une énigme cette fois sous forme de partie de Scrabble. C’est au internautes de jouer.

L’opérateur va franchir prochainement le seuil des 120 boutiques qu’il espérait initialement atteindre fin 2020. Des inaugurations sont ainsi prévues prochainement dans un grand nombre de communes : Châlons-en-Champagne (Marne), Flins-sur-Seine (Yvelines), Saint-Priest (Rhône), Pau (Pyrénées-Atlantiques), Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Toulouse (Haute-Garonne), Sables d’Olonne (Vendée), Marseille (Bouches-du-Rhône), Amiens (Somme), Montauban (Tarn-et-Garonne) et Semécourt (Moselle).

Les trois missions d’un Free Center

Les boutiques de l’opérateur assurent 3 missions convergentes. La première est “d’élargir la base d’abonnés via le recrutement de nouveaux clients ou la conversion d’abonnés fixes existants vers le mobile et réciproquement”. Le seconde coule de source, à savoir “assurer une mission de Service Après-Vente auprès des abonnés existants et rassurer par la présence physique”. Et enfin de communiquer sur la marque Free en matérialisant sa présence à proximité des abonnés tout en promouvant l’intérêt de son offre.

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Free Mobile baisse la data de son forfait “Série Free”, toujours affiché à moins de 10€

L’opérateur propose depuis ce matin son offre Série Free avec 70 Go de data en France métropolitaine et 10 Go en roaming, au prix de 9,99€ pendant 1an.

Un peu moins de data au même prix. Jusqu’au 20 avril prochain Free Mobile décide de baisser de 10 Go le volume de données inclus dans son forfait Série Free. Durant cette période, les nouveaux abonnés bénéficieront ainsi d’une offre avec 70 Go de data en France métropolitaine et 10 Go en roaming, le tout toujours à 9,99€/mois pendant 1 an. Le le prix de change pas. 

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le nouveau Forfait Free 5G 150 Go à 19,99 euros par mois. 

 

A titre de comparaison, Sosh, la marque d’Orange, tente de se démarquer avec deux offres limitées, 40 Go à 12,99€ et 80 Go à 15,99€. Red by SFR propose actuellement un forfait 60 Go à 13€, 100 Go à 15€/mois et 130 Go à 19€ mais devrait changer de formules dans la journée. Enfin, Bouygues Telecom affiche une offre 60 Go à 12,99€, 100 Go à 14,99 euros et 160 Go à 19,99€ par mois. A noter que les marques de l’opérateur au carré rouge et celui de Martin Bouygues ripostent à chacune des attaques en gigas de leur adversaire. 

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Free Mobile : rafale de promos sur les smartphones Xiaomi

En plus de Samsung, Free Mobile applique une kyrielle de promotions sur les modèles de Xiaomi dans sa boutique en ligne.

Sa formule gagnante, un très bon rapport rapport qualité-prix. Depuis plusieurs années, Xiaomi ne cesse de séduire le coeur des Français. Une nouvelle période de baisses de prix, pourrait bien convaincre de nouveaux abonnés Free Mobile de passer à la caisse.

Le Xiaomi Mi 10T 5G voit actuellement son prix baisser de 80€ à 419€ en achat comptant. Le paiement en 3 fois sans frais est aussi proposé, soit 107€ à la commande puis 3 fois 104€.

Pour sa part, le Redmi Note 9T bénéficie d’une promo de 50€, son prix passe à 219€, le paiement en 3 fois ou 24 mois sans frais est proposé pour ce modèle. Tout comme le Redmi Note 9S affiché à 189€ au lieu de 199€.

Enfin les Redmi 9 et 9A profitent respectivement d’une réduction de 40 et 10€. Leur tarif passe à 119 et 109€. Comme autre possibilité de paiement, seul le 3 fois sans frais est proposé.

 

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